A l'inconnue Lunaire.

Ecoute ce chant nocturne,
Louant la pâle lune,
A cette heure si tardive,
J'ai bien peur que cela n'arrive,
Se perdre a tes cotés,
Ton regard croiser,
Puis pour l'éternité,
Ne plus jamais respirer.

Tes doux baisers m'ennivre,
D'une folle envie je veux maintenant vivre,
Resirer ton odeur a en etre ivre,
Et que de tes bras jamais tu me delivres.

Mon âme se mutiles de te voir,
J'en pleure dorenavant chaques soirs,
Toi mon amour toute nue,
Que je n'ai jamais connue.
Belle ingénue,
Sur ce je te salue.

              †Akuma-haiiro †    (31/10/10)