Ambush ( Préface + Chapitre 1)

Ladyna Smart

Préface

Comment je me suis mise dans ce bourbier, je ne saurais pas le dire moi-même. L’amour sans doute…

J’ignore si, l’amour à le pouvoir d’anéantir votre vie,  mais actuellement la mienne est sans dessus dessous. Parce j’ai fais l’erreur de tomber amoureuse, d’un homme aussi beau que dangereux, si attirant et terrifiant à la fois. Par amour j’ai fais tous ce qu’il me demandait sans compter, ni réfléchir…

Quand je revoir le visage de toutes ces personnes dans ma tête, j’ai honte et j’ai peur parce que je sais, que je vais devoir fuir ou faire éclater la vérité…

Mon nom est Sacha Lichtenberg et je suis tueuse à gage, enfin je pensais l’être…

Chapitre 1

Il ya quelques années de cela, quand j’ai pris la décision de ne pas renouveler mon contrat avec la Marines. Je n’avais pas encore décidé réellement ce que j’allais faire. J’optais entre reprendre mes études et trouver un job temporaire, le temps de réunir assez d’argent pour rentrer chez moi.

Je n’aurais jamais imaginé un jour, que l’Ohio me manquerait autant. J’ai parcourus le monde entier grâce aux Marines. J’ai vus plus de gens défavoriser que j’aurais crus, qu’il existait dans le monde. J’ai aussi vue des monuments spectaculaires, tous ces édifices dont l’ont parle tant et que secrètement, tout monde rêve de voir, un jour sans pourtant faire le moindre pas.

Lorsque je suis arrivé à la base navale, j’ai tous ce suite été surprise par l’immense navire ou j’allais passer le plus claire de mon temps.  Mais à aucun moment de ces dix ans de service pour l’armée américaine, je n’ai regretté servir mon pays.

Pourquoi l’armée maritime et pas un autre choix. Je pense que cela viens de mon père, de mon grand père et certainement de mon frère ainée. Il était tous les trois pécheurs de profession. En aucun cas cela été, une obligation et ont tous trois, choisit leur voix et ont fait de leur passion sur métier.

Je me souviens encore, des longues ballades interminables, que mon père nous faisait faire sur le lac, avec son petit bateau à moteur. Ils nous embarquaient tous les trois, et nous promenait le long du lac près de la base militaire. Nous entendions très souvent les avions de l’aire force passer au dessus de nos têtes. Trina détestais cela, le bruit et elle ce fermait les oreilles, tandis que Wayne et moi adorions cela. En quelque sorte j’ai toujours aimé l’armée, dès ma plus tendre enfance. Mais mon amour pour la mer, ma conduit tous droit vers une base navale.

Et puis finalement, j’ai choisie de poser mes valises, chez Trina ma sœur cadette qui avait grandement besoins d’une colocataire. Je dirais bien que le hasard fais bien les choses, mais le hasard n’existe pas et je n’ais jamais crus, qu’une chose pouvais arriver sans raison. Tout arrive pour une cause et pour une raison, à nous de savoir laquelle.

Trina avait toujours rêvé de devenir rédactrice en chef d’un grand magazine de sport. Mais rien ne sais passer comme prévue, à trente deux ans elle se retrouvait encore assistante, alors quel avait tous ce qui fallait pour être une super journaliste. Elle était obstiner, d’ailleurs ont l’était tous, dans la famille Lichtenberg s’était un trait de caractère. Mais jamais Trina n’avait su, taper du point comme Wayne et moi pour obtenir quelques choses. Et pour cause, sa beauté lui avait donné d’énorme avantage, reine de bal de promo, capitaine des cheerleaders, les petits amis les plus mignons. Mais comme disait notre mère, ont ne peut pas tous avoir avec la beauté, elle est éphémère et un jour ou l’autre on s’en rend compte.

Aujourd’hui je crois qu'elle ce rendais compte que notre mère avait raison sur toute la ligne. Moi dans tous cela, j’étais un peu garçon manquée et j’aimais beaucoup me bagarrer à l’école.

D’ailleurs à ce sujet j’étais toujours punis à la maison, mais Wayne m’aidait toujours et maman nous grondait souvent, tous les deux. En y repensant cela me fait sourire, et je réalisais à quel point maman me manquais.

J’étais dans une drôle de situation, dans le viseur de mon fusil, je voyais cette homme jouer au ballon avec son fils, il s’avait l’aire si heureux. Pourtant cet homme avait un contrat sur sa tête et cela il ne le savait même pas. Je fus prise d’un élan de compassion, mais voir cet enfant et son père me rappelais moi, étant plus jeune. Et je ne pouvais me résoudre et assassiner cet homme malgré toutes les injustices qu’il avait commis. Trafics d’armes, violent de plusieurs femmes et je m’apprêtais à le laisser filer alors qu’il méritait de mourir. Pourtant je n’ais pas pu tirer, s’était ma première mission officiel et je l’avais littéralement échoué.

Comment j’allais bien pouvoir dire cela à Jackson :

-          Ecoute Jackson, j’ai pas pus... Non ça ne va pas… Heu…Je n’ai pas tirez, son fils était trop proche…

Alors que je rangeais mon arme, j’aperçue une tête blonde le troie de l’immeuble en face de moi. Jodi Lowe

 J’entendis le coup de fusil qu’elle avait, tiré retentir et toucher l’homme en pleine tête. Alors que l’enfant criait et pleurait deux femmes sortirent en courant. L’une criait et se blottissait sur le corps sans vie et l’autre consolait l’enfant en larmes.

Jackson m’avait belle et bien piéger. J’étais prise à un piège qui s’avérait être très dangereux. Il m’avait confié la même mission que Jodi.

Cette femme était le sniper le plus recherché, de la ville et dans plusieurs pays notamment la Californie. En plus d’être dangereuse, elle était aussi l’ex petit ami de Jack. La police allait bientôt débarquer, il fallait que je quitte la ville. Dire que, j’ai crus qu’il m’aimait qu’elle idiote.

Alors que, je montais dans ma voiture, un motard surgit à coté de moi. Le regard diabolique, que je perçu à travers le casque, me permis de la reconnaitre, c’était Jodi. Elle m’avait vu et j’étais désormais en grand danger.

 Au volant de ma Mustang Coupé de 1966, je me demandais comment j’allais bien pouvoir me tirer de cette histoire, sans me faire prendre. Alors que je fonçais à vive allure sur la national, quatre voiture de patrouille et une ambulance croisèrent mon chemin. Un coup d’œil dans mon rétro me pénètrent de voir, que je ne suis pas suivie.

C’était la deuxième fois, que je tombais amoureuse d’un homme et les deux fois je l’avais regretté. Paolo Santiago était mon premier amour, âgée de vingt ans à l’époque, jamais je n’aurais pensé qu’il me trahirait de cette façon.

Il m’avait séduite, attirer dans son lit et moi je lui avais tous donner ma virginité et même mon cœur. Hélas lui désirait d’une seul chose, des informations sur le corps des marines. Des informations confidentielles,  sur lesquelles l’ont m’avaient demander, de faire un rapport détaillé.  Des renseignements secrets pouvant nuire à toute mon équipe, ainsi qu’a toute la base entière.

Mon erreur, je l’avais payé très chère, une rétrogradation de mon garde de second lieutenant à simple matelot, ainsi deux ans de mise à l’épreuve, pour avoir trop parlé et délivrer des renseignements top secret à mon petit-ami de l’époque. Ce n’était qu’après que, j’avais appris qu’il était, un traitre mais aussi le fiancé de fille de commandant de la base navale. J’avais travaillé très dure pour avoir ma promotion, et le faite de retourner à bas que l’échelle m’avait, brisée de cœur, mais aussi m’avait blessé dans ma fierté. J’étais anéantis, et le seul moyen de reprendre du galon était de travaillé encore plus dure et de me faire discrète. Il m’a fallu huit ans pour avoir de nouveau une promotion et pour cause mon dossier était terni à jamais à cause de ma trahison.

J'avais appris de cette erreur, comme ont dit souvent ont en tire toujours du bon de ces erreurs de la maturité. Mais cela ne m'avait pas empécher de tomber amoureuse de Jack.

 J’avais rencontré Jackson Oswald, dans un bar près de l’université ou j’étudiais. Je ne saurais comment expliquer, pourquoi dès, que je lès vu il m’a plus. Son aire un ténébreux et sa silhouette longiligne ont été les deux premières choses que j’ai remarquées. C’est lui qui a abordé, le premier en me donnant un surnom auquel, je ne m’attendais pas du tout :

-          Salut, jolie rouquine…Je te paye un verre ?

Non, pas que son charmant surnom, ne me plaisait pas mais la dernière fois que l’on m’avait appelé comme ça, c’était sur la base navale. Ce a quoi j’avais rétorqué :

-          J’en ai déjà un, merci…

-          Je me présente Jackson Oswald !

-          Sacha Lichtenberg Enchanté…

-          Tu n’es pas d’ici, je me trompe ?

Avec ses lunettes de soleil, il ressemblait à un motard, l’un de ces hommes habillé tout de cuir, qu’on croise parfois au s’abord des routes, dans des bars crasseux. Mais il avait, un je ne sais crois qui m’électrisait entièrement.

-          Non… Je suis ici et d’ailleurs mais surtout d’Ohio.

-          Je l’aurais parié, votre nom de famille est Irlandais ?

-          Oui, mon père est origine irlandaise…

-          Et votre mère américaine je me trompe ?

-          C’est un interrogatoire ???

-          Veuillez m’excuser mon intention n’était pas de vous questionnez, c’est de curiosité sais tout.

J’aurais bien voulus croire, que ce n’était uniquement de la curiosité, mais mon instinct, m’affirmais que cet homme, aussi sexy puisse–t’il être était un flic ou un détective privé. Certainement les deux que sais-je ?

-          Vous êtes flic, je trompe ?

-          Moi, qui avait croyait que cela ne ce voyait plus, depuis le temps. Je crois que je me suis trahit moi m’aime.

-          En faite ce sont, vos questions qui, vous ont dénoncez.

Alors que je m’apprêtais, à me lever de mon tabouret et à payé ma bière. Le son de sa voix rauque retentit de nouveau, me laissant sans voix.

-          Je vous l’offre.

-          Merci, je n’ai pas besoins de votre charité !

-          Je voulais juste être sympa ; Détendez-vous.

-          Je dois y allez…

-          J’espère vous revoir bientôt ma jolie rouquine…

Un sourire, c’est tous ce que j’ai pus répondre, un éblouissant sourire. Rien de plus bête, à tous les coups il avait compris, qu’il me plait. Quelle abrutie.

Ce fut ma toute première rencontre, avec ce sombre personnage. Et dès ma sortis du bar j’ai sus que, son visage et son sourire badin me hanterais la nuit durant.

Alors que je roulais vers Orlando, la radio locale donnait les infos. Une journaliste, affirmait que Georgio Richardson McAllen vennait être assassiné d’une bale en pleine tête, tirer de longue distance par un sniper.

-          Nous venons d’apprendre, l’assassinat du Sénateur Georgio Richardson McAllen, décédés sur le coup dans sa villa privé de Palm Beach. Il semblerait que la bale l’aurait touchait en pleine tête, alors qu’il s’amusait avec son fils de neuve ans dans son jardin. Sa femme Victoria Morrison McAllen, ne semble pas vouloir réagir face au média. Pour le moment, le FBI n’a aucun suspect en vus et pour cause, l’homicide aurait été commis par un sniper non identifié. Affaire à suivre…

Quand j’atteins, Jacksonville à la tomber de la nuit, je m’arrêtais dans un motel pour passer la nuit. C’est là que je reçu mon premier appel de Jackson de la journée.

-          Espèce de salaud, tu ma bien eux…

-          Et tu veux bien te clamé, de quoi parle tu ?

Quand je pense qu’il faisait mine, de ne pas savoir de crois je parlais, cela me rendait encore plus furieuse.

-          Pourquoi il a fallu que tu mettes, Jodi sur la même affaire que moi !

-          De quoi parles-tu ? Je n’ai pas eu de contact avec elle depuis près de cinq semaines.

Comme si j’allais avaler cela, cinq semaines alors qu’il lui parlait toutes les semaines.

-           McAllen à été assassiné et Jodi ma vu !

-          Oh, c’est embêtant, en effet.

Alors, que je faisais les cents pas dans la chambre, Jack essayait de me persuader qu’il n’avait rien avoir dans cette histoire.

-          Embêtant tu dis, sais tous ce que tu trouve à dire ! Criais-je au téléphone

Cela voulait dire, qu’il me restait encore un peu de morale. Que toutes ces années aux services du corps de la marine, ont bien servis.

-          Alors pourquoi me semble tu aussi affoler.

-          J’ai vus cet homme mourir devant mes yeux et ceux de son fils…

-          Il a eu ce qu’il méritait…

Jack ne m’avait jamais dit réellement, qui l’embauchait pour trouver des informations confidentielles au sujet de personne politique. Ou qui lui donnait l’ordre d’engager, un sniper pour tuée tel ou telle personne.

Dans ce cas, précis la cible était le sénateur McAllen et le sniper était censé être moi. Le seul hic s’était que je n’avais as pu le tuée. Qu’est-ce qui m’avait poussé à dire oui, dire que j’ai faillit tirer. Comment j’aurais pus faire, une chose pareil.

-          Dit moi, ou est tu Sacha, je viens te chercher ?

Une partie, voulais lui révélais ou j’étais et une autre refusait catégoriquement et lui dire de peur que la police ne me retrouve…

-          Tu ne le sauras pas, je pars, histoire que cet histoire ce clame un peu…

-          Je ne suis pas sur que se sois, une bonne idée. Dit moi plutôt ou tu es, ma puce…

En entendant ces mots, je ressentis un frisson dans tout le corps, comme s’il était tout près de moi et qu’il s’apprêtait, a me sérer dans ces bras. Il me manquait mais je refusais de le lui dire…

-          Sacha ?

-          Mon contact ne ma rien préciser, s’il avait déjà un contrat sur la tête de McAllen ou pas… Je vais faire mes recherches et je te rappel des que j’en sais plus. Reste joignable !

L’aire qui provenait du balcon était si fraiche que j’en tremblais. Mon instinct me disait que je ne pouvais pas lui faire confiance…

-          Sacha, je te rappel très vite.

Quand il mit fin à la communication, je me surpris à penser que ce serait, une bonne occasion de rentrer à Dayton. Histoire de retourner aux sources.

 Mettre ce piège en place, avait été bien plus facile, qu’il croyait Jodi avait totalement raison dès le début. Sacha Lichtenberg était bien trop naïve. Elle lui avait confié beaucoup, trop de chose sur l’oreiller et hélas pour elle, il allait s’en servir contre elle.

 La vengeance été un plat qui ce mangeait froid, et tant pis s’il devait de servir de Sacha pour parvenir à ces fins. Il allait détruire, McAllen et son empire. Et l’assassinat de ce traitre, n’était que la première étape.

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