Changement de cap

Dominique Capo

Pensée littéraire et personnelle

Depuis hier, et les événements qui ont récemment secoué mon existence, j'ai beaucoup réfléchi. Je me suis demandé de quelle manière procéder face à ceux-ci. Et, avec l'aide d'amis, je sais désormais comment je dois réagir. Tout est clair dans mon esprit.


Les actions que j'ai à entreprendre son en cours de réalisation. Certes, il leur faudra un peu de temps pour qu'elles apparaissent au grand jour. Mais, du fait de l'épreuve que je traverse désormais, elles sont nécessaires. Après le premier choc qui m'a un moment ébranlé, je me suis remis de mes émotions. Je me suis entretenu avec ceux et celles qui m'entourent au quotidien afin de trouver une solution, afin de mettre au point une stratégie viable et allant dans le bon sens. Dans les semaines et les mois à venir, je vais y employer du temps, de l'énergie, de la volonté ; en usant de toutes mes possibilités et capacités.


Néanmoins, ce nouveau combat ne nécessite pas que j'y fournisse tout mon temps, heureusement. Je m'y plierai à chaque fois que le besoin s'en fera sentir. Or, comme à chaque fois, ce sera pleinement, farouchement, avec détermination, et avec tous les moyens que j'ai à ma disposition.


Ceci dit, ces circonstances m'ont également amené à réfléchir sur ce que je publie ici quotidiennement. Et j'en suis arrivé à un certain nombre de conclusions qui me paraissent importantes à détailler :


Bien entendu, chaque matin, je vais poursuivre l'édition quotidienne sur mon mur d'une ou deux pages de « De Deiteus Mythica ». Je sais que beaucoup de mes lecteurs et lectrices apprécient ce que j'y mets. Il s'agit en effet du résultat de mes recherches en Histoire, Mythologie, Philosophie, Occultisme, Ésotérisme, Religion, etc. Plus de 1800 pages de synthèses issues des multitudes d'ouvrages sur tous ces sujets, que j'ai consulté au cours de cette période. De fait, je vais en poursuivre la publication. Toutefois, je les ferais disparaître de mon mur au bout de quelques jours, pour davantage de sécurité. Car, comme le dit une amie, je dois sauvegarder mes textes si, un jour, une fois réactualisés, modifiés, corrigés grammaticalement ou orthographiquement, je désire les envoyer à un éditeur sérieux.


Avant, pour autant, j'ai encore beaucoup de travail. Je dois en ôter les longueurs, les répétitions, les lire et les relire une bonne dizaine de fois, pour qu'ils soient le plus « parfait » possibles. Les plus concis, les plus agréables à lire, les plus fluides, etc.


Dès lors, à partir d'aujourd'hui, je vais légèrement modifier mon organigramme de publication de textes. Car j'ai trois gros chantiers en cours. Le premier est celui que j'ai débuté il y a plus d'un an désormais. Je progresse lentement parce que, des trois, c'est le pus ardu. C'est celui pour lequel ma concentration, mon attention, mes investigations, mes réflexions, doivent être maximales. Il s'agit des « Origines idéologiques et ésotériques du Nazisme ». Pour l'instant, j'en ai écris 175 pages, sur les 500 qu'il doit contenir, je pense, au final. J'ai exploité environ un tiers des notes que j'ai, posées à coté de moi ; sur une tablette en permanence à portée de main. Je ne le partagerai que lorsque je l'aurai conclu, et qu'il sera validé par un éditeur digne de ce nom.


Le second chantier que j'ai débuté il y a deux semaines à peu près, et dont j'ai réexaminé quelques pages jusqu'à présent, concerne ce que je nomme mes « Brèves Philosophiques ». Cette fois, il s'agit de la totalité de mes écrits évoquant mes pensées sur l'Actualité liée à l'Histoire, à une certaine vision de l'Humanité, du Monde. Ils soulignent une myriade d'aspects sur lesquels j'ai longuement médité concernant leurs devenirs. Près de 700 pages et trois classeurs, que j'alimenterai à chaque fois que je me pencherai sur un thème d'Actualité qui me semble important d'analyser, d'expliquer, d'explorer, ou d'approfondir. C'est pour cette raison qu'à partir de ce jour, lorsque je l'offrirai à mes lecteurs et lectrices d'ici et d'ailleurs, ce sera également pour une période limitée. Je protège, et je protégerai, ainsi mon texte des éventuels individus qui souhaiteraient, par exemple, se l'approprier sous leur nom.


Enfin, le troisième chantier, je l'ai lancé il y trois jours à peine. Comme je l'ai évoqué dans mon dernier récit personnel, « Une bataille de plus à mener », il y a quelques parts de mon existence que j'ai gardées sous silence jusqu'à présent. Soir, parce que je n'ai pas eu l'occasion de m'y attarder dans mes exposés précédents. Soit, parce qu'ils sont récents, et donc plus éprouvants que les autres dans mon quotidien actuel. Soit parce qu'ils sont très longs à révéler. Il n'y a que deux ou trois personnes, ici ou ailleurs, qui sont au courant de ce fragment de mon histoire personnelle. Je ne sais pas si je vais en publier le contenu ici. J'y réfléchis. Ce que je sais, par contre, c'est qu'il est vital, pour des motifs liés à ce qui m'a bouleversé avant-hier, que je le couche sur papier. Ensuite, dans la foulée, j'y intégrerai ce que j'ai déjà communiqué via mes deux documents : « Mémoires » et « Souvenirs fragmentaires ». Soit, un total de près de 450 pages.


Apparemment, ces chantiers peuvent, à première vue, sembler énormes. Ils ne le sont pas tant que cela. Que ce soit pour mes « Brèves Philosophiques » ou pour mes « Mémoires », ce n'est que de l'adaptation littéraire de textes anciens. Sauf pour les parts que j'ai gardées sous silence jusqu'à maintenant, que je dois rédiger entièrement. Cependant, le fil conducteurs de celles-ci sont très claires dans ma tète. Et je n'ai aucun mal à m'y plonger. Ce n'est juste qu'une question de relectures, de corrections, de coupures, de remaniements. Ce n'est pas difficile – enfin, c'est ainsi que je le ressens et que je le vis. C'est pour qu'une fois terminés, ils se métamorphosent en manuscrits aptes à être publiés chez de « grandes » maisons d'éditions. Du moins, je l'espère.


Et nombre de lecteurs, lectrices, ami(e)s, sont persuadés que c'est faisable. J'ai même une amie dont je tairais le nom par souci de discrétion, mais a une certaine renommée au niveau national, qui me pousse dans ce sens. Donc, je m'y emploie et m'y emploierai jusqu'à leur aboutissement.


Et le soir, en fonction de ce que j'ai écris dans la journée, je publierai désormais des extraits de ces trois chantiers. Ce, évidemment, en fonction de leur pertinence et de leur progression. Mais, là encore, ils ne seront disponible que durant quelques jours, pas davantage. Toujours afin de les soustraire des velléités d'individus malintentionnés, vindicatifs, sans foi ni loi, ou irrespectueux du travail monumental dont ils sont le fruit. J'espère que mes contacts, correspondant(e)s, lecteurs, lectrices, comprendront et accepteront le sens de ma démarche...

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