Chapitrage de "Dieu et le Big Bang"

Dominique Capo

Chapitrage de "Dieu et le Big Bang"

Chapitrage de "Dieu et le Big Bang" Hier soir, avant d'éteindre mon ordinateur, j'ai recalibré le lettrage de mon exposé. J'utilise le traitement de texte "Word" - comme pour tout ce que j'écris d'ailleurs. Et, du format 12 de "Times new roman", je suis passé au format 16. Pourquoi ? Tout simplement parce que je me suis aperçu depuis un certain temps, après avoir effectué une petite expérience, que le format 16 est celui qui est utilisé pour tous les livres qui sont vendus dans le commerce. Et, comme à plusieurs reprises, des gens m'ont reproché que mes exposés étaient trop condensés, pas assez aérés, j'ai modifié ce détail afin de les rendre plus agréables à lire.

En conséquences, des 35 pages initialement prévues, "Dieu et le Big Bang est passé à 63 pages. Je m'y attendais ; toutefois, je préférais prévenir ceux et celles qui l'attendent avec impatience ; mais surtout les autres, occasionnels ou me lisant pour la première fois. C'était la moindre des choses.

De fait, le texte en lui même se décompose, en gros, en cinq parties. La première est une sorte de préface. Lequel met en garde le lecteur ou la lectrice sur la longueur du texte. C'est une des rares fois depuis que je publie un mémoire personnel "attendu par beaucoup sur Facebook et ailleurs", que je développe mes thèses avec autant de précision et d'investigations. Toutefois, ce préambule ne vise pas ceux et celles qui me lisent régulièrement. Il sert en effet également d'introduction au texte. Il est là, surtout, pour ceux et celles qui estiment que Facebook n'est pas un lieu pour publier des récits aussi longs, aussi, riches, aussi complexes, aussi illustré que celui-ci.

La seconde partie entre dans le vif du sujet : elle s'étend sur la vision religieuse de la "Création" ; que ce soit la "Création de l'Homme par Dieu", ou par la "Création de l'Univers par Dieu". Les Livres Saints des trois Religions monothéistes actuelles y faisant référence, il était nécessaire de s'y reporter. Ils sont à la base du "Créationnisme" auquel les Religieux les plus fervents croient dur comme fer. Cependant, je démontre, preuves à l'appui, que leurs dogmes n'ont pas l'exclusivité de cette vision de la Création. Bon nombre de mythes et de légendes antérieurs à ces derniers ont leur propre perception de la Création de l'Univers, du Monde, et de l'Homme. J'ai d'ailleurs choisi trois exemples parmi des dizaines d'autres afin de souligner la pertinence de ma thèse. L'intérêt de ces derniers est qu'ils sont nés dans la même zone géographique que la Religion Hébraïque, Chrétienne ou Musulmane. Et que ce qu'ils évoquent les ont nécessairement inspirées du fait que leurs Prophètes, et leurs fidèles, en étaient imprégnés depuis longtemps. Bref, le lecteur et la lectrice qui parcourra ces lignes, et qui serait déjà tenté de s'insurger ou me condamner, ferait mieux d'attendre de lire "Dieu et le Big Bang" en entier avant de me vouer aux flammes de l'Enfer.

La troisième partie ne pouvait ensuite pas passer à coté d'un résumé concis de l'Histoire de la création de l'Univers, du Système Solaire, de la Terre. Puis, l'Histoire de la naissance de la vie sur notre planète, de son évolution, des premières cellules à l'apparition de l'Hominidé. Tout cela en me basant sur les thèses scientifiques en vigueur. Et notamment, concernant l'Hominidé, celle de Darwin qui, bien entendu, a été améliorée, affinée, depuis près de 150 ans qu'elle a été engendrée. Je ne doute pas que cette partie de mon exposé, comme d'autres, fera grincer des dents les Croyants les plus convaincus. Or, si j'ai tenu à décrire ce processus pour en arriver jusqu'à Homo Sapiens Sapiens, c'est pour m'appuyer sur un des aspects de celui-ci que l'on a tendance à oublier. Depuis l'Aube de l'Humanité, que ce soit dans le domaine de la foi, comme dans celui de la raison et des sciences, c'est l'intellect humain qui en est à la base. La Religion, comme la Science, ont, chacun par leurs moyens, tenté de trouver des réponses au "Pourquoi" et "Comment", et éventuellement "Par qui" l'Univers, la Terre, l'Homme, ont été engendrés. Et les réponses qui y ont données sont exclusivement issues de l'intelligence humaine ; comme je le dis souvent : "issues de l'homme, propagées par l'homme, pour enseigner l'homme" ; et uniquement lui. Or, comme je vais essayer de le démontrer, tout le problème est là. C'est une limite qui conduit à de nombreuses erreurs dont nous faisons, depuis cinq milles ans que la Civilisation existe, les frais ; y compris aujourd'hui encore. C'est ce point que je vais soulever dans cette troisième partie.

La quatrième partie, quant à elle, va se pencher sur les différentes hypothèses scientifiques - les plus reconnues en tout cas -, tentant d'expliquer le "pourquoi" et le "comment" du Big Bang. Là, mes propos seront davantage liés à l'astrophysique, à la physique quantique, et à la cosmologie. Des thèmes fascinants et passionnants dont j'ai, depuis toujours, suivi l'avancée des discernements. Mais, je me suis également servi des dernières découvertes liées à la sonde "Rosetta", ou du robot "Curiosity" qui ouvrent de nouvelles perspectives qui vont dans ce sens, et qui sont aussi passionnantes qu'étonnantes. D'ailleurs, les hypothèses scientifiques concernant le Big Bang et ce qu'il avait éventuellement avant, risque, j'en suis certain, d'en surprendre plus d'un. Car elles ouvrent sur des perceptions de notre Univers et de notre Réalités qui sont déconcertantes, mais captivantes. Et remettent en cause des croyances et des convictions profondément ancrées en nous depuis des siècles, voire des millénaires. Je n'en dis pas plus, le lecteur ou la lectrice les découvrira au moment où je publierai ce passage.

Enfin, la cinquième partie fait la synthèse de tout ce qui a précédé, et forme la conclusion de ce mémoire. Elle m'a permis de réfléchir sur la portée intellectuelle, scientifique, métaphysique, religieuse ou philosophique de ce cheminement que j'ai suivi tout le long de la rédaction de ce texte. Car, comme vous pouvez vous en doutez, lorsqu'on entreprend ce genre de quête, on en ressort jamais totalement indemne.


Je débuterai donc la publication, sur Facebook et ailleurs, de "Dieu et le Big Bang" dès demain. A raison de trois ou quatre pages par semaine, afin de laisser le temps à ceux et celles qui souhaitent le lire, de se concentrer attentivement sur le récit. D'en discuter, d'échanger, de partager, de dialoguer ensemble éventuellement. Quant à ceux et celles qui, pour une raison, souhaiteraient l'obtenir dans son ensemble dès maintenant, qu'ils me contactent avec une adresse mail afin que je puisse le leur communiquer dans la totalité de ses 63 pages dans les meilleurs délais....

Dominique

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