CHAPITRE I : La surprise inattendu.

Thibault Vercoutre

Voici le premier chapitre de mon roman "Sirhyus"

J'habitais dans famille comme une autre, a la maison 3 rue des pinsons Gravelines. Le 20 Août 2013.

 - Il est l'heure de se réveiller les enfants. Dit une femme

 - Encore un peu man'. Répliqua l'un.

 - Ouais s'il te plaît. Répondit un autre.

 - Mmh. Dit-je.

Mais nous ne restions pas longtemps au lit. Moi, Je, aîné de la famille, j'ai les cheveux noir, long et en bataille, de taille normal et les yeux vert/marron. Puis vînt Anthony, mon frère jumeau qui lui à les cheveux noir, court est non en bataille un ou deux centimètre de plus que Je mais à les même yeux, et en dernière, Gabrielle, les yeux bleu, les cheveux blond et est plus petite que nous.

 - Alors, demain ces votre anniversaire à vous deux les garçons, dit mon père, onze ans ça se fête ça. Et vous allez entrer au collège.

 - Et bah ouais. On va devenir Ado. Rétorquai-je.

 - Il y aura qui ? Demanda Anthony.

Il y aura les Gys contant Frank, Anne, Nicolas, Marie-Florentine et Mahaut. Nathalie, Frédéric, Lisa, Sarah, Mémé, papi Jean-Mark, Chantal, mamie Dolorès, papi Maurice, tata Thérèse, Chloé, mamie Thérèse et nous. Répond alors Florence, ma mère

 - Wouah ! Il y aura beaucoup de monde. S'écrit Gabrielle.

 - Oui mais les cadeau ne sont pas pour vous. Il sont pour moi. Blagua Xavier, mon père.

 - Mais ouais. Dit-je à la suite.

 - Puis je montais dans ma chambre.


Plusieurs minute plus tard. Nous préparions la table et le parasol pour demain puis :

CRAC !

 - Oh mais non Gabrielle ! Cria Florence.

Gabrielle venait de déchirer la nappe de toute sa longueur. Malheureusement, c'était le dernier bout de nappe qui nous restait.

 - Bon bah, on va aller en racheté, et c'est toi qui paye Gabrielle ! Hurla mon père en colère.

Gabrielle, boudeuse, retourna dans sa chambre pour jouer à sa console. Le midi, elle ne descendit point pour manger. Par contre, vers deux heure de l'après midi, elle descendit en douce pour volé quelque friandise. Elle alla acheté la nappe avec papa. Puis vers le goûter, mon frère et moi mangions raisonnablement mais Gabrielle, elle, ne mangea pas de la tartine au nutella mais du nutella à la tartine, et en mangea au moins cinq. Le soir, la troupe s'endormit tôt pour être en forme pour demain.


Le lendemain, nous nous habillions tous beau pour l'anniversaire. Les quatre -puisque Gabrielle ne voulait pas aidé, la jalousie, pensai-je- préparèrent les coupe à champagne, les verre à vin, les verre à eau. Les bouteille de vin qu'il soit brut/sec/doux ou Rosé/rouge/blanc, le champagne, et l'eau. Puis nous passions à la préparation des plat, apéritif/entrée/plat/dessert. Anthony et moi ne pouvions pas pénétré dans la cuisine, car cela risquer de montrer la surprise du dessert. Résulta, nous montions dans nos chambres.


Au moment ou le premier arrivé arriva papa et maman furent stressés. Le premier arrivé était en fait deux : mamie Dolorès et papi Maurice. Qui eux, aidèrent à la préparation qui en passant dirent bonjour au enfant.

 - Papy, Mamie, criions à trois fou de joie.

 - Eh, Anthony, dit alors papy, le cadeau je le garde.

 - Non ! Non ! Répondions à deux, Anthony et moi. Nous voulons notre cadeau !

 - Oui mais ce sera à la fin. En attendant je le met en lieu sur. Décida Florence.

Puis elle le mit dans la cuisine.

Ensuite se fit les Gys d'arrivé. nous nous disions bonjour. Et Gabrielle s'exclama :

 - Mahaut ! Vient jouer dehors avec nous !

Et nous allions jouer à quatre à la cabane. Derrière la maison, il y a un cerisier, un pommier, un sol pleureur et un potager appartenant à mon père. La cabane et tout au fond du jardin. Devant la maison il y a un cèdre, d'une dizaine de mètre. Le jardin était beaucoup fleurit.

 - Attention au fleur. S'écria ma mère.

 - Sinon il n'y aura pas de cadeau. Dit un autre dont je ne pu identifié le voix.

Puis se fit le tour de Nathalie, Frédéric, Lisa et Sarah. Sarah fit sa crise de folie au milieu du jardin. Ensuite se fut papy Jean-Mark et Chantal et enfin tata Thérèse, Chloé et mamie Thérèse.

Une demi-heure plus tard L'apéritif commença. Je bus pour la première fois du champagne.

 - Mmh. Murmurai-je

 - Délicious. Dit Anthony avec l'accent anglais.

 - Pff ! Dit Gabrielle. Je n'ai jamais le droit d'avoir du champagne et vous, vous fait semblant d'aimer ça

Ce qui était parfaitement vrai. Le champagne c'est infecte, pensai-je, et il est sûr que Gabrielle déteste aussi.

Après l'apéritif, vînt l'entrée. Ce dernier est un plat de fruit de mer et de la mayonnaise.

 - Je peut avoir du ketchup. Demanda Anthony.

 - Mais non, dit Florence, les fruits de mer ne se mange pas avec du ketchup.

Puis nous passions au plat. Saucisse barbecue avec couscous. Les invités discutèrent pendant une demi-heure voir même une heure entière, mais l'on tenait pas conte du temps.

Ensuite vint le dessert, un hippopotamesque gâteau au chocolat avec de la chantilly , des bonbons, des fraises et plein d'autre garniture encore, et au milieu, deux petits garçons qui se tenait la main.

 - Wwwwwooooouuuuuaaaaa !!!!!!!!!! M'esclaffai-je.

 - Il est enoooooooooormissime ! Hurla Anthony.

 - Oufissime !!

 - Canonissime !

 - Gigantesquissime !

 - Magnifiquissime !

 - Oui, bon ça va ! Mais c'est vrai que l'on pourrait accueillir tout le cartier ! Blagua Gabrielle, qui n'était pas du tout drôle.

Anthony et moi fûmes les premiers servit puis les plus âgée au plus jeune Gabrielle râla puisque elle serait servit dans les derniers dernière, mais Mahaut trouvait cela normale et ne râlait pas.

En suite les adulte discutèrent et nous, enfants, allons à la cabane.

 - Bon, on joue à quoi ? Demanda Gabrielle.

 - Ah c'est nous qui décidons ! Râlai-je.

 - Et pourquoi, MONSIEUR ? Accentua Gabrielle.

 - Parce-que c'est notre anniversaire, MADAME ! Accentuai-je de même.

 - Stop, stop, stop. Ce n'est pas comme ça que les chose s'arrangeront. Et je suis d'accord pour que Thibault et Anthony décide. répliqua Mahaut.

Grr. Grogna Gabrielle

 - Bon je vais m'entretenir avec Thibault dans la cabane. Dit Anthony.

Nous discutions longtemps puis :

 - C'est décidé, nous allons jouer à dauphin/dauphine ou à la balle nommée si Mahaut préfère. Déclarai-je.

 - C'est quoi ? Demanda Gabrielle.

 - Tu sais pas ! Bah en fait c'est quelqu'un qui lance le ballon et dit le nom d'un joueur. Si ce joueur la gobe il la relance par contre si la balle rebondit, ce joueur à le droit à trois pas pour toucher quelqu'un. Expliqua Anthony.

Et le jeu commença et on entendit des cris, des nom dans tous sens. Tout se passait bien, enfin presque, jusqu'à ce que :

 - Tu m'as érafler. Dit Gabrielle.

 - Non je t'ai toucher. Répondit-je à mon tour.

 - Érafler !

 - Toucher !

 - Érafler !

 - Toucher !

 - Ér...

 - Oh oh, stop. On tout simplement rejouer le coup ! Hurla Mahaut.

 - Ou tout simplement changer de jeu. Dit Anthony.

 - OK, mais à quoi ? Demanda Gabrielle.

 - On va déjà aller en haut.

Et nous montâmes en haut en groupe.

 - N'oubliaient pas d'enlever vos chaussure. Expliqua Anthony.

 - Pourquoi ? Les mienne son neuve de quelque jour. Râla Gabrielle.

 - Par principe. Et en même temps je n'ai pas envie voir dans ma chambre tes chaussure de m... Dit Je.

 - Non. Ça va pas ? Il y a les adulte. Répondit Mahaut. Et si il te dit d'enlever tes chaussure tu le fais, Gabrielle.

 - Très bien.

La première chambre à droite était mienne, on ne pouvais s'y méprendre. Elle était dans un désordre pas possible. La deuxième à gauche était bien ranger. C'était celle de Anthony. En face il y avait celle de Gabrielle. Et le rangement était correct.

 - Bon, on joue à quoi ?

Silence.

 - ON JOUE À QUOI ? Recria Gabrielle, aussi fort qu'elle peu.

Ah, Je ne t'avais pas entendu. Dit Mahaut. Et pas besoin de crié aussi fort. On va jouer au playmobile.

 - Alors je prend la grande maison. Répondit-je.

 - Et je vit avec toi !

 - Oh non, pas toi Gabrielle.

 - Alors moi.

 - Oui toi Mahaut je veux bien.

 - Et nous jouions pendant une trentaine de minute.

 - Thibault ! Anthony ! Dit une voix féminine

 - Quoi Maman ? Demandions en même temps.

 - Venait ouvrir vaut cadeaux !

 - Cool. M'écriai-je. J'arrive.

Nous descendions tout quatre pour voir les cadeaux. Dans la salle à manger il y avait un gros tas de cadeau.

 - C'est de qui celui là. Demanda Anthony.

 - De papy Maurice et mamie Dolo. Répondit Florence.

Et nous ouvrions tout les deux leur cadeaux envoyer par papi et mamie. C'était cinquante euro.

 - Merci papy. Dit-je en l'embrassant. Merci mamie. Dont je fit de même.

Et nous ouvririons les autres cadeaux. De dix euro à cent euro. D'un jeu de société à un jeu de DS. C'était un anniversaire parfaitement parfait.

 - Oh, regardez. Dit Anthony. Il y a deux chouette dans le ciel transportant quelque chose.

En effet, deux chouette gardait la même distance pour ne pas faire tomber ce qu'elle tenait dans un filet attacher à chacune d'elle. Ce qui montrait qu'elles appartenait à quelqu'un.

Les deux chouettes se posèrent sur le « bras » du parasol. L'une des deux est une chouette des neige. La deuxième est une chouette grisâtre avec des ailes rouge comme le feu. Deux magnifique oiseau.

 - Qu'est-ce que c'est ? Demanda Anthony.

 - Eh, regardez, elles tiennent tout deux une lettres ! M'exclamai-je.

 - Allons voir. dit Mahaut.

le devant était orné d'un sceau de cire frappé d'un écusson qui représentait un aigle, un lion, un blaireau et un serpent entourant la lettre « P ». Sur l'une était écrit :


Mr Je Frédéric Jean Vercoutre

Dans la première chambre à gauche au première étage

3, rue des pinsons

Gravelines

Nord


Et sur l'autre :


Mr Anthony Franck Thomas Vercoutre

Dans la deuxième chambre à gauche au première étage

3, rue des pinsons

Gravelines

Nord


Nous ouvrions les lettres, dedans, deux papier et un billet de train indiquant la voix 9¾.

Sur la première lettre il y était écrit :


COLLÈGE POUDLARD, ÉCOLE DE SORCELLERIE.

Directeur : Minerva McGonagall

Cher Mr Vercoutre,

Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.

La rentrée étant fixée au premier septembre, nous attendons votre hibou -si vous en avez un, au cas contraire, prenez celui-là- le trente et un juillet au plus tard.

Veuillez croire, cher Mr Vercoutre, en l'expression de nos sentiments distingués

Vous pourrais garder la chouette après notre réponse à la votre.

Minerva McGonagall

Directrice


Anthony et moi n'en revenions point, qui avait fait une blague, ce fut Gabrielle qui le rompit.

 - C'est qui qui à fait cette fichu blague.

 - Je n'en sais fichtrement rien. Murmura Mahaut.

 - Ce n'est pas moi. Dirent les autres les uns à la suites.

 - ALORS C'EST TROP COOOOOOOL ! Hurlai-je.

 - C'est le plus beau cadeau de ma vie ! Déclara Anthony.

 - Attend, ajoutai-je, lit la deuxième feuille.

 - OK. Dit Anthony.


COLLÈGE POUDLARD - ÉCOLE DE SORCELLERIE

Uniforme

Liste des vêtement dont les élève de première année devront obligatoirement être équipé :

Trois robes de travail (noires), modèle normal

Un chapeau pointu (noire)

Une paire de gant protecteurs (en cuir de dragon ou autre matière semblable)

Une cape d'hiver (noire avec attache d'argent)

Chaque vêtement devra porter une étiquette indiquant le nom de l'élève.


Livres et manuels

Chaque élève devra se procurer un exemplaire des ouvrage suivants :

Le livre des sort et enchantement (niveau 1), de Miranda Fauconette

Histoire de la magie, de Bathilda Tourdesac

Magie théorique, de Adalbert Lasornette

Manuel de métamorphose à l'usage des débutant, de Emeric G.Changé

Mille herbes et champignons magique, de Phyllida Augirolle

Potions magiques, de Arsenius Beaulitron

Vie et habitat des animaux fantastiques, de Norbert Dragonneau

Forces obscures : comment s'en protéger, de Quentin Jentremble

Vie et mensonge d'Albus Dumbledore, de Rita Skeeter


Fournitures

1 baguette magique

1 chaudron (modèle standard en étain, taille 2)

1 boîte de fioles en verre ou cristal

1 telescpope

1 balance en cuivre

Les élève peuvent également emporter un hibou OU un chat OU un crapaud.


IL EST RAPELLÉ AUX PARENTS QUE LES ÉLÈVES DE PREMIÈRE ANNÉE NE SONT PAS AUTORISÉS À POSSÉDER LEUR PROPRE BALAI.



 - C'est fini. Mais quand même, ça déchire. Dit alors Anthony.

 - Moi aussi je vais y aller. Répliqua Gabrielle.

 - Si tu as un meilleur comportement, rétorquai-je, puisque là, ce n'ai pas sûr, ajouta-t-je.

 - On peut y aller maman, papa ?

 - Mais sûrement. Tu n'as jamais entendu parler de Harry Potter ? Dit Florence

 - Si mais je ne croyait pas que c'était vrais.

Ben en fait, J K Rowling à rencontrer Harry, et à été toucher par ce qui a subit étant nourrisson, et elle à décider d'écrir sa vie au fur et à mesure.

 - Non ? M'exclamai-je

 - Si ! Dit Xavier

 - Et attend, dit Florence, il y a aussi un colis, ajouta-t-elle en l'ouvrant. C'est un gâteau.

 - Le gâteau était gros et dessus, une écriture verte formant « Happy Birsday to you »

 - C'est une école de Sorcellerie anglaise, dit-Je, je pourrais apprendre mon anglais.

Nous continuions la fête jusqu'à au moins 8h. Nous disions au revoir au dernier invité, les dernier ? Non, papy Maurice et mamie Dolo restèrent pour aidé leur fille, Florence, à nettoyer. Tandis que dans notre chambre, Anthony et moi préparions notre réponse. J'écrivis :


Cher Minerva McGonagall, ou plutôt doit-je dire maintenant, professeur McGonagall,

Cette lettre était le plus beau cadeau que l'on pouvait offrir à quelqu'un. Je vous écrit pour vous dire que je suis d'accord pour venir enseigner à Poudlard. La chouette est très belle, merci, et j'ai une question à vous demander : Qui est Albus Dumbledore ? Et pour les fournitures, pourriez vous envoyer quelqu'un pour nous y conduire. Ceci serait très aimable à vous.

PS : Pourriez vous aussi me donner quelque indication au sujet de l'école SVP.


Cordialement Mr Je Frédéric Jean Vercoutre


Quant j'eu finit, je demandai une enveloppe à ma mère, glissai ma lettre à l'intérieur, l'attachai solidement à la patte de la chouette des neiges et attendit Anthony pour l'envoyer à deux.

 - Ça y est, tu as fini ? Dit-je en frappant à la porte de la chambre d'Anthony

 - Attend... Ça y est, j'ai fini. Allons y

Nous sortîmes de la maison est :

 - Un... Deux... Trois. Comptions ensemble.

Et nous lâchions la chouette et le hibou. Nous attendions que les rapaces ai disparu au loin pour rentrer. Cela mis un rien de temps.

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