Cité interdite

k-lame

J ai découvert l’entrée de la plus interdite des cités.De la plume prohibée de ces poètes émancipésl'encre coulait le secret bien gardé.Ils ont parlé d'amour s'est inscrit, de beauté, de corps exaltés sur des stèles en sanscrit.Moi, c'est dans l'oeil de tes cyclones que j ai lu le sens caché de leurs écrits.j'ai découvert l'entrée de la plus interdite des cités.J'ai percé ta cornée, c'est à la fleur de ton iris que j'y ai trouvé la clef.Ouvre tes yeux sous l'eau clair d'un bain de silence,que j admire l'éclosion du désir et sa quintessence.L’occlusion d'une veine au sang pourpre de souffrance,c'est une écluse qui se referme condamnant le poison à l'errance.J ai approché ses sommets, accroché sur l'échine d'un roi.Itinéraire clandestin, jalonné de soupirs,cahotant âmes et chairs jusqu' aux portes du plaisirs' éclaire entre tes mains, quand tu me tiens à l' étroit.Et nos charpentes riveraines empruntent ces calades ardentesarpentent leurs natures souveraines.escaladent même sous une pluie battantej'ai découvert l'entrée de la plus interdite des cités,pour y mrndier nu pied un morceau de paix.Au delà, s' ouvre l'immensité...L'immence cité.Un lieu sans terre où la pensée se tait.Fendre la lumière, et feindre les regrets,s' élancer pour seule enceinte l'infini... voler.

"Paysage interne inscrit au cadastre intime."

J ai découvert l’entrée de la plus interdite des cités.

De la plume prohibée de ces poètes émancipés

l'encre coulait le secret bien gardé.

Ils ont parlé d'amour s'est inscrit,

de beauté, de corps exaltés sur des stèles en sanscrit.

Moi, c'est dans l'oeil de tes cyclones

 que j ai lu le sens caché de leurs écrits.

j'ai découvert l'entrée de la plus interdite des cités.

J'ai percé ta cornée, 

c'est à la fleur de ton iris que j'y ai trouvé la clef.

Ouvre tes yeux sous l'eau clair d'un bain de silence,

que j admire l'éclosion du désir et sa quintessence.

L’occlusion d'une veine au sang pourpre de souffrance,

c'est une écluse qui se referme condamnant le poison à l'errance.


J ai approché ses sommets, accroché sur l'échine d'un roi.

Itinéraire clandestin, jalonné de soupirs,

cahotant âmes et chairs jusqu' aux portes du plaisir

s' éclaire entre tes mains, quand tu me tiens à l' étroit.

Et nos charpentes riveraines

empruntent ces calades ardentes

arpentent leurs natures souveraines.

escaladent même sous une pluie battante.


j'ai découvert l'entrée de la plus interdite des cités,

pour y mendier nu pied un morceau de paix.

Ouvre tes yeux sous l'eau clair d'un bain de silence,

que j admire l'éclosion du désir et sa quintessence.

L’occlusion d'une veine au sang pourpre de souffrance,

c'est une écluse qui se referme condamnant le poison à l'errance.

Au delà, s' ouvre l'immensité...L'immence cité.

Un lieu sans terre où la pensée se tait.

Fendre la lumière, et feindre les regrets,

s' élancer pour seule enceinte l'infini... voler.

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