Cœur, Rocks Heart !

feudastik

Et oh petit cœur, où étais tu caché depuis le temps.
Remonte dont les pendules. Quel leurre est-il sans pulsation.
Oui le bas blesse lorsque le coup part tout seul et alors !

N'est-ce pas là ce qui te rend vivant ?

Souffre Rire à bien qui rira le dernier,
Rien ne t'abats toi qui tambourine sans mots dire.
Tout n'est que ressenti !...

Et comme tu t'emballes petit cœur !

Écoute donc battre ce muscle tendu, détendu, bien trop longtemps à fleur de peau. T'entends-tu ?

Cette voix n'est pas la leur, elle est tienne !
Ne l'oublie pas...

À pas contraire ils iront battre ton écho malgré bats,
vis tes chamades ! Car elles ne sauraient être sans toi pour les contracter.

Vaines ou profondes !

Rien de plus commode à sortir des armoires ces maux gris
qui t'ont vu bleuir comme une orange mécanique bien roulée, certes.

Non pas pour en jouir,
mais t'y conspuer, silencieux...
T'omettre, mais c'est toi qu'on abat...

Erratique ; tu l'admets,
on est d'accord ! 

Et ce serait faire jeu de mot de dire que tu t'y connais par cœur. à raison folie douce, tu peux dormir sur tes deux oreillettes ! Mais tes battements eux ne mentent pas...

Tic-Tac. Tic-Tac !
qu'ils font moqueurs...
Leurre tourne aussi... 

éveille ton trépas.

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