comme en lumiere d eric rohmer

Christiane Mutshimuana

les ombres de mon temps s y dévoilant

liés aux industrie se décentralisant ..devenir génération raison carrière ..étions nous a l arrière seigneur sur le cul

dada du réalisme avocat des paradoxes

au bord de la membrane

a moi ma dissidence

on réajuste la ligne ..faut de l hameçon amidon ah mais non

ni dogme ni tarte aux pommes tu l achète au shell market et 2 heures après du moisi si si si

de la nature clientèle

quand j ai vu nassérien hodja s y promenant dans la grande ville en fêté

dans les créneau d Éric lui me dit son rêve ce régie travail ceinturant le vert comme verdure du langage

l accent rigolard faut vieux jeu dit nassérien

son trésor est à l autre coté y est allé oh il a marché roulé comme pierre

ou sont qui sont mes amis employés citadin tout arrive d un clik et de beaucoup de parking

faut que les gens investissent l aval animé ...festival

 de la haut il en était sur des zones urbaines comme on se voit nous même dans la marche des transports des marchandises dirigées

la terre mise dans ses mains lorsque le gendarme lui mit le nez au sol

il regardait la terre dans ses mains

l homme d armes en mission de paix tenait attaché l étranger

apparu dans les rues de la ville

y vagabondant .nassérien lui dit son rêve

l homme avait vu un arbre

ce n était politique

comme dans un film de Rohmer tournant dans les ellipses

nassérien prit ses click y claquant

dans les appelés Vega y murmurant divorces non pressés

détaillant mille la bas innombrables

se prit à chantonner. Y conversant .de pigeonniers en granges amies

Signaler ce texte