Comme Martin, j'ai fait un Rêve.
alexianel
Il y a 50 ans, jour pour jour, Martin Luther King avait fait un rêve, un rêve rempli d’espoir, de liberté et de fraternité. Un rêve qui ferait la réussite d’une nation, un seul et unique rêve ou tout le monde serait égo. Chaque jour on rêve que demain sera meilleur, qu’hommes, femmes et enfants connaissent tous la paix, le gout d’une faim apaisée. Un rêve ce n’est pas la réalité, des gens meurent sous des ponts, de froid, de faim, d’autres sous des balles, pour la guerre, pour une nation, ou parce qu’ils sont au mauvais endroit au mauvais moment. Quelques-uns meurent pour un peu de sous, pour du matériel. La vie est dur et si tout le monde tentent à être égaux nous devenons tous esclaves face à la puissance au-dessus de nous, face au pouvoir, et aux poches bien remplis: nommé gouvernement. Chaque jour je rêve que dans ce monde où on cherche encore l’égalité, la paix et le bonheur, qu’un jour on ne doit plus survivre sur cette terre mais simplement vivre. Je rêve qu’un jour on soit heureux. Que cette petite Kim Phuc ait donné l’exemple d’une paix recherché, que ces milliers d’enfants qui meurt de faim puissent à l’ avenir nourrir leurs propres enfants, que ces enfants exploités par le grand patronat étranger puissent travailler décemment et avoir un métier avec un revenu correct. Que les maladies puissent être soignées partout. Que les pauvres soient aidées. Que le partage prenne un sens, que l’état ne soit pas égoïste… Je rêve un peu trop car je crois encore au miracle. Demain je me réveillerai et je ne ferais rien de plus pour réaliser ce rêve car je sais au fond de moi que mon rêve est une illusion, demain ni enfants, ni femmes, et ni hommes échapperons en même temps à la guerre, à la famine, a pauvreté et à l’estomac déconcertant du pouvoir international. Je veux un monde ou vivre prend un sens heureux, je veux vivre ma vie et que tous ces êtres autours de nous, qu’on oubli dans nos maisons avec notre confort, soit heureux. On se plaint parce qu’on perd nos proches, nos amis, nos amours, mais regarder quelqu’un de l’autre côté du globe en pleins dans une fusillade qui n’a plus de toit, de père ou de mère et qui doit penser à sa vie, si en vous imaginant cette scène vous êtes capables de vous plaindre face à lui, alors vous n’avait rien compris. Comme Martin Luther King j’ai un dernier rêve, un rêve ou chacun d’entre nous pourrions dire « Enfin Libre »…