Dans la série rencontre... Cours très particulier.

florentin

Ecrit le 24/06/2011 correction le 11/06/2020

Ce lundi matin avait fort mal commencé.Je suis arrivé en retard aux cours, à la suite de problèmes de trains. Ce cours n'était pas important, une option sans unité de valeur pour mon diplôme.

Pour éviter de déranger le professeur. Je me suis installé sans bruit sur la première place à l'entrée arrière de l'amphithéâtre. J'étais légèrement décalé derrière toi en surplomb. La porte donnait à arrière des sièges.

Tu ne m'avais pas remarqué. Tu naviguais déjà dans tes songes. Tu pensais surement être la dernière. Comme beaucoup d'amphithéâtre, il y avait une tablette qui se rabattait pour permettre de prendre des notes. Tu l'avais rabattu sur tes cuisses.

…………………………………………………

Je n'avais rien remarqué de particulier. Si peut-être, tu étais bien engoncée dans ton siège, rare pour une femme, en général elles sont toujours bien assises.

En te regardant un peu plus précisément, j'ai remarqué que tu te caressais le bas des cuisses, jusque là rien d'anormale. Tes mains étaient près de tes genoux, tu commenças à remonter tout doucement en alternant des mouvements de va et vient tes mains passèrent doucement sous ta jupe.

Nous étions en été. Tu portais une jupe légère et tu avais les cuisses nues.

Tu remontas délicatement ta jupe. Une de tes mains remonta entre tes cuisses en s'enfonçant entre elles. Visiblement, tu semblais en tirer une certaine satisfaction.

Tu devais penser que personne ne te voyait.

En t'observant, je devinais que tu écartais ta culotte pour mieux te caresser. Je voyais ta main bouger tantôt par des petits mouvements de va et vient alternant avec des mouvements plus amples qui signifiaient que tu devais te pénétrer.

J'imaginais ton sexe gonflé par le plaisir et son humidité bien chaude. Ton plaisir allait en augmentant.

Tu accélérais tes caresses, tu serras les dents.

Soudain, le plaisir t'a envahi, fort, violent ... surement divin.

Après ce moment d'action, tu semblais sereine, jusqu'au moment ou tu tournas la tête. Tu ne m'avais pas remarqué arriver, tu fus surprise, tu devais être déjà dans tes envies de satisfaire la biologique de ton corps.

Je t'es senti très tendue et nerveuse, tes pommettes ont rougi.

……………………

Le milieu de matinée arriva, le professeur arrêta son cours pour que nous fassions une pause.

…………………….

Alors que je me dirigeais vers la machine à café.

Tu m'abordas :

« Bonjour. »

Je me retourne : « Bonjour. »

« Discrétion j'espère. »

« Sur quoi, je n'ai rien vu. Je suis une tombe. »

« Tu me dis que tu n'as rien vu. Alors que je sais que tu as tout vu. »

« Difficile de rien voir de ma position, le spectacle m'a beaucoup troublé. Je te garantis ma discrétion. »

« Tu n'étais pas là au démarrage ?»

« Non, je suis arrivé en retard. »

« C'est pour cela que je ne t'ai pas vu. »

« Quand je suis arrivé tu semblais déjà dans tes rêves. »

« Cette option est chiante. »

« Oui, pas très passionnante. »

« Tu viens à côté de moi, après la pause. »

« D'accord. »

…………………………………

Quand la formation redémarra, nous étions déjà installés l'un à coté de l'autre.

Nous avions droit à un film pédagogique pour illustrer la première partie du cours. L'amphithéâtre se retrouva dans la pénombre.

Tu me pris la main et la posa sur une de tes cuisses.

J'étais un peu surpris mais ravi.

Ta cuisse avait la peau très douce.

Ma main glissa lentement sous la lisière de ta jupe.

Tu me regardas sans rien dire, juste un petit sourire de bien venu dans ton intimité.

Ton regard luisant était rempli de désir.Ma main continua à remonter lentement et à s'enfoncer au creux de tes cuisses.Je sentais ton corps frissonner, tu avais la chair de poule malgré la chaleur de l'été.Tu t'engonças à nouveau dans ton siège.Tout en écartant les cuisses pour me laisser un accès libre à ton intimité.

Ma main arriva à ta petite culotte en lycra. Je sentais parfaitement les formes de ton sexe à travers le tissu fin et humide.Ta respiration était saccadée, mais discrète.Ma main remonta jusqu'à la l'élastique de la taille.Tu te soulevas légèrement et tu descendis ta culotte à mi-cuisses.  

Ma main caressa ta douce toison. Mes doigts jouaient avec elle. Je faisais semblant de la peigner ou je tirais légèrement dessus.Puis mes doigts s'aventurèrent un peu plus bas.

Je caressais l'extérieur de ta grotte du plaisir.Deux de mes doigts écartèrent tes lèves. Une de tes mains saisit ma main caressante, elle guida mes doigts dans ton intimité. Puis, ils glissèrent en toi déjà toute en humidité.Mes doigts faisaient des aller et retours entre ton petit bouton on/off et ton vagin.Ils alternaient des mouvements de va et vient et quelques petites caresses sur ton clitoris en le titillant, le serrant légèrement.

Tu serrais les dents. Ton sexe était grand ouvert et assez humide pour un véritable coït.

Pendant que j'explorais ton intimité, tu te soulevais légèrement pour me faciliter la tâche.

Tu finis par jouir. Tu te mordais la main pour ne pas laisser échapper un bruit.

J'enlevais délicatement mes doigts de ton intimité pour les porter à ma bouche.

« Humm, tu es vraiment délicieuse. »

Après t'être remise de tes émotions.

Tu commenças à me caresser.

« Ce n'est pas raisonnable. »

Tu me glissas à l'oreille « Vu comment tu es dur. Je te pari que je te fais jouir rapidement. »

« Tu sais comment ça finit…Une femme ne mouille que sa culotte. Un homme… »

« T'inquiètes pas. »

Tu dégrafas les boutons de ma braguette.

Tu sortis ma verge. Ta main me caressait doucement.

« Tu penses que le film va encore durer longtemps. »

« Vu l'heure, peut-être 15 minutes peut-être moins. »

Tu te penchas sur moi. Tes lèves se posèrent sur mon gland. Tu avalas mon sexe lentement. Entre tes lèves et ta langue je ne sais pas ce qui me donnaient le plus de plaisir.

 Tu alternais mouvements lents puis rapides, aspirations, rotations de ta langue.

« Relève toi. C'est le générique de fin. »

« Dommage, quelques minutes de plus et je te faisais jouir. »    

« Fin prématurée… »

Tu sortis un mouchoir de ton sac, tu t'essuyas la bouche.

Tu me déposas un bisou sur la joue.

La lumière se ralluma. Le professeur fit la synthèse et la conclusion de la séance.

« Tu as une chambre au CROUS, je t'ai déjà vu là-bas. »

« Oui. »

« RDV 19H30 à l'entrée du restaurant. Après nous allons dans ta chambre ou la mienne ? »

« Comme tu veux. »

………………………………………….

Notre première nuit, d'abord un accouplement animal, puis nous l'avons passé à nous découvrir, sensuelle douceur charnelle. Nos corps se sont apprivoisés.

Signaler ce texte