Dans la série rencontre... Une table a essayer.

florentin

Ecrit le 10/05/2011

Nous nous sommes donnés rendez-vous dans un square dont tu n'avais dit bien connaitre, relativement petit et peu fréquenté.

Je suis rarement en retard, mais cette fois le temps de trouver une place pour stationner. Je suis bien obligé de l'admettre, je me présente un peu en retard à ce premier rendez-vous.

Lorsque je rentre dans ce square, ce qui me frappe, personne, pourtant ce parc est bien ombragé, intimiste et très agréable.

J'aperçois la fontaine au centre, notre point de rencontre.

Je pense : [Personne, cela ressemble à un lapin, je me suis fait avoir, pas grave toujours difficile d'affronter la réalité, elle est pardonnée d'avance.]

Sur le coté un peu plus loin, il y a un band avec une femme allongée avec une jolie robe rouge.

[Hum, très jolie, une photo serait pas mal.]

Je me rapproche de la fontaine. La femme me regarde, se remet à nouveau à regarder le ciel tout en relevant les jambes, sa jupe glisse et laisse découvrir ses cuisses.

[Décidemment, vraiment très charmante.et très sensuelle cette femme.]

J'arrive à la fontaine, je sors mon téléphone, pas de message.

[Bon attendons un peu, une femme se fait toujours attendre.]

Je sens une tape sur l'épaule : « Bonjour, tu es Florentin, je suppose. »

En me retournant « Oui. »

« On se fait la bise. »

« Excuses moi d'être en retard. »

« Pas grave, cela m'a permis de t'observer, quand tu es entré, j'étais sûr que c'était toi, tu portes ton sac à dos comme tu me l'as décrit. »

« C'était toi sur le banc. »

« Oui. »

« En t'observant, je me suis dit que cela aurait fait une bien belle photo très sensuelle. »

« On ne m'avait pas encore dragué comme ça, tu m'avais aperçu, pourtant il m'avait semblé que tu étais indifférent. »

« Difficile de ne pas te remarquer, tu étais sublime sur ce banc. »

« Tu te la joues à l'anglaise, tu observes discrètement. »

« Tu as un jeu de jambes exceptionnel, tu t'es fait de l'auto-publicité. »

« Si je ne fais pas ma promo, qui va la faire. »

« Heureusement, que tu as posé ta main entre tes cuisses, autrement tu dévoilais la couleur de ta petite culotte. »

« Une femme sait ce qu'elle fait, je t'ai montré ce que je voulais. »

« Une femme est toujours plus futée qu'un homme. »

« Aller vient, on va discuter en marchant, il faut que je finisse ma journée, j'ai un appartement à vérifier les gens sont parti ce week-end après nous irons boire un café. »

Tu me prends par le bras et tu te colles contre moi, comme si on se connaissait depuis longtemps.

……

On se connait virtuellement depuis pas mal de temps, voire depuis très longtemps. Mais pas physiquement, il y avait eu des échanges de photos, pas mal mails échangés. Mais là le virtuel disparaissait pour être remplacé par le réel.

Epreuve souvent difficile, ou l'imaginaire disparait pour faire place au concret. Passer du rêve à la réalité, les masques tombent.

En fait, tu es telle que tu te décrivais fonceuse, tu me disais toujours avec toi ça passe où ça casse.

Physiquement je trouve que tu te sous-estimes, tu te disais moyenne, trop maigre, pas très ''rembourrée'', certes pas très ‘'rembourrée ‘' mais tu dégages un charme et un charisme impressionnant.

Je comprends maintenant quand tu me disais vivre avec toi ce n'est pas une sinécure et que tu deviens invivable rapidement.

Tu fonces sans réfléchir, non plutôt c'est l'instinct de guide.

En acceptant ce rendez-vous, nous savions que nous allions devoir gérer de gros problèmes, nous avions chacun notre vie.

Certes, nous n'étions pas satisfaits, certes nous étions attirés l'un par l'autre, certes nous avions beaucoup de points communs.

Toujours est-il que tout les deux nous allions devant de très gros problèmes à gérer, mais l'attirance entre nous était déjà là irrésistible et surement dans un futur plus ou moins éloigné destructrice pour nous et notre entourage.

….

Arrivé à cet appartement, tu ouvres la porte.

« Tu vas voir, il est pas mal, un peu cher, mais c'est quand même une affaire, tu peux déposer ton sac ici. »

Tu prends l'escalier : « Suis-moi. »

« Tu passes ton temps à vérifier et à faire visiter des logements. »

« Non, il y a les crédits, les estimations et tout le reste. »

C'est un vieil escalier un bois très bien entretenu, un peu raide, il tourne vers la gauche.

A mis hauteur, tu te retournes : « ça va, un peu raide cet escalier, c'est le seul problème de cet appartement. »

« Heu, oui. »

« Tu me sembles distrait. »

« Excuse moi, j'avais ton popotin sous les yeux. »

« Ah, il te plait, la jupe est pas mal ce qu'il y a en dessous est plutôt banal. »

« Le banal est souvent intemporel et indémodable. »

« C'est un point de vu. Mais s'il te plait, j'en suis heureuse, nous en sommes là un peu pour ça. »

Arrivé à l'étape, tu me fais visiter les pièces pendant que tu vérifies si toutes les fenêtres sont bien fermées et que les occupants n'ont rien oublié.

…..

En revenant au rez-de-chaussée.

…..

« Regarde, ils ont oublié une table. »

Comme à l'étage, tu vérifies tout.

« Alors, tu en penses quoi ?»

« Pas mal, même très bien, les pièces sont grandes et claires. »

Tu retournes voir la table.

« Il va falloir que je les appelle, elle est vraiment bien cette table simple et solide. J'en cherche une s'ils n'en veulent pas, je la prendrais bien, tu peux venir me dire ce que tu en penses. »

Tu poses tes fesses sur la table et tes deux mains sur le bord en faisant des mouvements pour vérifier sa solidité.

Je m'approche, me penche et vérifie son état.

« Elle est très bien cette table, c'est une affaire. »

Ta main se pose sur la mienne.

Un regard s'échange.

Tu me tires vers toi.

Nos bouches se rapprochent, s'effleurent, se touchent, se collent.

Nos langues n'ont pas cette hésitation.

Je sens tes jambes m'enlacer.

Nos mains se caressent à travers nos vêtements.

« Est-ce raisonnable ? On avait dit pas la première fois. »

« Chut… Ne te pose pas de question, quand une femme s'offre, elle n'accepte pas le refus. »

Décidément, tu es comme tu t'es décrite, si tu flashes sur une chose ou personne, tu n'hésites pas.

Une femme décidée et déterminée peut faire peur à beaucoup.

Une de mes mains délasse ce petit nœud au creux du V de ta robe, pendant que tu sors ma chemise de mon pantalon, pour passer tes mains dessous et me caresser.

Moi, je fais glisser une bretelle de ton épaule pour découvrir un sein.

Je peux admirer ce joli petit sein adorable, je le caresse.

J'écarte l'autre bretelle pour admirer ta charmante poitrine, tes mamelons son déjà tout excités

« Je t'avais averti, il n'y a pas grand-chose. »

« Ils sont adorables, regarde juste la bonne grosseur pour mes mains. »

« Alors qu'est-ce que tu attends, ils sont impatients de connaitre la douceur de tes lèves et de ta langue. »

Je les embrasse à tour de rôle, je joue avec, mes lèves et ma langue sont comblées.

Tes petits seins sont superbes, je pose à nouveau mes lèves sur un mamelon et avec ma langue le caresse, je l'aspire.

Pendant ce temps mes mains sont passées derrière ton corps pour caresser tes fesses, je les sens se contracter à travers tes vêtements.

Je relève ta jupe et passe une main dans ta culotte pour caresser la peau soyeuse de tes fesses, mes doigts arrivent à frôler ton entre cuisses ou un doigt en passant sens l'humidité de ton sexe.
Je continue à t'embrasser, je décent vers ton bas ventre en te caressant, en te faisant des bisous partout à travers ta robe.

Je reste un peu la hauteur de ton nombril, je soulève ta jupe pour passer la tête dessous.

Là, je sens l'odeur agréable de ton sexe à travers cette petite culotte en dentelle transparente.

Je prends le haut de ta culotte de chaque coté de tes hanches, je la fais descendre doucement.

Maintenant, je peux vraiment sentir ton sexe, j'ai le nez dessus. Hum, cette odeur de femme, je plaque mes mains sur tes fesses et plonge mon visage dans ton intimité, je la sens, je l'embrasse pendant que tu t'allonges sur la table et passes tes jambes sur mes épaules. J'ai enfin accès à ton intimité, je l'embrasse. Mon sexe lui m'attend qu'une chose, il me dit va y pénètre la, il faut résister et continuer les caresses. Je te lèche, j'écarte les lèves de ton trésor intime, merveilleux cadeau que tu m'offres.

Avec ma langue, je tourne autour de ton sexe et progressivement je vais au centre et de plus en plus profondément, je sens l'entrée de ta grotte du plaisir, tes fesses, tes cuisses se contraster.

Ton sexe sens bon, il est plus proche d'une source que d'une caverne humide.

J'embrasse l'intérieur de tes cuisses en les caressant, tu me caresses la tête et la tiens pour que je reste dans ton entre cuisses, endroit très sympathique et très joliment parfumé par ton élixir du plaisir.

J'ai une très jolie vue sur ton corps, les yeux à hauteur de ta toison qui protège ce joli trésor et qui permet de lui garder un certain mystère.

Je voix ton ventre respirer tes seins avec leurs petits mamelons bien contractés.

Tu me fais signe que tu veux changer de position.

Tu te retournes et t'allonges sur la table à plat ventre et tu écartes les jambes, pile ou face les vues sont superbes tes fesses et ton sexe sont des merveilles de la nature.

Je peux à nouveau t'embrasser et te lécher, ton anus, petit trou du diable délicat que je découvre en écartant tes fesses, endroit intime qu'il faudra explorer une prochaine fois.

Il est difficile de résister à une femme dans cette position.

Mon sexe est vraiment très excité.

Je suis obligé de me relever et te pénétrer.

Je commence un mouvement de va et vient, je suis bien dans ton sexe, j'ai l'impression de toujours l'avoir connu, je te caresse le dos, je te tiens par la taille pour entrer le plus profondément possible en toi, nos sexes ne font plus qu'un, mes mains attrapent tes seins.

Tu te retournes à nouveau avec tes jambes, tu me sers la taille, je vais et je viens en toi.

Tu es empalée à mon sexe.

En regardant vers le bas, je vois mon sexe dans le tiens, ton ventre respire fort, tes seins sont excités, ce joli corps a demi-nu, avec ta main tu prends la base de ma verge et accompagne mes mouvements.

Tu te relèves et m'enlaces par le cou, on s'embrasse, je ne peux plus me retenir.

C'est l'explosion finale, avec tes jambes, tu appuis très fort sur mes fesses pour que je rentre encore plus profondément en toi, tu te rallonges en m'entrainant avec toi.

On s'embrasse, on ne bouge plus, on se remet de nos émotions, il nous faut reprendre des forces.

« Pas mal pour une première fois, un peu bestiale, mais entre nous ce ne pouvait qu'être comme ça. »

« Tu n'as pas tenue ta promesse. »

« Les choses ne se passent jamais comme nous le prévoyons. »

« Tu es sûr ? »

« Dans l'escalier, j'ai senti que tu avais envi de moi, puis cette table, moi assise dessus, toi juste à coté de moi. De toute façon, je ne me voyais pas programmer un rendez-vous juste pour faire l'amour. Cela doit s'improviser, là c'était bien, imprévu. »

Nous remettons nos vêtements, tu passes ta main entre les cuisses.

« Tu as été au moins aussi émotif que moi, j'ai le poile qui colle, ça fait petite fille négligée. »

« Négligée non, plutôt une charme femme après un déffleurage. Tu veux que nous allions prendre un café ? »

« Gentil, Il est trop tard pour le café, je dois aller chercher ma fille à l'école, tu peux me déposer, mercredi prochain je t'emmène découvrir un petit meublé avec un superbe lit, tu peux ?»

« Pour toi, oui, mais les choses compliquées vont commencer pour nous. »

« En amour tout est compliqué, et les amours compliqués sont les plus délicieux. Ils font le plus souffrir, mais quel délice quand tu es avec ton partenaire. »

« Tu penses résister longtemps à mener une double vie ?»

« Je vis l'instant présent, on verra, il ne faut pas se poser ce genre de question ; il faut profiter de l'instant présent. »

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