Dans la série rencontre... Accident de vélo...

florentin

Ecrit le 12/03/2011

Comme souvent le week-end, je fais une matinée de VTT pour me détendre.

Ces sorties sont entrecoupées de diverses activités suivant les époques (champignons, châtaignes, muguet…)
Ce jour-là, je ne pensais pas trouver une si charmante rencontre.

Mes parcours ont deux ou trois départs différents, j'avais décidé de passer par un arbre historique « le chêne mademoiselle », certaines personnes l'appellent « le chêne d'Henri IV » pas besoin de vous faire un dessin, ce lieu lui servait de rendez-vous galants (il existe vraiment).

J'arrivais dans une descente avant de sortir de ce bois qui débouchait sur un grand champ de blé.

Quand au loin, j'aperçus un vélo tombé sur le bas coté.

En arrivant à la hauteur de ce vélo, je t'aperçois sur le coté assise.

« Vous avez un problème visiblement. »

« Oui, je me suis pris la roue avant dans un rondin de bois en travers du chemin. »

« Il y a du bobo ? »

« Un peu, le mollet, la cuisse, la fesse et le short déchiré » en me montrant la déchirure du tissu qui laissait apparaître une partie de ta fesse et un petit bout de dentelle légère. »

« J'ai de l'eau dans un bidon pour nettoyer les éraflures et un peu de désinfectant dans mon sac. »

…..

Je commençais par le mollet pour remonter sur la cuisse, arriver en haut de la cuisse.

« Après, je ne sais pas si je peux toucher ? »

« Une fesse tu connais, quand même !»

Tu tiras ton short pour dégager ta fesse : « Tu peux y aller. »

« Je pense qu'il y a des échardes en plus. »

« Tu peux les enlever ? »

« Oui, mais soit tu agrandis la déchirure ou tu enlèves ton short autrement cela me semble difficile. »

Ta timidité s'envole. » tu n'hésitas pas à enlever ton short et t'allonger sur le dos.

Je commençais à enlever les échardes une à une.

« Imagine-toi que quelqu'un passe !»

« Hé… tu as le droit de prendre soin d'une amie quand même. »

« Une amie de 5mm. »

Tu regardas ta montre « Je dirais 7 mm et en 7mm on peut en faire des choses ! »

Après avoir enlevé les échardes, je finis par nettoyer et désinfecter les éraflures.

Bien sur inévitablement ta culotte fut mouillée ce qui laissa voir en transparence une partie bien plus intime de ton anatomie.

« Ta fesse est presque neuve avec un peu de patience, elle redeviendra aussi jolie qu'avant. »

« Tu la trouves jolie ? »

« Oui, je mettrais 8 ou 9 sur 10. »

« Moi, je ne la trouve pas si formidable que ça. »

« Là t'as tort, …. je vais regarder ton vélo »

« Il y a un pneu de crevé, je vais le réparer. »

« Merveilleux, je suis tombé sur un saint, d'habitude j'ai droit à un bodet… »

Tu te retournas un restant allongé dans l'herbe.

Pendant que je réparais ton pneu, tu balançais une de tes jambes laissant entrevoir ton entre cuisses, visiblement tu n'étais pas pressée de remettre ton short.

Ta culotte cachait ton petit trésor, je pouvais le voir en transparence, difficile d'imaginer que tu ne savais pas ce que je voyais. Une femme montre en général que ce qu'elle veut bien.

….

« C'est réparé. »

Tu essayas de te lever, tu fis une grimace.

« Là ça ne va pas ! »

« Tu as un problème ?»

« La cheville, je pense que je me suis foulée la cheville. Je ne vais pas pouvoir repartir à vélo. »

« Ah là, il va falloir improviser ? Tu habites où ? »

« Tout là-bas où il y a la grande cheminée. »

« Je t'emmène au bout du champ, il y a la route et je reviens te chercher en voiture, j'en ai pour une demi-heure maximum ?»

« Ok, c'est super gentil. »

Après t'avoir installé le long d'un mur au soleil. Au moment où j'allais partir, tu m'appelas : « tu peux venir ? »

« J'arrive. »

« Penche-toi. » Tu me fis un bisou sur la joue.

« C'est pour quoi ? »

« Tu te rappelleras de moi et tu reviendras, bien sur. »

« Aller à plus … » En souriant.

…..

De retour.

….

Après avoir chargé ton vélo, je suis venu te chercher, je te pris par la taille, toi tu passas ton bras autour de mon cou, coplin coplan nous nous sommes rendus à ma voiture.

Avant te mettre en position pour t'asseoir, tu te tournas, là nous étions dans un face à face très chaud, moi te tenant toujours par la taille toi par le cou, nos regards se croisèrent, nos bouches s'effleurèrent, nos yeux s'observèrent, je sentais ton odeur de femme. Un incident survint imprévu qui rompit cette approche de deux corps qui s'attirent, ta cheville tu l'avais oublié, mais la douleur te fit un rappel à l'ordre.

….

Nous Arrivons à ton immeuble, devant l'ascenseur, nous attendions son arrivée, toujours dans cette position que finalement je ne trouvais pas si désagréable que ça.

Ton bras autour de mon cou, moi te tenant par la taille, tu n'hésitais pas à l'appuyer sur moi.

Une fois entré dans l'ascenseur, tu appuyas sur le bouton de ton étage, la secousse du démarrage te fit basculer sur moi, pour te retenir je te pris par les 2 bras, tu te retrouvas serrée à nouveau contre moi, tes bras autour de mon cou, nous étions dans ce face à face collés l'un contre l'autre, il ne restait plus que le baiser, ce qui advint naturellement, quand l'ascenseur arriva à ton étage, tu appuyas sur le bouton ouverture des portes pour pas qu'elles se referment pas, le temps de finir ce premier baiser.

Devant la porte de ton appartement tu voulus recommencer ce petit jeu qui visiblement te plaisait bien.

Entré chez toi, tu me donnas une pommade, que j'étalais sur ta cheville.

« Excuse moi, mais je dois partir, vu l'heure… »

« Attend, tu me donnes ton N° de téléphone et ton adresse mail. » tu me tendis une feuille et un crayon.

« Ok, tient voila, au revoir je suis en retard. »

« Attend. » tu te levas « Approche. »

Tu me passas les bras autour du cou et tu m'embrassas.

« J'ai besoin de garder le gout de tes lèves. »

Je sentis ta main descendre sur mon pantalon.

« Je peux toucher. »

« Oui, mais tu vas dans un terrain dangereux. »

« J'ai besoin de te mémoriser pour mes rêves. » Tu glissas ta main dans mon short.

« Vraiment dommage que je ne suis pas en état. »

Tu pris m'a main, tu la guidas dans ton short la posa dans ton entre cuisses.

« Tu peux caresser. » en caressant ta culotte, je pouvais sentir la forme de tes lèves, la chaleur et l'humidité qui la traversait.

« N'abuse pas trop, c'est jute pour se rappeler pour rêver et désirer. » en me reprenant la main.

Tu m'embrassas à nouveau….

…..

Durant la semaine suivante nous échangeâmes pas mal de mails et de coups de téléphone.

Toujours est-il que le WK suivant s'annonçait ensoleiller. Tu me donnas rendez-vous devant ce fameux chêne.

….

Quand j'arrivais devant cet arbre, tu étais déjà là à m'attendre, tu te précipitas pour m'embrasser.

« Je t'emmène dans un endroit que tu ne connais pas, on y fait des voyages fabuleux. »

Je te suivais, nous étions sortis du bois, nous roulions dans un chemin pas très fréquenté.

Tu t'arrêtas et descendis de ton vélo.

« Suis-moi. »

Tu entras dans le champ de blé qui bordait ce chemin. Tu suivais le sillon qu'un tracteur avait laissé au bout d'une dizaine de mètres peut-être plus, tu partis à la perpendiculaire, quelques mètres plus tard tu couchas ton vélo, tu étalas une couverture que tu avais sur ton porte bagage.

Tu t'assis.

« On était arrêté où la dernière fois sur le bord du chemin. »

« Tu étais allongée, mais tu n'avais plus de short. »

Aussitôt dit aussitôt fait, tu enlevas ton short.

« De mémoire, tu massais ma cheville. »

Je commençais par masser ta cheville puis par l'embrasser, ma bouche remonta progressivement le long de ton mollet, puis de ta cuisse en déposant des baisers et en te caressant.

Pour arriver à ta petite culotte. Tu enlevas ton tee-shirt.

Après t'être rallongés, je continuais l'exploration de ton corps d'abord ton ventre puis ta poitrine.

« Tu en as mis du temps. Le chemin était long ou difficile à trouver ? »

« Le terrain est vallonné, il mérite d'y consacrer du temps. »

Nos bouches firent ventouse, tes jambes m'avaient enlacé.

Ma main glissa sous une de tes fesses et enfin sous le tissu de ta petite culotte, mes doigts arrivèrent sur tes lèves, je les caressais, je finis par entrer dans cette fente qui ne demandait que ça.

Le bout de mes doigts était déjà couvert par ton élixir.

« Tu me chuchotas à l'oreille, tu l'enlèves quand ma petite culotte, tu es trop timide pour l'enlever. »

« Bientôt, il faut que je finisse l'exploration de ton corps. »

« Hum…. alors continues ton exploration… »

Quand mes doigts sentir que te fontaine de vie coulait en quantité et était suffisamment ouverte.

Je me glissais vers le bas de ton corps pour enlever cette fameuse petite culotte qui te gênait….

Tu écartas les jambes en grand, tu me saisis par les épaules pour m'attirer à toi.

« Ce n'est pas trop tôt, j'ai une telle envie de toi. »

Tes mains me prirent la tête, pour guider ma bouche sur la tienne.

Nos corps s'assemblèrent, ce coïte fut au début un moment de douceur mais cela ne dura pas longtemps nos corps s'agitèrent… jusqu'à l'explosion finale, je sentis ton corps vibrer de plaisir…. Puis le calme…le silence… Pas tout à fait, on entendait les oiseaux et les grillons chanter.

Tu regardas l'heure.

« Finalement pour un premier accouplement, nous avons tenu plus longtemps que je pensais. »

« Tu pensais que nous allions faire ça comme des animaux à la sauvage. »

« Oui la première fois, c'est souvent comme ça. »

« Tu comprends pourquoi je ne t'ai pas enlevé ta culotte tout de suite. »

« D'accord …. Autrement, tu m'aurais fait ma fête comme un animal sauvage. »

« Quand tu connais tes faiblesses, tu ruses. »

« Finalement, on s'est pas mal débrouillé. »

….

« Tu penses que l'on a le temps de recommencer. »

« Je pense que oui. »

Tu te levas

« Ici c'est tranquille, il n'y a vraiment personne. »

Tu m'enjambas.

Tu étais maintenant au dessus de moi.

« Comment tu me trouves. »

« Sous cet angle, très jolie. »

Tu t'accroupis sur moi

« Pas ça…. Tu penses que l'on peut faire un bout de chemin ensemble. »

« Je pense que oui, si tu as de la patience. »

« Et toi tu en as de la patience. »

« Avec une femme, ce n'est pas de la patience qu'il faut… »

Je sentis ta main me tirer par l'oreille « Tu veux dire quoi ? »

« Du dévouement, tu rentres en religion comme quand tu crois en Dieu. »

« C'est un peu vrai… »
Tu m'embrassas

« Alors on tente. »

« Ce serait bête de ne pas tenter. »

« On peut reprendre notre corps à corps …. ton pistolet est rechargé. »

« Presque, si tu t'en occupes, il va se recharger plus rapidement. »

……

Cette aventure n'était que le début d'une histoire bien plus longue…

Signaler ce texte