Dans la série rencontre... La librairie....

florentin

Ecrit le 15/03/2011

Cela faisait un bon moment que nous échangions des messages régulièrement sur le mur de nos blogs. De temps en temps, il y avait aussi ces mails privés un peu plus personnel, mais cela restait des banalités assez courantes.

Ce qui m'a rapproché de toi, c'est ce livre que je cherchais, une vieille édition sur le jardinage : l'entretien et la greffe d'arbres fruitiers.

L'idée de t'envoyer un message ne m'est pas venue tout de suite.

Quand cette idée m'a effleuré l'esprit, j'ai eu un moment d'hésitation, il est toujours difficile de franchir le pas du virtuel, mais je me suis dit finalement cela faisait suffisamment de temps que nous échangions des messages pour avoir une certaine confiance en toi.

……

Tu me répondis par un mail privé :

[Tu ferais mieux de passer à ma librairie, je n'ai peut-être pas cette édition mais j'ai quelques vieux livres intéressants sur le sujet qui pourraient te plaire.]

Quand je suis arrivé dans ta librairie.

Tu étais seule, tu étais dans le rayon jeunesse à classer des livres.

Tu m'avais dit de passer ce jour là et à cet horaire, car il n'y aurait sûrement personne.

……

« Bonjour. »

« Bonjour, que voulez vous ?»

« Je me présente Florentin. »

« Ha, le chevalier, tu n'es pas tout à fait comme je l'imaginais, mais tu es pas mal. »

« Tu es jolie aussi, moi j'imaginais une vieille fille guindée, alors que tu es charmante. »

« Tu sais dans les librairies, il y a des petits trésors qui demande qu'à se réveiller. »

« Comme quoi il ne faut pas se fier à des idées préconçues. »

« Tu as du temps ?»

« Oui. »

« On peut manger ensemble alors. »

« Si tu veux. »

« On pourra discuter et se connaitre un peu mieux. »

Tu m'emmenas dans le fond de ton magasin pour me montrer les livres que tu m'avais mis de cotés.

…..

La sonnerie de la porte sonna.

…..

« Ah, un client je te laisse. »

Après quelques instants, tu reviens.

« Tu as trouvé ce que tu voulais. »

« Oui je pense, regarde celui là. »

Tu voulus le prendre, nos mains se frôlent, il y eu une hésitation réciproque, tu me souris.

« En début d'après midi, tu veux que je te montre mon rayon de littérature coquine dont je te parle régulièrement, il y a des textes, humm, d'une sensualité… »

« Oui, surtout si c'est accompagné d'une charmante femme connaisseuse. »

« Aller on va manger. »

…..

Pendant, le repas nous discutons de tous les sujets qui nous intéressent.

…..

Au retour, dans ta librairie, tu ouvris la porte, nous entrons et tu refermas derrière nous.

« Tu mets le verrou. »

« Oui, tu sais à cette heure il n'y a personne, je ne perdrais pas beaucoup de clients. »

Tu passas devant moi pour me guider.

Excuse-moi, mais je n'ai pas pu faire autrement que d'admirer ta croupe.

Il faut dire que tu as des galbes…. Sous ta jupe se dessinait une petite culotte, à travers ton bustier je devinais ton soutien gorge….

Je me suis dit : Vraiment très très jolie cette libraire.

Tu m'emmenas au fond de la librairie.

Tu pris un tabouret « Tient, assied toi. »

Tu pris un premier livre.

Tu me lis une page.

« Tu en penses quoi ?»

« Très sensuel, rien n'est cité tout est subjectif…vraiment très bien. »

Ce passage tu devais l'apprécier.

Deux petites boules étaient apparues à travers ton bustier.

…..

Tu pris un deuxième livre, tu le posas devant moi.

« Lis ce passage, je reviens, je vais mettre un écriteau pour dire que j'ouvre plus tard. »

…..

Tu étais revenue derrière moi.

Tu te penchas, ta tête était à la hauteur de mon épaule. Tu passas tes bras de chaque coté de mon corps sous mes bras, tu pris le livre. Tu me susurras à l'oreille le texte que je venais de lire.

Ta poitrine était plaquée sur mon dos. Je sentais ton cœur battre, ta bouche me frôlait la joue, le souffle de ta respiration caressait mon visage.

A la fin tu texte.

« Alors. »

« Avec une conteuse comme toi on a qu'une envie : vivre ce texte. »

Tu pris un autre livre, tu le posas sur la table.

Tu commenças à lire :

[La femme fille posa ses mains sur son ventre. (Tu posas tes mains sur mon ventre)

L'homme posa ses mains sur les siennes (Mes mains se posèrent sur les tiennes)

Il guida ses mains vers la ceinture de son pantalon (nos mains descendirent à la hauteur de ma ceinture)

La jeune femme glissa une main dans son pantalon (Ta main entra dans mon pantalon)

L'homme saisie avec sa main le bas de la cuisse de la jeune fille (Je pose ma main sur ta cuisse)

Sa main remonta le long de sa cuisse, la jeune femme écarta doucement les jambes pour laisser remonter sa main. (Ma main remonta doucement le long de ta cuisse en la massant, tu écartais les cuisses, je sentais tes muscles se contracter.)

Sa main arriva à son intimidé, il pouvait sentir ses poiles. (Ha là, il y a une différence, la demoiselle du livre n'avait pas de petite culotte, toi si…Ma main toucha le tissu de ta culotte. La soie était humide. Un de mes doigts se glissa entre le tissu et la chaire de ton intimité.)

L'homme entra un doigt puis deux, la jeune femme commençait à savourer les caresses que l'homme réalisait dans son intimité (Tes lèves étaient humides, mes doigts couverts de ton élixir, je rentrais un puis deux doigts, je commençais des aller et retours.)

La jeune fille saisit le sexe et commença des aller et retours. (Ta main avait enlacé mon sexe et le caressait.)]

…..

Ta joue était contre la mienne, tu voulus m'embrasser. Nos bouches s'effleurèrent, nos langues se touchèrent.

…..

« On peut se passer du livre maintenant. »

« Je pense, nous sommes assez grand, je crois. »

Tu tournas autour de moi pour me faire face, tu écartas les livres qui étaient sur la table.

Tu approchas, tu t'assis sur mes cuisses.

Tes bras m'enlacèrent. Nos bouches s'attirèrent comme des aimants (pour des amants ça rime).

Un peu tôt peut-être pour des amants…Il faut plusieurs moments d'égarements pour être amants….

Nos langues se mélangèrent.

Je réussis à enlever ton bustier puis ton soutien gorge entre deux baisers, toi ma chemise.

Tu te levas, tu relevas ta jupe, puis posa tes fesses sur le bord de la table.

Je me levais à mon tour. Tes mains m'enlevèrent mon pantalon, puis mon slip.

Moi je t'embrassais sur les seins, ma langue jouait avec tes mamelons.

Tes bras m'enlaçaient. Ma bouche savourait tes seins. Tes mamelons étaient dressés et durcis par le plaisir.

Je me mis à genoux pour aller embrasser ton intimité que j'avais déjà caressés de mes doigts.

Pour ça, il fallait que j'enlève ta petite culotte, tu t'allongeas sur la table.

Tu avais passé tes jambes sur mes épaules.

Ma bouche n'avait plus qu'à se poser sur cette bouche intime ou plutôt cette fontaine qui coulait à flot. Mes doigts écartèrent tes lèves qui fermaient l'accès à ta grotte du plaisir.

Ma langue caressait tous les plis et les endroits possibles.

Ton élixir avait le gout de la femme en chaleur, chaud et délicieux.

Tes mains me tenaient la tête pour m'accompagner et me guider dans ton plaisir.

Ma langue explora longuement cette fente qui gonflait et s'ouvrait un peu plus à chaque coup de langue.

Tes lèves avaient gonflé, ton bouton on/off était en position on à force de le titiller….

Tu étais fin prête pour l'assaut final.

Quand je me suis relevé, tu m'as tendu les bras pour m'accueillir en toi et sur toi.

Cette éteinte fut agité, entre les coups de reins que je te donnais, tes pieds qui m'accompagnaient à chaque aller retours, nos bouches emmêlées l'une dans l'autre.

L'explosion finale fut forte à la hauteur des textes que tu avais lus.

Nous sommes restés quelques instants à nous remettre de nos émotions.

« Pas mal, ce mélange de lecture suivie d'une application pratique. »

« Oui improvisée, mais pas mal. »

« Moi je pense qu'il faudrait que tu viennes régulièrement acheter des livres, et je te monterais d'autres textes… »

Tu t'habillas, je remis en place tes cheveux.

« Mes vêtements ne sont pas trop froissés. »

« Disons, on voit qu'ils ont un peu vécu. »

« Tant pis. »

« Si tu as soif, avant de partir, il y a ce qu'il faut dans le réfrigérateur derrière. »

Tu allas ouvrir ta librairie.

Quand je suis rentré dans la boutique, il y avait du monde.

« Je dois partir. »

Tu me fis un bisou sur la joue.

« Surtout, tu reviens la semaine prochaine. J'ai des livres à te montrer. »

Une vieille dame de dit.

« Un bon client. »

« Oui très bon, il cherche des livres avec de travaux pratiques. »

« Pour les enfants. »

« Heu, pour de grands enfants. »

« On peut faire plus de choses avec les grands enfants, mais ce n'est pas évident à les occuper, ils se lacent vite. »

« Là, je lui ai trouvé une série, je pense qu'ils ne vont pas se lacer tout de suite… ».

Depuis ce premier rendez-vous, nous réalisons des séances de lecture régulières suivies d'essais pratiques ou lecture et pratique en même temps, tout dépend de la difficulté des travaux pratiques et des circonstances des textes…

 

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