Défilement flaimmard
leonar-asel
Bonjour jeune chagasse,
Il me semble qu'il n'est en aucun cas convenu de prétexter l'incarnation douloureuse de tes ongles de pieds dans le but d'éviter un atelier pour lequel, il me semble, nous nous sommes tous engagés. Le fait est que cette fin d'année est sacrément pénible pour une conséquente partie d'entre nous. Tu n'es pas seul; sèche tes larmes.
D'autres part, il n'y a pas d'heure imposée pour reproduire avec passion les gémissements enjoués de la très convoitée bête à deux dos. D'autant plus que l'acte est des plus appréciable après une dur besogne fièrement accomplie. Mais cela tu ne le sais peut être pas encore. C'est pourquoi, en toute bonne foi, je te propose de luter courageusement contre cette blessure on ne peut plus contraignante, afin de nous satisfaire par ta présence pour une séance que tu avais vaillamment choisi d'assurer au préalable. Ensuite de quoi, nous pourrions nous retrouver pour que je t'offre, à la suite de cette lourde tache qui t'incombe, l'irrésistible gout vigoureux de mes intrépides estocades qui sauront, à coup sur, te faire oublié l'intarissable mal qui loge dans l'antre de ton vulnérable arpion.
Dans l'attente d'une inévitable réponse positive, je te souhaite un rétablissement prompte et adroit.