Désespoir

doly

Quand j’en ait marre de t’attendre, j’imagine que tu viens à moi

Quand je suis seule je t’imagine à mes côtés

Surprise d’être aussi assoiffé de toi en t’ayant à porter de main

Je découvert avec douleur que je t’aime trop, que je t’aime plus qu’a moi

Qu’a me désirs, qu’a mes envies. Je découvert déconcerté que si je veux voir la

Pitié, la folie, le désespoir ou tout simplement quelqu’un avec la rage au ventre de

Rien pouvoir faire,  Je dois juste regarder mon reflet dans  tes yeux.

Surpassé par ce que n’arrive pas, surpassé par la crainte d’être plus que rien mais moins

Que celle qui avait réveillé en toi la passion, l’envie…

Trahi par le temps, trahi par le destin de ton passé

Quoi faire de ces choses que je ne peux pas changer

Ces mêmes choses donc je ne suis pas responsable mais donc je suis la victime.

Quoi faire, quoi dire, quoi répondre quand il n’y a que le silence et l’indifférence.

Me réveiller à tes côtés et me dire qu’il faut faire comme si de rien était,

Comme si en t’embrassant la nuit, je ne me disais pas que mon effort ne marchera pas,

Comme si en te touchant, je ne savais que tu vas t’enfuir et que c’est la seule façon

De te sortir de tes rêves et du lit.  

Je l’impression d’être le réveil trop fort qui ne te laisse que le goût de sortir de la chambre.

Comment faire pour assimiler que tu dis être mienne mais que je ne pas accès à toi.

Me sentir coupable à tord, d’espérer,  espérer quoi ?

Mais putain….juste  un regard  qui veuille se fondre dans le mien,

Un baiser qui chercherai plus qu’a me faire taire,

Est-ce que je suis suffisamment solide pour ne pas te laisser,

Pour ne pas me lasser d’avoir mal, d’être là mais avec l’impérative de

Ne rien sentir, car tu es en train de me tuer.

Suis-je devenu défaitiste ou trop réaliste.

J’aimerais tomber dans tes drags, être soule de ta sueur , désespérer de tes

Caresses, te rendre folle, nourrir nos corps, nos vies,

Avoir des souvenirs réels et non ceux de mes fantaisies.

 Mais mes larmes excusent les mensonges d’une vie incomplète,

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