Connectez-vous pour commenter
El barquo de papel
blackfeather
Deux navires en papier ont encré nos chairs
Désormais empreintes du vent éphémère des passions qui s'accrochent, s'enlacent, s'enflamment et se séparent...
Et lorsque nous aurons cessé de chavirer sur les cours houleux et grisant du désir et de la tendresse
Ce n'est guère l'amertume de l'écume blanchâtre venue imbiber la coque de nos vaisseaux de papier que nous retiendrons,
Mais le souvenir d'un vent léger, ayant gonfler si généreusement les voiles de nos petits bateaux, d'une amitié sincère et profonde, le temps d'un voyage