Elle t’a trouvait

Lorena Arnoux

Mon âme qui airait,

Elle n'avait pas de raison d'être apparente,

Elle était lourde de vide et dénuée de sens.

Mon âme n'était pas seul,

Accompagnée d'une chouette, essayant de lui montrer le chemin, elle n'en avait que faire, Il lui manquait quelque chose…

Une pièce, un morceau.

Puis arriva…

Une autre âme errante…

Tout de suite apaisée, mon âme, se sentit soudainement éprise d'un amour fervent,

Elle avait retrouvé sa complémentarité.

Une connexité pleine de dévotion s'était établie en un craquement.

Le monde s'était figé, un silence s'était installé dans le vacarme paisible qui les entourait.

La chouette fut surprise, une larme perla le long de ses plumes, une larme pleine de frustration et de peine, cette larme c'est celle de mon cœur, qui lui, quand il t'a aperçu, à su que c'était toi, mon âme sœur.

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