Envie bestiale

uzul

(ndla: par respect pour l'autre personne son nom a été changé)


Marlène: « Tiens cadeau, me voilà attachée à ton bon plaisir, pieds et griffes liées... J'ai aimé sentir le ruban glisser et enserrer fermement et avec virilité chaque contour de mon corps nu et offert à ta vue.
Que ces liens aliènent tes désirs, qu'ils te permettent de libérer tes sens par l'emprisonnement des miens.
Soumet moi, montre moi à quel point tu m'aimes, rend hommage au désir qui nous anime, surprend moi, fait moi sourire, fait moi rire, fait moi jouir !
Soumet moi, mais attention ; l'esclave mourra avec le desserrement de ces liens et la farouche forcenée renaitra, plus forte que jamais, et ce sera à toi qu'il appartiendra de répondre de tes actes, de me voir sans me toucher, de me sentir sans me gouter, d'étaler ton corps à la douce torture de mes caprices et de mes envies... »

Uzul: « ça y est je bande, contente? »


Marlène sourie

Uzul: « Il va falloir que l'on te coupe en deux....Une moitié pour Stan, l'autre pour moi; étant donné que le clonage ne fonctionne pas et que tu n'as pas de jumelle.... »

Marlène: « Rigole, à la base on étaient deux dans le ventre, mais l'autre n'a pas bien supporté la grossesse » sur un ton qui sonnait la cocasité de la situation.

« Bah comme je disais à Stan, mon cœur pour lui, mon cul pour toi. Mais je te l'accorde, c'est très réducteur et doublé de vulgarité » ajouta-t-elle sur d'un air amusée.

Uzul: « ok....si j'ai aussi droit à ce qui te sert de cerveaux.... car sans ça le sexe est bien fade ».

Marlène: « ce qui me sert de cerveau ? Petit enfoiré, tu seras punis ».

Uzul: « ohhhh oui....griffe moi, ma jouissance n'en sera que plus forte ».

Marlène pense qu'elle va se laisser pousser les griffes.

Uzul imagine ses longs ongles vernis parcourant son corps, le faisant vibrer sous leur torture.

Marlène alternerait les effleurements du bout des griffes et les crissements d'ongles contre la peau de sa victime... Savourant ses frissons, voyant chaque muscle de son corps se raidir au contact de ses caresses tantôt sensuelles, tantôt sauvages...

Uzul: « GARCEEEEEEEE, putain.... »

Marlène : « Laisse moi zébrer ton corps de mes mains, laisse moi déchirer ta peau, t'arracher des soupirs du bout de mes doigts, laisse toi griffer pour mieux me mordre. »

Uzul: « A tes morsures, je répondrai par les miennes. A tes griffures, je répondrai par mes râles
et mes mains seront pour toi un lien puissant et viril ».

Marlène adore éveiller le désir d'un homme... mais finit toujours par se faire prendre à son propre jeu.

Uzul: « Garce....Putain démoniaque... je saurai te punir de tes mots lubriques par des châtiments qui n'auront rien à leur envier. A jouer avec mon feu je vais finir par te bruler.»

Marlène lance à Uzul un sourire des plus entendus et un regard des plus lubriques : « Brûle moi... brûle moi des tes caresses comme de tes ongles, de tes baisers comme de tes crocs, de tes douceurs comme de tes châtiments... Fait naitre un brasier sur ma peau.»

Uzul: « ...sur ta peau, dans tes chairs, dans ton ventre, j'inonderai de plaisir ce corps qui en réclame tant; je l'immolerai à l’hôtel des perversions. Ensemble nous jouirons dans le sang, la sueur et le foutre.»


Marlène s'approche doucement d'Uzul, un large sourire aux lèvres, et sans le quitter des yeux, se baisse, doucement, s'agenouille face à son entrejambe comme une fervente devant le christ, réclamant l’hostie sacrilège, pour y déposer un baiser appuyé, là, juste sur ce bout de tissu révélant par ses reliefs une envie qui se veut grandissante.

Uzul empoigne la Belle par les cheveux et frotte ce tissus sur son visage, lui faisant sentir la raideur qui s'y cache.
"Allez ma Belle, allumez donc ce cierge".

Marlène se veut faussement docile et obéit, libérant de son écrin de tissu le cierge de ses envies, elle lui donne nombre de prières silencieuses, ou seules la langue et les lèvres viennent implorer le bon vouloir de la Bête... Un sacrilège, un regard ostentatoire, mais tellement bon...

Uzul suis le rythme des vas et viens de la langue d'un lent mouvement des reins, resserrant son étreinte sur sa crinière flamboyante.

« Oui c'est bon, vous m'aviez dit être experte mais jamais à ce point ».

Marlène plus fervente que jamais, se lance corps et âme dans cette quête du plaisir partagé, celui de la bête, de sentir sur sa virilité cette langue appliquée, ses baisers pervers, ses succions espiègles, et celui de la belle de se faire offrande, joueuse, de donner en maitrisant...
« Si tu savais comme ton corps m'inspire... »

Uzul tire lentement sur les cheveux afin de la relever et l'embrasse à pleine bouche, la rejette alors violemment sur l’hôtel derrière elle.
« C'est l'heure du sacrifice, prête à subir les coups de ma dague » d'un regard meurtrier.

Marlène se tient alanguie, attendant que son bourreau la rejoigne, pour mêler les ardeurs et les corps dans une fougue que seule la foi peut inspirer... La foi et l’envie, le désir et le jeu... Frottant ses jambes habillées de bas, comment une invitation à les écarter, un sein curieux laissant échapper un mamelon hors de son décolleté, les cheveux en bataille, son souffle saccade... Elle attend le sacrifice dont elle est l'offrande.

Uzul lui déchire jupon et corset laissant son corps à la peau si douce exposer à sa vue perverse.

« Garce lubrique, tu vas gouter la douleur ».
Il sort alors sa cravache et lui assène coups sur coups cherchant à y laisser les marques de sa domination.
« Je vais te faire montrer les sangs aussi bien que tu as su faire monter ma verge », la tenant d'une main puissante l’empêchant de se soustraire au traitement.

Marlène tressaille sous la libération brutale de ses vêtements, une bouche qui murmure non, des yeux qui crient oui. Une expérience nouvelle pour cette femme farouche, qui s'essaie à la docilité, tentant par fierté de garder sous silence les cris que la cravache cherche à lui arracher... Mais après quelques coups, des soupirs provenant des tréfonds de son âme, abandonnée à son sort, résignée à subir douleur et jouissance sublimement mêlées en la personne d'Uzul... Des soupirs, seigneur, quelle sensation de liberté qui lui griffe le visage. Elle veut cet homme, elle le désire, elle le supplie de la prendre, elle est essoufflée, elle sent sa peau tiraillée par les coups...

Uzul la voyant prête pour le sacrifice, abandonnée au bon vouloir de la bête, fini de se déshabiller, montrant son corps de mâle en rut plein de sueur due à l'excitation et à la verve de ses coups. Il lui place la cravache entre les dents.
« Mords ça tu crieras moins » et d'un coup, un seul entre dans cette intimité douce et humide.
« Voilà ce que tu attendais, garce, profites en bien car il n'est pas là pour la décoration, je vais te pourfendre de mon dard jusqu'à l'aube » .

Marlène pousse une longue inspiration qui finit en cri en sentant l'objet de son envie la pénétrer fermement, comme un sentiment d'accomplissement... Il FALLAIT qu'elle le sente, qu'elle le possède en elle, qu'il la prenne... Admirant ce corps, elle parcoure des mains le dos de son assaillant, dispersant ça et la des coups de griffes rageurs, comme une ultime défense pour reprendre le pouvoir, qu'elle ne souhaite pourtant pas regagner... Les soupirs exaltent son esprit, sentir ses vas et viens en elle avec violence et passion... Elle se redresse d'un coup et attrape entre ses dents la nuque d'Uzul qu'elle mord goulument, presque hargneuse de plaisir, sa poitrine bombée contre son torse et son bassin jeté contre son bas ventre afin de brutaliser un peu plus cette étreinte...
« Tu possèdes mon antre mais tu n'es pas maitre de mes crocs... »

Uzul: « RRRRAAAaaaaaahhh.....la jouvencelle est rebelle... »
Ce coup de crocs n'a pour effet que d'attiser son ardeur et la violence de ses coups de reins. Il lui prend les mains et les plaque au dessus de la tête de la Belle, tentant de reprendre le contrôle qui était sien.
« Tu vas me le payer ».
Soudain il la retourne, face contre l'autel et reprend sa bestiale besogne.
« Tiens prends ça, tu l'as pas volé », frappant son ventre contre le postérieur ainsi offert.

Marlène, ainsi retournée sans ménagement aucun, tente de ne pas faillir sous les coups de reins d'Uzul. Le bout de ses seins écorchés par le frottement, mais ne se résignant pas, elle se cambre, encore et encore jusqu’à atteindre d'un bras le cou de son amant qu'elle gratifie d'un violent coup de griffe.
« Deux indomptables... » souffle-t- elle entre deux cris.
« Ce que j'aime te sentir en moi, je ne te laisserai pas partir sans avoir joui en moi, sans avoir lâché sur moi toute ta soif de bestialité... prend moi, ne t’arrête pas surtout » .


Uzul la saisie par la taille et continue son infernal mouvement dans une violence sans retenue, lui claquant la fesse parfois, lui tirant les cheveux à d'autres...
« Tu veux mon venin? pas encore... il est trop tôt. Tu n'es pas encore assez meurtrie. Tu manques de marques dans le dos... » et commence à lui assener de longues estafilades de griffes sur cette peau encore vierge.
« Rrrrrr....rrrrrr, tu m’excites Marlène » grogne-t-il.

Marlène gémit sous l'effet étrange d'un mal mêlé à un bien...
« Marque moi de ton envie ! Marque moi encore ! » crie-t-elle en sentant son bas ventre défaillir sous les coups de reins et de griffes... Une chaleur court sur sa peau, elle crie, elle se libère, elle s'enflamme, elle s'agrippe tant bien que mal, elle bascule la tête en arrière, laissant ses cheveux voler sur son dos meurtri...
« Laisse moi donc te montrer ce dont je suis capable... » demande-t-elle en tournant le regard vers Uzul, brulant, affamé...

Uzul la bloquant afin qu'elle ne puisse déroger à cet ordre: « NON....CE SOIR TU ES MIENNE, TU ES MA CHIENNE... »
Il la relève toujours dos à lui, lui empoigne une cuisse qu'il remonte au niveau de la hanche et lui dégage la nuque en lui tirant sa chevelure**
« Voilà comment je me venge... » et lui plante à son tour les crocs dans la nuque, jusqu'à ce qu'un gout de sang lui arrive aux lèvres.
« Rrrrr...» ronronne-t-il à ce gout si particulier.

Marlène ferme les yeux. Ses mains se crispent. Tout son corps est parcouru d'une véritable décharge électrique en sentant les dents pénétrer sa chair comme son sexe pénètre son bas ventre: avec force, sauvagerie... Elle se retient de crier à nouveau, elle se mord la lèvre jusqu'au sang... Elle jure de se venger lors d'une prochaine rencontre... Mais pour l'instant elle doit résister... Presque malgré elle, sa main va enlacer les cheveux d'Uzul, le poussant à ne pas lâcher prise, comme un défi; un besoin...?
« AAAAAAAAAAAAAAAAAH ! » finit-elle par lâcher, la douleur tranchante parcourant ses muscles... La jouissance se tient là, prête à opérer... Elle la sent, une fourberie du corps attendant son heure de gloire pour exploser au grand jour...**
« Ce que c'est bon quand tu me possèdes... »

Uzul, sous les contractions vaginales, le pieu de chair gonflé et pris de variations sanguine plus violentes procède à des vas et viens plus pénétrants.
« AAAAHHHhhh.....RAAaaaahhhh, je vais jouir, GARCE... » vocifère-t-il.
Il se fige, telle une statue de marbre, les muscles bandés le sexe planté au fond de cette grotte dont il pris possession. Sa liqueur se déverse en plusieurs jets accompagnés de soubresauts incontrôlés.
« Garce, catin, lubrique, garce, garce, garce ».

Marlène, sentant les pénétrations de plus en plus fortes, ne parvient pas longtemps à retenir le feu qui se consume en elle et la brule des entrailles jusqu'à la gorge.

De sa bouche s’échappe un: « Vas y... jouis en moi... jouis avec moi... oui ! » 
S'en suit un ultime gémissement, comme un dernier soupir avant la petite mort, sentant en elle ce sexe vigoureux planté à l’extrême .
Quelques sursauts, des tremblements, une respiration haletante et la crinière en bataille, elle attend que son amant se retire pour pouvoir se retourner avec peine, son corps totalement inerte, avec juste la force d'esquisser un sourire et un regard où se mêlent espièglerie et plaisir assouvi.
« Si tu savais comme j'aime être garce avec toi... »

Uzul: « GARCEEEEEEEE, je te vois, je te viole, tiens toi le pour dit...Stan ou pas »
Marlène: «  je peux faire pire et poussez le vice jusqu'à... »
Skype: *** Appel de Marlène ***

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