Petit jeu érotique...Escapade dans le foin.
florentin
Par cette belle journée d'été, nous étions partis faire une randonnée.
A l'entrée d'un hameau, je stationne ma voiture à proximité d'une grande mare. Nous restons là quelques instants à regarder les canards et les nénuphars en fleurs.
Ce lieu est le point de départ de plusieurs chemins de randonnée, des panneaux indiquent les différents parcours, kilométrages et difficultés.
Tu me déposes un bisou sur la joue.
« Chéri, on y va. »
Nous partons tranquillement faire notre promenade pédestre, nous bifurquons sur la gauche pour quitter la petite route goudronnée, nous suivons un petit chemin en terre, d'un côté bordé par un bois de l'autre des champs.
Cela fait bien trente minutes que nous marchons, tu tends ton bras droit pour me faire remarquer une meule de foin au milieu d'un champs qui vient d'être fauché. C'est une meule d'autrefois, pas une meule cylindrique ou un énorme cube, mais une meule comme nous pouvons en voir dans les vieux films ou tableau d'autrefois, en forme de moulin sans ses ailes.
Tu te mets à courir.
« Je veux monter. »
Arrivée à la meule, je te vois commencer à escalader. Ta jupe d'été ne cache pas grand-chose.
J'arrive au pied de ce tas de foin, je préfère m'allonger à l'ombre en regardant le ciel d'un bleu laiteux, la tête posée sur mes mains, l'odeur du foin frais est très agréable, je ferme les yeux, à l'abri du soleil, il est très facile de s'assoupir parmi ses odeurs et bruits de la campagne.
Seul le chant des oiseaux est perceptible. Je t'entends plus.
Où es-tu ? En haut assise au soleil, les yeux fermés ou à regarder à l'horizon ?
J'entends de petits bruissements, des pas approcher doucement.
Sans même lever la tête et ouvrir les yeux : « Tu faisais quoi ? »
« Je regardais les alentours, nous sommes seuls. »
« Il y a que les fous pour faire une randonnée en pleine chaleur. »
Je perçois ton léger parfum malgré l'odeur du foin.
J'ouvre les yeux.
Les rayons du soleil illuminent ton regard et jouent avec la transparence de ta jupe d'été, j'arrive à deviner ton anatomie de muse.
Tu t'approches, t'arrêtes, les pieds de chaque côté de mes jambes, je me relève mais reste assis, tu n'es plus qu'à quelques centimètres de ma bouche, je passe mes mains sous ta jupe, mes doigts effleurent ta petite culotte en coton, je la saisie de chaque côté et la descends doucement, elle a des petits motifs roses, tu ne réagis pas, je passe ma tête sous ta jupe et commence à t'embrasser sur tes lèvres de velours. Mon nez caresse ta toison, ma langue effleure ta vulve, les muscles de tes fesses se contractent, mes caresses réveillent ton désir, je déguste ton sexe pendant que tu me tiens la tête pour que je reste dans ton intimité, tu mouilles, tes sécrétions me coulent sur le menton, j'entends ta respiration devenir haletante signe de ton excitation charnelle.
Je soulève ta jupe pour avoir plus de liberté de mouvement pour mes léchouilles. Je continue pendant encore quelques de minutes…
Tu ôtes tes vêtements pendant que je continue à m'afférer sur ton sexe de plus en plus gonflé par le désir. Tu t'accroupis pour m'embrasser. Tu me déshabilles avec une gaieté frivole, dans ce foin aux senteurs agréables, moi je t'embrasse un peu partout, dans le cou, sur les seins, les bras…
Maintenant que nous sommes nus tous les deux dans ce foin, on se serre en s'embrassant. Je me mets sur le dessus et redescend, d'abord au nombril puis vers cet objet du désir. Mais je ne m'arrête pas là. Je continue mon chemin avec mes lèvres et ma langue sur ton corps de nymphe, je vagabonde jusqu'à tes chevilles puis le dessus de tes pieds. Tes pieds sont si sensuels, je t'embrasse comme si tu m'avais envoûté.
Le soleil joue avec ton corps tes mamelons se contractent je vois un jeu d'ombre et de lumière qui accentue ta divine sensualité.
Ma bouche vagabonde sur l'intérieur si doux de tes cuisses, je les embrasse. Je remonte, je m'arrête sur ta poitrine, je suce les tétons roses durcis par l'excitation, tu te tortilles en te mordant la lèvre inférieure, je remonte te dépose des baisers dans ton cou au même moment, je rentre dans ton intimité de plus en plus brûlante et humide. Tu lâches un petit gémissement de plaisir.
Mes va et vient sont lents. Ton sexe est chaud et humide, mon sexe glisse facilement à l'intérieur. Je t'embrasse dans le cou et remonte à l'oreille, je te susurre quelques mots d'amour, on s'embrasse, tu me caresses les fesses et le dos que tu griffes légèrement.
Tu me chuchotes à l'oreille que tu veux que je finisse par derrière. Je m'exécute avec un sourire charmeur. Alors tu te retournes, je caresse et embrasse tes fesses avant de te pénétrer à nouveau. Le dos cambré comme une chatte en chaleur, tu es à quatre pattes les seins ballotants d'avant en arrière.
Tu te laisses glisser pour t'allonger sur le ventre.
J'embrasse ton cou et continue mes va et vient, j'approche de l'extase, mes deux mains te tiennent par les épaules.
Nos orgasmes arrivent en même temps, instant intense de plaisirs partagés. Essoufflé, je m'accroche à toi en ayant toujours mon sexe à l'intérieur de ta grotte magique, je t'embrasse.
Nous nous enfonçons dans le foin, complètement épuisé et tout en sueur.
Après quelques caresses tendres dans les bras l'un de l'autre, le soleil et la brise nous sèche tu frissonnes un peu, nous nous assoupissons emmêlés l'un dans l'autre pour nous souvenir de notre étreinte.
…
Un bruit nous réveille.
« Tu entends quelqu'un vient … On fait quoi ?»
Pendant que tu saisis ta jupe et que tu poses sur tes seins l'autre main sur le sexe.
« On ne bouge pas. »
Un chien apparaît, il monte sur la meule nous donne quelques coups de langue sur les pieds pour nous dire bonjour, puis il repart.
« Il n'est pas tout seul ? » Sur cette phrase tu te lèves pour observer.
Rien à l'horizon, tu montes sur la meule, tu descends, fais le tour, je te vois apparaître de nouveau le jupe à la main qui ne cachait plus tes seins, tu me la jettes à la figure.
« Il n'y a personne, à cause de toi j'ai eu la peur de ma vie, me faire surprendre nue en train de baiser… la honte. »
« Il n'y a pas de mal à se faire plaisir. »
« Petit con, si tu recommences… »
Silence, petit sourire malicieux de ta bouche mutine.
« Tu as un mouchoir ? »
….