Fille sans père, fille sans repaire
Marie Lefevre
Introduction
Et si notre monde n'était que fictif, qu'il nous mentait depuis le début de notre existence, que ce que l'on croyait vrai n'était qu'en fait que mensonge ? Vous réagirai comment ? Bien, mal ? Ou alors vous y croirez pas ? Compliquer comme question, n'est-ce pas ?
Moi ? Qu'est-que j'en pense ? C'est dur à expliquer.. On peut pas dire ce que l'on ressent sur cette question, ça remettrait en cause les piliers de notre vie.
Chapitre 1
Manhattan, appartement 15 d'un petit immeuble
Lundi 29 novembre, 6h05
J'essaye de me reveiller dans mon grand lit, les paupières lourdes de la veille. Je me frotte les yeux pour essayer de les ouvrir. Je regarde l'heure sur mon radio reveil: 6h05. L'heure de se lever. Je me mets assise sur le bord de mon lit, enfile mes pantoufles roses bonbons. Je me tends et me lève d'un bond pour me motiver. J'ouvre mon volet pour voir le temps hivernale de dehors: personne dans la rue sauf quelques flocons de neige qui tomber sur le sol et s'effaça instantanément. Je pépare mes habits: un pull violet en laine, un jean noir qui taille haute et mes inlassable Van's noires.
Mon ventre gargouillant me fait signe que je dois me rendre dans ma cuisine. Je me prèpare une cafetiaire, que je mets dans une thermos. Je pars vite m'habiller et me regarde vite fait dans un miroir découvrant mon visage assez fin ainsi qu'un nez tout aussi fin. J'essaye d'arranger mes cheveux roux bouclé. J'enfile mes baskets, prends ma thermos et file hors de l'appartement en prenant au passage mon vieux sac que mes parents m'avaient offert en entrant à l'université que j'avait jeté par terre. Sur le palier de ma porte, je fouille dans mon sac pour trouver mes clefs, je vérifie au passage que je n'avais rien oublié, puis je ferme à double tours.
7h00.
J'avais le choix entre prendre les escaliers ou l'ascenseur, je décide de prendre le vieil ascensseur qui au premier abord m'avait l'air peu instable. Je rentre à l'intérieur et tape sur le bouton “0” qui mène au rez de chaussez. Je cherche mes écouteurs et mon télèphone au fond de mon sac. Je trouve mes écouteurs entre deux classeurs mais pas moyens de mettre la main sur mon portable. Et c'est là que je me rends compte que je l'ai oublié à la fête d'hier soir, qui se passé dans l'université où j'étudie depuis maintenant deux ans la “ NYU school of medicine” et chaque année c'était la fête qui ne fallait pas loupé. Donc me voilà sans télèphone, avec peu de chance de le retrouve. Quand les portes de l'ascensseur s'ouvre sur le hall sale de mon immeuble, je sors dehors, m'arrêtant quelques secondes pour respirer cet bon air frais du matin.
Une petite boulangerie qui se situe juste en face de mon appartement et que j'allais tous les matins depuis mainteant 1 ans pour prendre mon croissant avant d'aller en cours était étrangement fermé, j'oublie vite cet accident et je me rends à mon arrêt de bus en buvant mon café dans ma thermos.
Je m'assois sur un banc à l'abri des flocons qui tombaient encore en attendant mon bus. Une fois mon transport arrivé, je grimpe vite dedans et donne un dollars au conducteur pis pars m'installer au fond du bus.
. . .
Arriver à mon université, je cours rejoindre mes amis qui m'attendaient au même endroit chaque jours.
“-Eliona Ram! Ce n'est pas pour rien que tu as un télèphone tu sais! dis un jeune homme d'une vingtaine d'année”
Lui, c'est Tom Woon. Son nom de famille m'a toujours fait pensait à un nom d'un personnage d'action, du genre “Je suis Woon, Tom Woon”, je sais c'est ridicule. Je le regarde de la tête au pieds. Ces cheveux bruns toujours en bataille, ces joues toujours aussi rondes lui donne un visage d'enfant. Il est habillé comme à l'habitude, veste en jean, t-shirt noir unit, jean assez ample et basket simple qui vale 15 dollars sur le marché. Bref, c'est Tom quoi.
“ - Un peu difficile d'envoyer des messages vu que j'ai oublié mon portable à la fête d'hier, lui dis-je en soutenant le regard qu'il me portait.
“ - Alors, tu sais pas?! dis Chloé en faisant les gros yeux et en regardant tout le monde”
Chloé, c'est ma meilleure amie depuis le collège. C'est une grande blonde avec les yeux très claire, toujours bien habiller qui s'exclame devant n'importe quoi. Un peu saute sur les bords. Mais c'est une personne de très intelligente.
“- Il s'est passé quoi? En me reculant pour mieux les regarder.
-Toute la presse en parle! Comment tu as pu passé à côté de ça! Ria Chloé
-On a retrouvé un cadavre dans le bâtiment où a eu lieu la fête, me dit enfin Tom en tapant l'épaule de ma meilleure amie.
-Aïe! Pourquoi tu m'as frappé?!
-Un cadavre? Tu veux dire qu'il y a un assanssin dans l'école?
-On en sait pas plus mais on a tous rendez-vous dans l'ephithêatre du bâtiment Washington à 8h10. Je pense qu'ils nous en diront plus.”
D'un coup mon télèphone sonne, Je décroche.
“-Oui, allô?
-C'est maman, ma chèrie, ça va? Tu n'as rien? J'ai appris ce qu'il s'était passé! Ça passe patout aux info!
-Oui maman ça va, je...
-Oh tu ne peux pas savoir comme je suis soulanger! Me coupa ma mère
-Je viens juste d'être au courant de ce qu'il s'est passé, donc c'est pas la peine de t'inquété pour moi, dis-je un peu saouler
-Tu sais depuis la disparition de ton père je ne peux que m'inquiété pour toi, dit-elle la gorge nouée
En effet, mon père avant disparu quand j'avais 15 ans, nous n'avons plus eu de nouvelle depuis 5 ans, rien qui nous indique s'il était vivant.. ou mort.
C'était un sujet qui me mettait hors de moi, je ne voulais plus en entendre parler.
-Je t'ai déjà dis de ne plus en parler! Au revoir, maman. Je racroche sans lui laisse le temps de répondre.
-Elle a encore parler de lui? Dit Tom d'une voix douce que je ne lui connaissais pas
-Oui, lui dis-je en baissant la tête pour pas voir que les larmes me montaient aux yeux”
8h00.
Nous allons au bâtiment où l'on avait rendez-vous, nous discutions de tout et de rien, en disant bonjour de temps en temps à des personnes sur le chemin.
Il y avait déjà foule devant le bâtement, des personnes que je ne connaissais pas ou vaguement. Ils me regardaient tous comme s'ils me connaissait hors ce n'était pas le cas, je faisais mine de rien voir mais je sentais bien qu'ils me dévisageaient.
“-Il y a que moi où ils te dévisaget tous? Dit à voix basse mon ami.
“-Je vois pas pourquoi cette fois, tu es assez bien habiller, réponds Chloé en haussant les épaules”
Je ne reponds pas et les personnes autour de nous commençaient à s'agitter. Quand je regarde le paysage d'un peu plus près je vois des véhicules de police un peu partout sur le campuce. Et d'un coup je sens une main se posait sur mon épaule je fis vole face pour voir qui c'était.
“- Mademoiselle Ram, Eliona Ram? Dit un homme avec un uniforme de police
-Oui? Dis-je timidement
-Veuillez me suivre, s'il vous plait. Dit-il avec une voix sans émotion”
Je ne dis aucun mot, hterrifié par ce qu'il va bien pouvoir m'arriver, mais je ne vois pas pourquoi cet homme m'emmène. Nous nous arrêtons devant une voiture de police et j'ose enfin prononcée quelques mots:
“-Pourquoi m'arrêtez-vous? Je n'ai rien fais! Dis-je un peu trop fort
-Je ne peux pas vous en dire plus, dis l'homme en ouvrant la portière arrière de sa voiture de fonction.”
Je monte sans hésitation. Durant le voyage aucunes paroles ne puent sortir de ma gorge, j'avais pourtant un tas de question.
. . .
Après avoir traversé tout Manhattant, la voiture s'arrête enfin. L'homme, qui semblait être un policier, sort du véhicule et m'ouvrit la portière pour m'incité à sortir.
Je descends de la voiture. Un soleil éclatant m'ébloui ce qui me force à lever la main pour cacher le soleil. Je regarde autour de moi, Les arbres était sans feuille, comme à nus, il y avait un grand batiment devant nous qui devait surement être un commisériat.
“- Veuillez me suivre à l'intérieur, me dit l'homme en montrant le bâtiment en face de lui, à vous l'honneur.”
Je le regarde quelques secondes puis hoche la tête avant d'avancer. C'était un grand bâtiment, en verre. Il y a vait foule, il nous fallait nous créer un passage jusqu'aux portes du commisériat. Une fois entrer, derrière un comptoir une femme, très belle, me souriat avec des dents blanche comme les dame des pubs de dentifrice, il manquait plus que la petite étincelle au coin d'une dent.
Le policier me prenna délicatement le bras pour m'indiquer qu'il fallait le suivre et m'emmena dans un bureau où il m'avait dit de m'assoir et d'attendre.
Plus j'attendais plus je stressais, je regarde autour de moi. C'était une pièce très spacieuse, avec devant moi un bureau en acajou avec poser dessus un tas de paperasse étalé, un ordinateur Apple. Derrière le bureau se trouve un de ces grand siège noir en cuir qui nous dit sur la personne qui s'assoie dedans “c'est moi le patron”. J'étais assise dans un fauteuil également en cuir, il y en avait un autre à quelques centimètre du mien. Je me retourne pour voir ce qu'il se trouvait dans mon dos, j'y trouvais deux bibliothèques remplie de dossieurs,de classeur, de pochettes et j'en passe. La pièce était très bien éclairé par des fenêtres qui prenait toute la longueur extérieur de la pièce. Je regarde le temps hivernale en me demandant qu'est-que je faisais ici.
Au même instant, la porte s'ouvre et laisse entrée un homme en costume noir avec une chemise blanche dessinant parfaitement ces muscles. J'évite de baver de contemplation, le moment est mal choisi. Il a une mâchoire musclè et les joues creuses ce qui allait parfaitement bien avec son taint bronzé et ses lèvres pulpeuses. Ces cheveux coiffé à la perfection nous disait qu'il prennait vraiment soin de lui, tout comme son costume mais sa barbe de 3 jours nous disais le contraire mais lui donné un côté plus “adulte”, je descends à ses yeux brun qui me regarder. Et je ne pu m'empêcher de me lever pour lui serrer la main comme si je passais un entretien d'embauche ce qui est ridicule.
“-Bonour, restez assise Mademoiselle Ram, me dit-il d'une voix tellement irisistible.”
Je me remets immédiatement assise.
“-Vous savez pourquoi vous êtes ici, n'est-ce pas? Me demande-t-il en s'assayant dans son fauteuil “c'est moi le patron”.
-Non pas du tout, j'étais à l'université, j'avais une réunion à propos du meurtre qu'il y a eu et un homme m'a emmènait sans aucunes explications, dis-je en paniquant un peu et fronçant les sourcils l'air de dire “j'ai rien fais, je veux partir”, tout à fait moi.
-Je leurs avais pourtant dit de vous de vous briffer!”
Il enlève un tas de papiers qui était sur un télèphone fixe, que j'ignorais l'existence, prend le combiné qu'il met à l'oreille avant d'appuyer sur quelque boutons. Il attenda plusieus secondes.
“-Oui? Je pourrant avoir l'agent Aaron, s'il vous plaît? Dit énervement l'homme
Je ne pouvais entendre ce que sont interllocuteur lui repond donc je me mets des “...” quand l'homme qui est en face de moi écoute ce qu'il dit.
-...
-Bonjour, je vous avais dit de parler de ce qui allait se passer à Mlle. Ram. Pourquoi vous l'avez pas fait! C'est pas la première fois, et j'espère pour vous que ça sera la dernière.
-...
-Très bien, on se voit plus tard pour un résumé de l'enquête, dit-il séchement.”
Il raccrochat, se frotta les yeux frotta les yeux et me regarda avec insistance et enchaina.
“-Bien, comme vous n'êtes au courant de rien je vais devoir vous en parler. Il s'agirait de votre père.
Et d'un coup, je ressenti une chaleur étouffante. Je ferme les yeux quelque instant puis les rouvris.
-Comment ça mon père? Il a disparu depuis des années, alors il ne peut en aucun cas s'agir de lui. Je suis désolée mais il y a erreur.
Je me lève d'un coup et me tourna vers la porte par laquelle je suis entrée pour commencer à marcher mais mes jambes était tellement lourde surement à cause de ce qu'il venait de me dire, je m'attendais à tout sauf ça, mon père!
-Veuillez-vous assoir, (finalement ls jambes trop lourdes, je décide de l'écouter) nous l'avons retrouver mort ce matin dans votre université mais apparemment vous n'êtes pas au courant qu'il était en ville.
-Et même en vie, pour tout vous dire. Ça fait 5 ans que ma mère et moi n'avons plus eu de nouvelle.
-Il est mort dans des circonstances étranges, avec une lettre pour vous. Cest pour ça que vous êtes là.
Il me tend une enveloppe que je prends immédiatement dans les mains. Je la regarde attentivement, la retourne et vois inscrit au stylo plume “Pour ma fille, Eliona Ram”
Je prends la feuille qui était dedans et commence à la lire, les larmes aux yeux:
“Ma chère fille,
tu te demande pourquoi je vous ai abandonné,
toi et ta mère,
pendant ces longues années.
Je ne peux pas te répondre sincèrement,
et j'aimerai te dire beaucoup plus de chose
mais je ne peux pas c'est pourquoi ma lettre est si courte.
ils seront après toi et c'est tout ce que je ne veux pas.
L'homme qui t'a donné cette lettre est quequ'un en qui tu peux avoir confiance.
Venge moi et tout ce qui sont mort pour accomplir la mission.
Il t'expliquera.
Je t'aime,
ton père qui t'aime.”
Après avoir lu la lettre, plusieurs fois, je la remets dans l'enveloppe et la dépose sur le bureau. Je baisse la tête pour chercher les mots et la relève pour regarder l'homme dans les yeux.
“-Je ne comprends pas tout, c'est quoi le but de ma “mission” ou plutôt notre “mission”? Puis qui êtes-vous? Dis-je séchement
-Je suis Alan Greg. Je suis agent pour une très grosse organisation dont votre père faisait parti qui consiste à démenteler les immenses entreprises qui font des bénéfice sur le dos des citoyens dans le monde entier. Qui tue des innonçants ou s'en servent comme esclave. Je suis plutôt un agent secret qui s'infiltre dans ses entreprises là mais c'est beaucoup plus complexe que ça. Et maintenant que votre père est mort, nous devons ensemble découvrire pourquoi. Mais c'est pas à Manatthan qu'on saura. C'est ici qu'il faut aller. Dit-il en me tendant ce qui me semble être un billet d'avion”
Je prends le billet, je le regarde, choqué de tout ce qu'il m'a dit.
“-Paris? C'est de la folie, tout ce que vous dites c'est du délire et même si c'était vrai je ne peux y aller, j'ai mes études ici je suis qu'en deuxième année je ne peux pas me permettre ça.
-Pourtant vous n'avez pas le choix, ce n'est pas moi qui donne les ordres. Ça vient de plus haut. Et croyez moi, ça ne m'enchante pas plus que ça de travailler avec une enfant mais si ce n'est pas de votre plaingrer, ils vont obligerons.
-Une enfant? Je ne vous permets pas de me traiter comme ça. Et puis ça laisse à réfléchir et rien ne m'empêche de reffuser.
-Alors réfléchissez vite, en attendant laissez moi vous montrer nos bureaux même si nous partons vous faites parties de l'organisation et j'ai beaucoup de choses à vous faire découvrir.