Hope
dooretteb
Si un jour je viens à comprendre pourquoi la vie est aussi dur, je vous promet de vous en faire part.
Mais en attendant, je survis. J'ai arrêter de vivre depuis qu'il est parti. Je ne mange plus, je suis une éternelle insatisfaite amoureuse. Je suis arriver au point de ne dormir que deux heures par nuit, je suis donc devenue insomniaque. Je me cache derrière un maquillage des plus sombre pour cacher mon teint pale. Les mots peine à sortir, mon clavier et devenu mon plus fidèle amis. Je ne sors plus, je ne vis plus. J'ai cette douleur au fond de moi qui m’oppresse et qui prends soin de m'achever un peu plus chaque jours. Ma vie est partie en fumée quand il a décider de mettre un terme à notre relation. Je pensais que ce genre de mal n'arrivait qu'aux autres, au final non je souffre autant qu'eux. Je suis enfermer entre quatre murs, depuis maintenant quatre mois. En ne m'alimentant plus, j'ai perdue énormément de poids qui sait peut-être qu'au plus profond de moi j’envisagerais de devenir mannequin dans une autre vie que celle là. On frappe à la porte c'est certainement ma mère, elle frappe tous les jours depuis trois semaines à ma porte à la même heure en vain. Je suis consciente du mal que je lui fais endurer, mais c'est plus fort que moi je fais du mal à toutes les personnes que j'aime. C'est d'ailleurs pour sa qu'il est parti lui aussi. Si j'avais pu je lui aurait couru après en lui suppliant de rester, comme dans tous ces films à l'eau de rose à la con mais non. Qui sait je suis destiner à souffrir entre les quatre murs de mon appartement. Vous je suis vouer à l'auto destruction, un sentiment sadomasochiste. Je fume plus de deux paquets par jours, par chance il me reste de nombreuses cartouches de mon dernier voyage avec lui. Il est parti du jour au lendemain, sans lettre ni rien juste le silence. Notre séparation était prévisible, j'en été moi même consciente. Il ne me reste que les photos, enfin celle que j'ai pas encore daigner brûler. Si un jour quelque vient à lire ce texte que je me tue à taper sur mon clavier, je ne serais très certainement plus là. Mais avant tous je tiens tout de même à remercier tous mes proches de leurs soutiens durant c'est dernier mois. Merci de ne pas être là quand je pleure, me soutenir mentalement vous aurez été sûrement trop demander. Vous me foutez tous autant que vous êtes la gerbe, avec un estomac vide. Je m'obstine à regarder des films à l'eau de rose, qui sait dans toute ces relations purement fictives je recherche ce que j'aurais aimer vivre. L'amour ça me fait chier !Mon estomac me réclame en vain de le nourrir, histoire qu'il ne me lâche pas lui aussi, je vais en son encontre. Quand le cœur et le corps ne suivent plus, partir est la solution final. J'aurais aimer qu'il voit mon désespoir, et qu'il me supplie d’arrêter de me foutre en l'air. Après tout c'est à cause de lui que je suis là aujourd'hui, assise devant mon ordinateur à écrite un texte non pas d'adieu mais d’au-revoir. Mon dernier souhait aurai été de voir la femme qui m'a mise au monde la serrer d'une force que je n'ai plus contre moi, et partir. Je sais que mon acte vous paraîtra lâche, digne d'une égoïste qui ne pense pas aux personnes en deuil que je laisse derrière moi, c'est mon choix et il est ainsi, abstenez vous de me juger. Soutenez là je vous en prit, soyez là pour elle, ne l'abandonnez pas elle. Maman je te demandes qu'une seule chose ne m'en veut pas, ne te remet jamais en question sur quoi que ce soit, ne te fous pas en l'ai à cause de moi, ne me pleure pas, dis toi que la haut ou je serais je n'aurais plus à souffrir. Mais je t'en pris garde ce sourire qui te vas si bien, vis pour toi ne te retournes jamais, si je viens à te manquer ne pleure pas je serais à tes cotés. Je t'enverrais des je t'aime. Mes larmes ne coulent plus, je ne ressens plus rien. Mon heure est arriver, laissez moi partir ne me réanimez pas.