I live for you.
dooretteb
Comment peut-on combler le manque d'un être chère ? Pourquoi la vie est elle aussi injuste ? Pourquoi à t-il griller se feu rouge pourquoi ? Pourquoi son absence est-elle aussi pesante ? Est-ce qu'on à le droit d'avoir aussi mal ? Ou sont donc passer c'est veille machine à remonter le temps? Juste que je puisse de nouveau la voir rire. Vous savez quand elle est partit, c'est comme si une partie de moi s'en est aller avec elle. Pourquoi met-on tant de temps à se remettre d'un deuil ? Pourquoi toutes ces phases sont-elles aussi destructrices ? Pourquoi n'avons nous même pas l'entière liberté de choisir la durée d'un deuil ? Ou a t-il eu son permis ? A quoi sert le temps, si la douleur est toujours aussi grande ? On nous parle sans arrêt du temps, du fait qu'il est sensé apaiser les plaies. Il s'est juste contenter d'avancer, en me laissant toujours au même point. Pourquoi n'ai-je donc jamais eu la force d'aller sur sa tombe ? Je me sens vide, les larmes coulent à flot. Ils m'ont toujours dit qu'avec le temps j'allais m'y faire, et accepter cette triste réalité. Il ne se passe pas un jour sans lequel je regarde le ciel essayant d'apercevoir un signe d'elle, peu importe le signe juste quelque chose qui me ferait par de son état, je ne demande pas a aller bien, j'attends que ce signe. Je sais que tu n'as pas soufferte, et dieu merci. Te connaissant je sais que tu n'aurais pas supporter toutes ces machines. Mes propos sont égoïstes, vous pensez que je ne pense pas à ce qu'elle aurait réellement voulu elle. Si croyez moi. Je sais qu'elle aurait voulut me voir souffrir, me voir aller dans nos cachette sans m'effondrer en larme. Tu étais si jeune, t'avais la vie devant toi. Personne n'avait le droit de t'arracher à nous personne. Ce automobiliste en a décider autrement, en vous percutant. Et dire qu'on s'était eu au téléphone deux jours avant que cette accident, ne nous prive de toi. Si tu savais à quel point parler avec ta sœur me fait un bien, je retrouve en elle les petites filles qu'on était. Un jour on voulait être astronaute pour les martiens, l'autre on souhaitait être princesse, puis reine du monde on avait les rêves que toutes les petites filles avaient à cette époque. On collectionner les cartes postales, des voyages qu'on avait effectuer et ceux de nos parents, on s'était promit par la suite de revisiter tous ces pays ensemble, en effectuant notre tour du monde à nous. Tu voulais être avocate et moi hôtesse de l'air. C'était si beau. Toutes nos petites attentions manque à mon quotidien même après ces trois années. J'aurais voulus que tu sois encore là aujourd'hui, que tu vois à quel point je manque de toi. Que tu sois celle qui m'explose les oreilles à chaque fois que je me réveille, celle qui arrivait toujours à me faire rire dans n'importe qu'elle circonstance, celle avec qui je construisais des cabane dans ma chambre, celle qui se réveiller en plein milieu de la nuit pour venir dormir à coté de moi. Tu étais celle qui me rendais heureuse. Trois long années ce sont écoulaient depuis ton départ, c'est comme si c'était hier. On s'étaient pourtant promises de veiller l'une sur l'autre jusqu'au bout. Tu sais quand j'ai l'occasion de monter je repars ou tout à commencer, c'est dans ce parc que tu me manques le plus. L'absence de ta présence assise sous ce toboggan à coté de moi me fait souvent fondre en larme, parce-que c'est sous ce toboggan que nous nous sommes adresser la parole pour la première fois. Ce toboggan à encore un petit bout de toi, nos gravure y sont toujours je veille à ce que rien ne t'efface de cette endroit. On étaient les cinq doigt de la main. Notre histoire n'aurait pas du s’arrêter aussi brutalement. Mais la vie en a décider autrement, elle ne s'est pas soucier des personnes que tu laissais. Mon amour envers elle n'a pas et ne changera jamais, je sais que de la haut elle n'en doute pas. Elle regarde ce que je suis devenue, j'ai conscience que je dois la décevoir c'est peut-être mieux comme ça. Je ne te remercierai jamais assez pour toutes ces années de bonheur de joie partager avec toi. Je ne vais pas te faire de promesse, je me dois de vivre et non de survivre pour toi.
Julia, 22 mai 2009.