Jeune femme, je te veux mienne
amaury-deville
Comme tu me fais rire, petit bout de femme. Derrière ce derrière qui m'inspire, il t'en faut peu pour me faire jouir. Jeune et belle, insouciante et directe, si naturel, que me feras-tu, pour que je lorgne sur ce petit cul ?
Comme mes sens virevoltent, quand je vois ce petit minois. Comme ma passion s'arrache, quand j'entends cette vibrante voix. Je prendrai soin de ta jeunesse, de tes jambes aiguisées, où le muscle apparaît sur chacun de tes pas. Pas même sportive me dis-tu, peu m'importe la cause quand on a l'érection.
Je me délecte de ta joie de vivre, prêt à tout pour m'enchanter, me libérer, me transcender quand l'ordre moral me voudrait marier. Je te regarde, tu plisses tes yeux pour me séduire avec cette lumière dans la paupière toute enfantine. Je fonds alors totalement comme si tu me suçais, moi ta sucette d'enfant. Continue à m'enrober de ta bouche si bien dessinée, je ne peux fuir, dans ta prison de jeunesse. J'y resterai enfermé a perpétuité, donnez moi la clef que je ne m'y échapperai jamais. Je veux te voir, je veux te revoir, je veux que tu m'assignes à vie dans ce vagin raffermi. Je veux que tu m'attaches à la corde de ton sein rond et dur comme une pastèque. Comme je l'aime, je l'admire autant que tes rires. Une sorte d'effusion de bonheur quand j'ai l'occasion de le voir sortir. Il se fait difficile à voir d'ailleurs, il n'est pas habitué encore. Il voudrait bien sortir plus souvent. Je suis dans l'obligation de lui donner caresse, multiples attentions, afin qu'il se familiarise avec mon être, tout entier pourvu a son bien être.
Je redescends alors sur ton ventre. Plage sans vague, toujours intact ou le moins bon des nageurs y viendrait volontiers se baigner.
Nageur moyen, je multiplie les tours de bassins jusqu'à épuisement. J'avance délicatement mais avec délectation au plus bas de cette sculpture et je m'approche plus près de l'aventure. O Mademoiselle quel combat pour me rapprocher du jardin de la joie. Je le vois d'abord recouvert d'un habit de coton, qui m'ouvre gentiment les portes de mon imagination. Jeune femme, je suis en nage, perturbé par cette prochaine découverte que je tente ouvertement de lire. Le caractère indécis de celui ci, son revêtement coquin mais habile ouvre en moi une envie géniale. Magnifié par ton regard tout bleu tout flamme me demandant de renoncer quand tout ton corps m'invite à regarder.
Tel un médecin, je préfère l'écoute du corps, et je sors donc mon outil du praticien, le doigté clitoridien. J'inspecte donc avec la clairvoyance de celui qui sait, l'objet du plaisir tant désiré. Je suis à l'écoute, nourrissant dans chaque gémissement la possibilité d'énoncer le remède magique. Quand il se prononce intensément, je conclu de façon rapide, sûr de mon verdict, que la pénétration sera la meilleure des prescriptions. J'agis donc en conséquence dans ce corps tremblant de joie, et je rentre fructueusement l'objet du redressement.
J'admire dans le même temps cette jeune femme si jolie, si dure comme je le suis.
Je l'embrasse de mon baiser le plus charnel et je la baise magnifiquement. Sans discontinuer, peur que ce soit la dernière, quand ceci est tout juste la première. Elle sera peut être déjà moins ravissante demain, alors profitons vite, tant qu'elle est heureuse en mon sein.