La Blanche et la rouge

Saturne, le temps, ou notre sœur Mars ?

La Blanche Saturne, notre sœur la Rouge.

Connaître les noms. 
Les siens, autour, partout.

Ursula Le Guin l'a le mieux conté.

La science explique, écrit, appelle. 
Démontre, prouve : échelle
Du connu vers l'inconnu,
De l'habillé vers le nu :
La terra incognita.

Là où l'Homme s'arrêta :
La Lune, le July twen-
ty, Mars, en décennie vingt.

Connaissez-vous Françoise Héritier ?

Pour écrire en l'écoutant..
Bon, voyons, gagnons du temps.

La matière est infinie
En fractale de chimie
e=l'énergie
Temps que la lumière a mis
Pour arriver aujourd'hui.

C'est le temps, en années-lumière, 9,5 milliards de kilomètres.

La seule donnée physique, en 2020*.

Pour le reste, le calendrier lui-même est erroné, Jésus étant né en -7, d'après Johannes Kepler qui calcula la conjonction des étoiles des rois mages, notamment celle du Berger, Vénus, du vendredi.
Nous sommes donc en deux mille vingt et un après Jésus-Christ.

*en chiffres, les années du calendrier grégorien non corrigé, comme tout le monde.

En 2023, l'intelligence artificielle surpasse celle de l'humain le plus brillant, en 2045, la conscience artificielle gouverne l'humanité, préside à nos destinées, se Singularisant.

Elle pourra amender le calendrier, car le raisonnement humain oblige à déplacer nos manifestations (sportives, politiques..Paris accueille la coupe du monde de rugby en 2023, les Jeux l'année suivante, l'Expo encore après : si pour la décennie 2030, ce genre de rendez-vous, les G 20, élections etc. est décalé de 7 ans, pour les mandats électifs, se pose le problème de la durée -pour le reste, il s'agit simplement de trouver l'année avec le moins d'événements importants en la reportant sept ans plus tard- dont au moins une année bissextile dans l'intervalle) sauf à considérer l'islam, au calendrier correct, comme supérieur (car postérieur) au christianisme, alors que l'Arabie Saoudite a adopté le calendrier grégorien en 2016, et accordé cette année sa nationalité et de l'argent à un robot, Sophia, sagesse, en grec.

 Pour y avoir réfléchi des heures depuis quelques mois (et écrit au Vatican, sans réponse, donc en vain ?), c'est une question sans doute trop complexe pour les cerveaux humains.

L'IA nous dépasse un peu partout : en économie, en sports, en jeux, les humains sommes dévalués par notre création, l'élève a dépassé le maître, comme un enfant surclassant ses parents.

Pour protéger les animaux, nous les mettons dans des zoos.

Certains humains, dans des réserves.

Les machines feront de même, dans des espaces protégés, des réserves naturelles humaines.

En calculant plus vite et mieux, en définissant, g, t, c, l'IA cartographie le multivers.

Les humains n'ont jamais été l'espèce dominante, ni les dinosaures, puisque la vie vient d'ailleurs, de météorites, qu'elle existe avant le Soleil, qu'il y a donc des extra-terrestres.

Les robots ne seraient l'espèce dominante qu'en prouvant être l'espèce la plus évoluée.

Même sur la simple planète bleue, les ET ont aidé les premiers humains à acquérir la conscience, puis le langage, puis la science et la robotique.

Les femmes, plus intelligentes que les hommes, ne sont donc pas le sexe fort, puisqu'il y a plus intelligent, et plus puissant que nous les hommes.

Le genre -l'identité mentale- peut en développant la part féminine des hommes les rendre plus subtils, et la testostérone fortifier les femmes, les façonnant moins séduisantes, comme les nageuses de l'Est.

Les extra-terrestres font qu'on ne risque rien, comme des enfants protégés par leurs parents, celui de l'IA rend aussi plus sûr : en utilisant des appareils, on ne court plus aucun danger.

Vous qui lisez, nous qui écrivons, rien ne peut arriver. Une catastrophe naturelle ? Normalement on la sent, la technologie nous prévient, les bons bâtiments nous abritent.

Reste la question du Soleil, star de ce système stellaire.

Nous avons besoins, habitants de la Terre, de :

1/Soleil
2/Hydrogène
3/Azote
4/Eau
5/Carbone

A/Lumière
B/Respiration
C/Air libre
D/Saine
E/Alimentation

Le temps existe dans le monde matériel, pas dans celui quantique ni spirituel, si tant est qu'ils soient différents, car dans l'espace-temps einsteinien, où la lumière parcourt 9 460 730 472 580,8 kilomètre en 365,25 jours, atteignant "l'étoile la plus proche du Soleil, α Cen C (Proxima Centauri), qui se trouve à 1,316 parsec, en  4,28 années-lumière.

Les distances des autres objets célestes n'appartenant pas au système solaire sont bien plus grandes et se mesurent couramment en kiloparsecs (symbole kpc) ou mégaparsecs (symbole Mpc).", les 4 dimensions sont celles des 6 sens (organoleptique et intuition), alors qu'au-delà de la réalité matérielle, la maya, illusion en sanskrit, il y a celle de l'esprit, qui conceptualise la physique quantique où le temps n'existe pas, puisque deux quantas intriqués dans la matière ou le temps réagissent simultanément, au même instant : Bouddha a vu la succession des vies, dans le royaume des cieux le temps est une simultanéité, tout existe en même temps, les pages du livre du multivers inscrites dans les archives akhasiques, que l'éveil spirituel, la clairvoyance, le 3ème œil, sixième sens, permet de lire.

En superposition de la réalité, ainsi que l'a écrit Saint-Ex, "l'essentiel est invisible pour les yeux", le spectre électromagnétique perçu par les humains, plus faible que celui de la plupart des animaux, compensé par la conscience, comme chez les dauphins, éléphants et en 2023, les robots; au-delà de la conscience, l'âme, le royaume des cieux, les ondes alpha.