La danse des araignées

kaede

poème sur la main de deux pianistes qui m'ont fait voyager.

Et les araignées dansaient,

Les notes s'envolaient,

Bach et Chopin,

Undertale et son destin.


Les araignées embrassaient,

Doucement, rapidement,

Leur pattes retombaient,

Lourdement, en caressant


L'ivoire, la toile qu'elles composaient,

Les noires, reposantes,

Un tableau de paix

qui me contente.


Et les araignées s'envolaient,

je les voyais se balancer

dans un rythme tantôt effréné,

Puis tantôt, qui se calmait.


Une atmosphère hors du commun

Dont je me rappellerais demain.

Cette ambiance dans la pièce,

Aux milieu du couloir, où la valse


D'araignées, continue de se danser.

Où les pianistes se partageaient,

les doigts en piquets ,

leurs musique préférées.

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