La découverte de l'amour

Elodie Gerin

Chapitre vingt-trois : Joshua : Moment intense

Elle était là, allongée sous moi et je pris le temps de caresser chaque recoin de son corps si sublime à mes yeux.

Je l'embrassais passionnément avant de dévier sur sa mâchoire sur laquelle je déposais de doux et tendre baisé.
Je l'embrassais tendrement dans le cou, remonter jusqu'à son oreille.

Je pris son lobe dans ma bouche et je l'aspirais en passant ma langue dessus.

Je laissais glisser ma langue sur sa gorge et son corps se souleva du lit.

Oui, j'aimais bien la rendre folle comme ça. Je me relevais en l'entraînant avec moi et je lui retirais son t-shirt.

Je pris le temps de dégrafer son soutien-gorge avant de la rallonger sur le lit.

Je passais ma langue entre ses deux petits seins avant d'aller taquinait son téton de droite avec ma langue.

Je léchais son téton qui s'ériger sous mes caresses insistantes et j'emprisonnais son autre téton entre mon pouce et mon index que je faisais rouler de droite à gauche et inversement.

Elle lâchait des petits soupirs qui m'excitaient de plus en plus.

Ma queue menaçait d'exploser tellement celle-ci était compressée dans mon pantalon, mais je voulais avant tout lui faire plaisir avant de penser à mon propre plaisir personnel.

Alors, j'abandonnais ses seins et je laissais ma langue glissais sur tout son corps.

Elle remuait sous moi faisant des bruits extrêmement excitant avec sa bouche.

Je léchais son nombril tout en faisant sauter le bouton de son pantalon que j'abaissais en même temps que son petit string à dentelle blanche.

Je mordis l'intérieur de sa cuisse et sa réaction était exactement celle à laquelle je m'étais attendu.

Son corps se souleva du matelas et elle lâcha un cri. Ce n'était que le premier d'une longue série qui n'allaient plus tarder à suivre.

Je donnais un long coup de langue sur toute la longueur de sa petite chatte et elle criait de plaisir.

Je pris son clitoris en bouche et l'aspirer comme elle aimait si bien que je le fasse.

Ma langue bougeait très vite dessus avant de l'aspirer et de recommencer à jouer avec ma langue dessus.

Je l'abandonnais juste le temps de lubrifier mon majeur et de le présenter devant son petit trou frémissant.

Tout en reprenant son clitoris dans ma bouche, j'introduisais mon doigt en elle.

Elle passa ses mains dans mes cheveux pour les caresser avant de les empoigner et de les tirer.

Oui, j'étais en train de la rendre folle et elle perdait le contrôle.

J'aimais lorsqu'elle se lâchait ainsi.

Un deuxième doigt rejoignait le premier. Je les faisais entrer et sortirent sans aucune difficulté.

- Mon cœur vient, je veux te sucer pendant que tu me lèches.

J'abandonnais son joli minet et me déshabiller à la vitesse de l'éclair.

Je me couchais à ses côtés en faisant en sorte que mon sexe soit devant son visage, mais comme j'étais plus grand qu'elle, elle devait légèrement se relever.

Lorsqu'elle prit mon sexe dans sa bouche, je lâchais un soupir de bien être.

Je retournais bien vite à mes anciennes occupations et nous nous faisions du bien mutuellement.

Elle, elle me suçait de la meilleure des façons et moi je la léchais comme si elle le parfum de ma glace préféré.

La première fois qu'elle m'avait sucé, elle m'avait mordu le bout de la queue. Putain, j'avais eu très mal ce jour-là.

Elle s'était confondu en excuse une dizaine de fois si pas plus la pauvre, mais maintenant, elle était devenue experte en matière de pipe.

- Mon amour prend moi. Maintenant. Vite.

- J'arrive trésor.

Je donnais un dernier coup de langue sur son petit bouton d'or et je m'allongeais sur elle.

Tout en l'embrassant, je présentais mon sexe devant son petit trou et entrer en elle d'un seul coup de rein.

- Anhhhh.

J'enroulais ses jambes autour de ma taille et embrassait son cou.

Je donnais de long et lent coup de rein, mais plus elle criait, plus ça m'excitait et très vite, je l'ai pris sauvagement.

Je labourais sa chatte a coup de butoir. Chaque coup de rein alla touchait son point g.

- Joshhhh, dit-elle en tirant violemment sur mes cheveux.

Les muscles de mes bras ressortaient sous l'effort que je fournissais.

La sueur coulée entre mes pectoraux, mais je m'en préoccupai pas plus que ça.

Son corps brillait sous la lumière du clair de lune. Elle était magnifique, sublime et elle était à moi.

La pensée que cette femme m'appartient suffit amplement pour me faire éjaculer en elle.

Je me vidais en de long jet de sperme. Elle portait en elle une partie de moi.

Je m'effondrais sur elle de tout mon poids, mais au lieu de me repousser, elle me serra contre elle.

Nous nous embrassions paresseusement avant que je ne m'allonge à ses côtés.

Nous nous endormions dans les bras l'un de l'autre jusqu'au lever du soleil.

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