La femme secrète regarde l’amour dans un miroir vénitien
Eric Varon
La femme secrète regarde l'amour dans un miroir vénitien
Avec un corps fait d'un morceau d'étoile
Et de douceur
De passion
de fureur
D'autre chose, d'autres liens
Secrètement, la belle dame mystérieuse
Dans ce miroir impossible à lire, et qui s'ennuyaient dans la splendeur absolue
De son amour. Le trait du peintre fut conscience
Des formes précaires qui étaient infligées aux corps d'anges.
Las d'interroger vainement les fragments d'infini
Et les œuvres humaines, j'ai voulu questionner la fontaine d'oubli
J'ai posé mes lèvres sur ses lèvres,
Et j'ai murmuré: « Quand je serai mort, où irai-je ?»
Elle m'a répondu: « Bois à ma bouche.
Bois longtemps,
Oublie le temps
Tu ne reviendras
Jamais ici-bas. »
C'est de son corps que sortait la lumière ....
C'est le trésor, c'est la route rêvée.