La Fugitive
Lapu Puce
Notes : Ceci est ma première fiction donc je suis un peu nerveuse et j'espère avoir un minimum de talents, étant débutante dans ce domaine toute critiques sont les bienvenues ( négative et positive) et je vous prie d'êtres indulgent car ayant un jeune âge, les fautes risque d'êtres nombreuses. Alors je vous présente mes plus plates excuse et bonne lecture.
Prologue :
J'entends l'eau couler tel une douce musique non loin de moi. Je peut en sentir la fraîcheur et l'odeur d'humidité. Pourtant je persiste à garder les yeux fermées, par ailleurs je perçoit, la rosé du matin car étant allongé mon échine ressent l'humidité mais vêtements ne sont pas mouillé. Je suis paisible, le faite de savourer la douceur, d'une caresse d'un rayon de soleil sur quelque partielle de mon corps, me comble. J'ouie, le craquement du bois tout autour de moi, puis le chant des oiseaux me berce dans un sommeil qui n'en est pas un. Le vent, fait bouger les arbres et j'imagine les feuilles allant de droite à gauche, de gauche à droite. J'entends aussi des passages abrupt, sûrement d'animaux effrayés par ma présence. Maintenant l'envie, le désir, le rêve de découvrir l'endroit où je me trouve, s'éveille en moi. Je décide enfin d'ouvrir mes yeux, mes paupière me paraisse lourde ! Je réalise, tout d'une coup que j'ignore comment je suis arrivée ici, et pourquoi ? Je constate alors, que je me trouve dans une gigantesque forêt, parsemée d'ombre mais la lumière parvient à percez le feuillage épais des arbres majestueux, ce lieu est abondant de vie, le vert des plantes est flamboyant. J'aperçois les passages précipiter des animaux tels que des lapins, cerfs et d'autres bête. Je fais un demi-tour sur moi-même et j'eus le bonheur d'observer que la forêt prenait fin devant moi pour laisser place à un barrage immense, il donnait naissance à sa gauche à une rivière et à sa droite à un mystérieux lac, dû à sa profondeur. Au-dessus du barrage avait place un pont dallé, des barrières de chaque côté, de poteau luminéssant tout les 20 mètres et entre chaque lampadaire se trouvait un banc. De l'autre côté, il y avait quelque maison, 6 tout au plus et derrière c'est quelques construction humaine contre nature, il y avait une seconde forêt mais moins dense que celle, où je me trouvais. Alors que je m'apprêtais à franchir le pont, j'entendis une voix m'appelant désespérément :
- « Émérisse ! »
Mais c'est la voix de ma mère ! Je me retourna et la chercha désespérément car lorsque ma mère m'appeler de cette façon, ma vie en dépendait.
- « Émérisse ! »
Je m'enfonça plus profondément dans la forêt mais rien. Mon prénom retentit, une dizaine de fois, sans que mes recherche aboutisse. Subitement, je fus secouer frénétiquement, avec violence de droite à gauche. D'un coup, je quitta le sol par la suite un froid glacial accompagné du noir absolue, m'enveloppa.
- « Émérisse … Méri !
Cette fois, mon prénom fut prononcer avec compassion, délicatesse et je savourais alors la chaleur d'une main qui caressait mon front, finalement j'ouvris les yeux.
- « Méri… tu t'étais assoupie, je suis désolée pour ton réveil mais nous sommes arrivé. Allez, viens sort de la voiture. »
Oh ! Oui c'est vraie, nous avons encore déménager car le cercle, nous a retrouvé la dernière fois et à bien faillit nous tuer …
Notes : Voici mon prologue j'espère qu'il vous aura plut et vous aura mis l'eau à la bouche, dites moi ce que vous en pensez honnêtement. S'il vous plaît, merci d'avance.