La mâture de ses seins . Les paragraphes de monsieur Paul

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    Elle étend ses doigts d'eau d'amazone à la force des bras. Elle étend la mâture de ses seins à la force des bras au pied des ruines et s'endort au crépuscule de ses ongles rongés par des plantes grimpantes....

    Comme les poèmes d'Eluard, ma vie, ce qu'il en reste, ma vie surréaliste désormais marche sur la tête.

     Je vis désormais entouré de mes petites amies, toutes des femmes bossues qui ont des pieds de meuble et des mains de fenêtre, qui ont des pieds de meuble et des mains de fenêtre, oui monsieur, oui madame, des femmes dont les yeux sont pour les unes comme des morceaux de sucre, pour les autres comme des soucoupes de tasses à café.

    ... Et puis le soir, un rien, une hirondelle qui stride, un peu de vent, les feuilles qui ne tombent plus, un beau détail, un sortilège sans vertus pour un regard qui n'a jamais compris l'espace..

      Au moins quand je travaillais je partais en congé, je ne travaille plus, je ne parle plus, je ne pars plus, je ne connais que les taches de silence de mes murs, .

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25 Juillet 2013

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