La pensée du lundi soir.

penelope

Je me détachais avec tendresse de mes parents. Rien n'était brutal. Je ne leurs en voulait pas, aucune haine ne parcourait mon esprit tant je savais ce qui allait se passer. Je les regardais vivrent cette vie qu'ils s'imposent. Je réalisais à quel point mon enfance et mon adolescence ne furent qu'une farce à la Molière. Ce n'était qu'une pièce, je ne sais pas combien d'actes elle comportait mais ca n'avait rien à voir avec la réalitée. Ils passaient leurs temps en publique à sourire, se caresser la main et les cheveux, à lancer des débats, à choqué, provoquer le scandale par leur position politique. Ils avaient une image et l'entretenaient ,nous impliquant dans le tableau d'une superbeet heureuse famille. La réalité n'avait rien à voir et j'en souffrais. Je n'était que ce qu'on avait bien voulu me laisser être. Mais je crois qu'il ne m'on jamais aimé que comme un  paquet de frique, si j'étais triste j'avais une byciclette. Une bonne note? Un sac de marque. Et j'ai finit par comprendrendre qu'il me flattait l'échine de ne pas sortir du rang. Car évidemment les gens qui poursuivent leurs rêves ont toujours l'air stupides à côté des gens froids qui ont toujours remplis leurs vie des souhaits non-exhaussé de leurs parents (pensant peut-être leurs devoir quelque chose). Tout devenait machinale, j'allais faire des études, parce que c'était ça qu'il fallait faire, et que mes parents étaient si fier de dire "ma fille fait un double cursus à la faculté". Mais je ne voulais pas vivre une vie prédestiné, une vie déjà à moitié vécue par ceux qui m'avaient conçus. Je voulais utilisé mes 10% de libre-arbitre sartrien. J'allais passer de la scène au publique . Peu importait la saveur si fade put elle être, j'ai toujours préféré ce gout là à l'amertume que les voeux inaccomplie que nos parents laisse en nous. Evidemment parfois je me dis que la solution la plus facile serait de tourné chauffer les banc de l'amphi' mais rapidement je me rend compte que je n'ai rien à regretter ,rien absolument parce que rien ne vaut le choix.

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