La plage.
Malou
Nous sommes allongés dans le sable.
J'ai fumé, je suis d'humeur coquine.
Je ne peux m'empêcher à la vue de son corps nu de donner des coups de langue furtifs sur son sexe.
Il est gêné, des gens nous entourent.
"Arrête" me dit-il.
Cependant incapable de me repousser de son sexe chaque fois plus dur.
Il me cache tant bien que mal avec sa jambe.
Je deviens de plus en plus gourmande.
Il se lève alors et me propose de chercher un coin plus discret.
Nous longeons les rochers, les pieds dans l'eau. La mer est agitée mais le soleil brille fort. Après avoir escaladé difficilement plusieurs rochers, nous arrivons à un endroit ou la montagne est creusée. Il y a à peine d'espace pour nous deux. Entre mer et montagne. Je préférais m'exhiber dans le sable...
C'est alors qu'il se penche sur moi et qu'il met dans sa bouche délicatement l'un de mes tétons chauffé par le soleil. Il le suce, joue avec sa langue, l'engouffre, le tète goulûment. Avidement. Puis l'autre...
Je commence à gémir de plaisir.
C'est au tour de ses doigts entre mes jambes avides.
Je suis à sa merci. Il me retourne.
Ses mains empoignent un sein, une fesse, et il commence à me pénétrer lentement. Très lentement.
Je commence à entrer en transe.
Je m'accroche comme je peux à la paroi blanche et rocailleuse.
Son rythme s'accélère, son sexe est chaque fois plus profondément enfoui en moi.
Je crie, je crie, je tourne le visage et je plonge mes yeux possédés, délirants dans le siens jusqu'à ce que je lise dans les siens la défaite. La perte de contrôle.
Il me pénètre violemment.
Il est dans mes entrailles. Nous ne sommes plus qu'un corps collé au rocher.
Avant que la jouissance ne le submerge, je me jette avidement sur son pénis au bord de l'explosion. Il a le goût de mon plaisir. J'avale le sien.
Il n'a pas fini. Il sait que j'en veux encore.
Fiévreuse, j'attrape ses cheveux et lui baisse la tête.
Ses lèvres maléfiques, sa bouche chaude commencent à m'aspirer.
L'orgasme est foudroyant.
Il ne s'arrête pas. Il continue. Mon orgasme augmente et se rallonge. Il est intense, sans fin. Je hurle, je tremble, je meurs face au soleil jusqu'à m'écrouler dans ses bras prise de spasmes. Il me rattrape de son corps serein et puissant pour ne pas que je bascule dans la mer qui nous mate.