La soirée, version Coryne

Dans le premier épisode : Sortie se promener dans Paris, Yuan et Coryne rencontrent deux garçons sympathiques, Sylvain et Jean. La soirée se termine chez Coryne. Les couples se forment – Yuan est très attirée par Jean – et la soirée se termine de façon très chaude.

Après cette soirée merveilleuse pour nous deux, Coryne souhaite que je reste pour que l’on se raconte nos aventures en détail.

On finit d’abord de nettoyer les quelques derniers détails, la terrasse est rangée. Coryne est dans la salle de bain, elle vient de prendre sa douche. Elle met un peu de temps, mais cela me permet de me relaxer tranquillement sur son canapé. Je repense à cette aventure de dingue qui vient de m’arriver.

Comment ai-je pu me laisser aller à ce point ? Je me suis donnée comme jamais je n’aurais cru le faire, et surtout avec quelqu’un rencontré le jour même.

Habituellement, je suis très patiente, je veux être sûre avant de coucher avec un homme. Mais finalement, ce que j’apprends ici, ce soir, c’est que cela ne sert pas forcément à grand-chose. La preuve, j’ai eu des sensations jamais eues, même avec des copains de longue date… même lorsque j’ai été prête de m’installer avec l’un d’entre eux, on était loin de ce genre de relation intime.

Mais je ne veux pas refaire les mêmes erreurs, on verra ce que l’avenir apportera.

Coryne termine et je vais prendre sa place. Quand j’arrive près de la salle de bain, une ambiance chaude et moite s’en échappe. Je suis bien obligée de rentrer, et je sens l’odeur de mon amie un peu partout. Je ferme la porte sans la verrouiller. Il ne peut rien arriver, on est entre amies et la confiance est totale entre nous.

Je me mets tout de suite nue, cela est agréable de sentir l’odeur de mon amie mêlée à cette humidité ambiante, cette chaleur et ces sensations qui ont encore du mal à quitter mon corps. Je me dirige vers les toilettes pour évacuer les choses naturelles, car on a quand même un peu bu, tous ensemble.

Pendant la douche, l’eau qui sort du pommeau ruisselle sur mon corps, franchit ces petits seins qui ne me complexent plus vraiment après avoir vu la réaction de Jean. Je me lave, lentement, profitant de cette eau qui me caresse de part et d’autre. Lorsque mes mains lavent mon bassin, je peux sentir mes lèvres encore excitées, un peu de sperme s’écoule entre mes doigts. Je me lave également l’anus et je me rends compte que cela me donne une sensation que je n’avais jamais imaginée. Disons que j’arrive à commencer à considérer cet orifice comme sensuel, alors qu’il a toujours été « vital » uniquement dans mon esprit. Je n’imaginais pas avoir de relation avec cette partie de mon corps, ni même en rêve. Alors que je commence à me faire à l’idée qu’éventuellement, je suis peut-être encore en train de rater quelque chose ?

Coryne frappe et entre dans la salle de bain

— Désolée Yuan, je n’ai plus de serviettes propres, tu peux te servir de la mienne— Ok, cela ne me dérange pas.— Je peux te demander quelque chose ?— Vas-y, bien sûr.— Tu peux tirer ce rideau, que je te vois, juste cinq secondes— Non, mais je t’ai déjà dit que je n’aime pas ça, je suis mal à l’aise nue, et devant toi surtout.— Pourtant, tout à l’heure, cela avait l’air de ne pas trop te déranger quand tu es venue chercher la bouteille ? Tu avais presque l’air d’aimer te montrer à moi comme ça— Oui, c’est vrai, mais j’étais dans un autre état mental.

Sur ces mots, j’ai tiré le rideau de douche, nue, avec les bras croisés sur ma petite poitrine, le pommeau dans ma main… dernier instant de pudeur.

— C’est vrai que tu as un corps dément, je… suis jalouse. Tourne-toi ?

Je me tourne, complimentée je suis vaincue. Et finalement j’apprécie de me faire regarder avec envie.

— Tu as de petites fesses que l’on a envie de croquer. Montre-moi tes seins et je m’en vais.

Je baisse le pommeau au niveau de l’entrejambe, me retourne, Coryne peut voir mes petits seins et les tétons qui pointent encore un peu. J’en caresse un, ne sachant que faire avec ma main libre, cela me décharge une petite sensation fort agréable, qui me fait reprendre conscience que je suis en face de ma copine en position incongrue.

— Tu peux me laisser maintenant ?— Oui, oui, mais j’aime ton corps tu sais ?— Oui, bah, je prends doucement conscience que j’en ai un qui peut plaire, alors laisse-moi un peu de temps avant de me frustrer ou choquer.

Après cet intermède, je sors de la baignoire, me sèche, et je sens l’odeur de Coryne sur sa serviette. Je me dis qu’elle a dû se sécher l’entrejambe avec la même partie que moi. Je sens mon vagin encore un peu humide, non de la douche mais bien de ces moments et réflexions qui m’excitent encore. Je laisse un peu de mouille sur la serviette. Peut-être avons-nous échangé notre fluide corporel ainsi ? C’est fou, cela me passe par la tête, pourtant ce n’est pas la première fois que l’on se prête nos serviettes.

Je finis de me sécher, me coiffe avec un petit chignon et retourne rejoindre mon amie sur son canapé, transformé en lit, juste un drap. Sur la table, un thé nous attend. Coryne est allongée sur le ventre, une nuisette noire avec un slip noir aussi. Je m’allonge aussi sur le ventre, mais en face d’elle pour que l’on ait la tête proche l’une de l’autre.

— Alors comment c’était avec Jean ?— Écoute, j’ai encore un peu de mal à me l’avouer, mais j’ai pris un énorme plaisir.— J’ai cru comprendre— J’ai eu un orgasme intense, je n’ai jamais vécu ça.— Ah, bah, raconte-moi ça.— Euh… je veux bien que tu me racontes d’abord ton histoire, et je te promets que je ne te décevrai pas !— Tu veux les détails ?— Tu en veux quand je vais te raconter la mienne ?— Ok, je te donne tout alors ! Donc…

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Quand Yuan m’a appelée ce soir, je me suis dit que c’était une super idée de sortir, comme ça, en semaine. J’aime vivre, j’aime sortir et rencontrer de nouvelles têtes. Yuan a eu une rupture difficile récemment, et malgré tous mes efforts, elle ne cède pas aux nouveaux venus très facilement. Donc, ce coup de fil, je l’ai pris pour une sorte d’appel au secours, surtout quand elle m’a dit qu’elle voulait lâcher du lest à cause d’un truc qui s’est passé au travail. Elle voulait se vider la tête. Je me suis donc dit que peut-être, si une occasion se présentait, ce soir était une bonne occasion.

Après être arrivées, lorsque l’on a rejoint les garçons sur le bord du canal Saint-Martin, j’ai bien sûr repéré un des gars qui avait le look qu’appréciait Yuan, une sorte de brun, beau gosse, pas sûr de lui. Pas si fréquent que cela chez les gars mignons. Du coup, j’ai vite fait un tour d’horizon des deux autres et cela n’était pas mal, loin d’être top, mais bon je suis là pour aider mon amie. Après un clin d’œil complice sans réaction de ma chinoise préférée, je comprends qu’elle est OK pour les rejoindre.

Après avoir démarré l’apéro, j’ai trouvé une super excuse pour les aborder, l’ouvre-bouteille qui nous manque. Eh oui. Pauvres gourdes que nous sommes, (il était dans mon sac, bien évidemment). Les présentations faites, j’ai eu l’impression de voir un coup de foudre en direct entre Jean et Yuan. Émoustillant de voir ça !

En me rasseyant, je profite de ma petite jupe, qui remonte « sans le faire exprès » le long de ma cuisse. J’ai des rondeurs et je les assume totalement, j’aime ça, et les garçons que je rencontre aiment beaucoup également, vu le succès que je peux rencontrer.

Ce soir, je veux provoquer les regards, mon décolleté laisse une bonne partie de mes seins à la vue de tout le monde. Je discute encore un peu avec Yuan qui me confirme ce que je pensais. Vu la situation et les mecs juste à côté de nous, je pense profiter de la situation pour qu’elle s’amuse. Rapidement, dans les deux garçons qui restent, il n’en reste plus qu’un, pas trop mal finalement, à bien y regarder.

Je me retrouve à discuter avec lui et il me met à l’aise tout de suite. Quelques blagues, un bon sens de l’humour, une conversation fluide me mettent en confiance. Il est tactile, je le laisse faire. Je ne sais pas où il veut aller, quelles sont ses intentions, mais je peux le deviner. Sa main effleure souvent la mienne, après une rigolade commune, il fait une caresse sur le haut de mon bras. Doux et électrifiant.

Au fur et à mesure, forcément, on en vient à parler un peu plus crûment, une petite blague sexuelle fuse, et je ne rate pas le coche en faisant une insinuation sur laquelle personne ne peut avoir de doute.

Jusque-là, du coin de l’œil, je surveillais Yuan qui mettait en avant son côté sexy, et elle faisait de l’effet à Jean, vu son pantalon qui devenait inconfortable. J’ai compris que les choses allaient changer quand Jean s’est rapproché de Yuan par provocation et que celle-ci l’a embrassé à pleine bouche. Magnifique. Quand j’ai vu ça, cela m’a émoustillée, et Sylvain n’a rien trouvé de mieux que de me provoquer, alors j’ai sauté sur lui pour le rendre fou. Un baiser bien sensuel, mon buste collé à lui pour qu’il sente ces deux seins qu’il ne voudra que caresser ensuite, mon but était qu’il ait une érection violente afin qu’il perde presque ses repères en public.

Cela a plutôt bien marché, mais sur moi aussi puisque ma petite culotte commençait à être bien humide.

J’ai donc proposé d’aller chez moi, ma terrasse étant parfaite, il fallait en profiter. D’autant que j’avais compris que tout le monde était partant et à point pour aller plus loin.

J’ai quand même averti Yuan, pour qu’elle ne fasse pas quelque chose qu’elle puisse regretter ensuite.

Elle m’a avoué être terriblement excitée, je n’en doutais pas vraiment. Mais c’est vrai qu’on pouvait voir un peu ses tétons pointer si on faisait attention, mais Yuan avait un soutien-gorge rembourré, c’était donc assez discret. Rien n’échappe à sa meilleure amie.

Arrivés chez moi, on a mis en place la terrasse, sorti quelques boissons et, assez rapidement, Yuan et Jean se sont mis d’un côté pour s’isoler un peu de nous.

Sylvain est très tactile, il m’a tout de suite pris à la hanche pour m’attirer à lui, m’a embrassée et déjà sa main passait sous mon t-shirt pour caresser ma peau au niveau de la taille. J’étais en feu, je l’ai donc invité à s’allonger et je me suis mise à califourchon sur lui. Je pouvais sentir son érection à travers son pantalon. Je sentais mon entrejambe contre sa bite excitée, et je me suis langoureusement frottée à lui en l’embrassant. Il a mis une main sous ma jupe pour malaxer mes fesses charnues. Il jouait avec mon slip, n’hésitait pas à passer un doigt sous la bordure du slip pour m’exciter davantage. Lorsque soudain, ne tenant plus, il m’a attrapée fermement à la taille et m’a retournée sur le sol, c’est moi qui me retrouvai allongée sous lui.

Sa main était sur mon cou, elle est descendue et est passée sous mon t-shirt. Lorsqu’elle a atteint mon sein gauche, une vague de chaleur m’a envahie à nouveau. Mes tétons étaient au top de leur excitation, la moindre caresse me faisait des frissons.

C’est à ce moment-là que Yuan a voulu se retrouver seule avec Jean. C’est dommage, sans son intervention on serait restés à quatre comme ça, s’amusant avec nos corps respectifs. Je lui ai donc dit que je redescendais à l’appartement, je voulais lui laisser le privilège de la terrasse. Je n’ai volontairement pas fermé à clé l’accès, si quelqu’un a envie d’un peu de voyeurisme, il ne faut pas se priver.

Arrivés dans mon appartement, je me suis approchée de Sylvain, j’ai enlevé sa ceinture, dégrafé sa braguette assez difficilement car son érection bloquait un peu l’ouverture. J’ai vu un slip déformé par une magnifique bite. En tous cas la taille était assez conséquente, un sourire a parcouru mes lèvres, il a compris que j’étais en manque et heureuse de voir qu’il était bien loti et qu’on allait avoir du plaisir ensemble…

Son pantalon retiré, j’ai descendu son slip de quelques centimètres, juste assez pour découvrir son gland. J’ai posé un baiser dessus, caressé avec ma langue. Je l’ai pris en bouche et je suis descendue le long de sa verge tout en retirant progressivement son slip.

Il a exprimé un long :

— Ahhhhhhh, oui. J’avais son membre dans ma bouche, il était assez gros, je n’arrivais pas au bout, j’ai ainsi fait une fellation assez rapide, avec ma langue jouant sans cesse avec lui. Il avait ses mains sur ma tête, et donnait des petits coups de bassins simulant l’acte sexuel. C’était vraiment agréable.

Après quelques longues secondes, voire minutes, il s’est retiré et m’a allongée sur le lit, retiré mon top et ma jupe en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire. Il a retiré son t-shirt, et tout nu, s’est allongé sur moi. Sa verge sur mon entrejambe me mettait dans un état presque incontrôlable.

Il m’a embrassée tendrement, il a joué avec mon soutif avant de le retirer et, enfin, de libérer mes deux seins qui n’en pouvaient plus. Il les a embrassés goulûment, son bassin faisait des mouvements de va-et-vient sur le mien, son sexe frottant contre mon slip, cela me caressait le clitoris.

Il s’est relevé, s’est tourné sur moi, et j’ai attrapé son sexe dans ma bouche pendant qu’il se penchait vers mon entrejambe, on était dans la position du 69. Je le suçais avec envie, tout en imaginant que j’allais bientôt avoir ce sexe dans mon vagin, cela me faisait mouiller d’autant plus.

Il a glissé une langue sur mon nombril, est descendu vers mon slip. Sa langue passait en dessous, sa main était sur ma cuisse et remontait vers mon slip, il a fait passer un doigt sous le slip et il a senti mes poils ainsi que la mouille de ma chatte, qui était trempée depuis bien trop longtemps, je n’en pouvais plus. Il a retiré mon slip, écarté mes lèvres, et donné un grand coup de langue, très brièvement, sur toute la longueur de ma fente… Cela a lancé un terrible effet à travers tout mon corps, Sylvain avait ma mouille sur toute sa langue et il a relevé la tête pour bien la goûter. Quand j’ai repris conscience, j’ai repris sa queue dans ma bouche et il a replongé entre mes jambes. J’ai senti qu’il était appliqué. Je lui mordillais le gland, ai sorti sa bite de ma bouche, la lui ai léchée de tout son long, ses poils avec, et l’ai masturbée pendant ce temps-là. Il a continué à m’embrasser les lèvres et j’ai senti son corps se trémousser. J’ai donc continué, et pendant qu’il me léchait la vulve, une giclée de sperme est sortie de son sexe, puissante, allant sur le bas de mon ventre, suivie d’une autre, j’ai ensuite repris cette queue dans ma bouche, je voulais son sperme sur ma bouche, une giclée est partie sur mon cou, et j’ai ensuite eu les deux dernières dans ma bouche.

Sylvain n’a pas arrêté de me lécher et il a continué en mettant un doigt dans mon vagin tout trempé. Il n’a pas eu de mal, avec son autre main il me caressait une fesse, et laissait aller son doigt vers mon anus.

Ma mouille et sa salive avaient coulé entre mes fesses, mon anus était trempé et la caresse du doigt m’a fait perdre raison.

Je lui ai demandé d’arrêter deux secondes, ai sorti un préservatif, que je me suis empressé de lui mettre. Je lui ai demandé de me prendre tout de suite sans attendre. Ce qu’il a fait. Quand j’ai senti la chaleur de cette verge dans mon vagin, j’ai su que j’allais aimer, malgré la capote. Il m’a ramonée assez rapidement au départ, ce qui a eu pour effet de m’exciter énormément, je sentais que l’orgasme commençait à vouloir s’installer dans mon corps mais qu’il avait besoin d’un peu de temps encore.

Sylvain m’a demandé de me mettre à quatre pattes, j’étais heureuse de pouvoir lui montrer mes grosses fesses sous son nez, ma vulve surexcitée, gonflée de désir, ma mouille partout entre mes jambes, j’ai glissé une main pour me caresser le clitoris. Avec sa queue, il m’a provoqué de l’entrée de mon vagin en remontant jusqu’à mon anus, faisant mine de vouloir entrer à chaque fois, mais continuant ses caresses intimes. J’ai dû donner un coup de fesses en arrière au moment où il était en train de jouer avec l’entrée de mon vagin pour qu’il s’empale de tout son long en moi. Il a tenu mes hanches et m’a prise avec ardeur. Avec un rythme assez conséquent, il continuait sans relâche, se tenant d’une main et de l’autre me triturant un téton sans tendresse mais pour me faire venir, ce qui a plutôt bien fonctionné.

Il s’est ensuite remis droit, continuant la saillie, et m’a titillé l’anus avec son index, ce qui a eu pour effet de me faire lâcher prise, l’orgasme était là. Je le lui ai dit. Il a continué à jouer avec mon anus, entrant la première phalange de son doigt et j’ai explosé. Orgasme vaginal, électrifiée de tout mon corps, cela a duré trente secondes, j’ai poussé quelques cris que j’ai tant bien que mal essayé de retenir, en vain. Ensuite, je me suis écroulée. Il s’est retiré par la force des choses, m’a écarté les fesses et a déposé un baiser sur ma vulve encore ultra excitée, et un autre sur mon anus, qui en demandait aussi, et il est venu s’allonger à côté de moi.

Il m’a caressé le dos quelques minutes, insistant bien sûr sur le bas, et les fesses, ce qui était loin de me déplaire. Je fermais les yeux pour savourer un peu de calme, on ne parlait pas, il m’a retournée sur le dos, et continué les caresses de mon visage jusqu’aux cuisses. Insistant sur le ventre, les seins, l’entrejambe était un peu délaissé pour le moment, repos.

J’étais un peu en sueur, lui aussi, avec la chaleur intense de ce mois d’août, à l’intérieur de mon appartement. Cela donnait un goût salé à tous nos échanges corporels. Il m’embrassait, je sentais son sexe beaucoup moins dur, mais encore un peu excité contre ma cuisse, une goutte humide s’y déposant, et s’écoulant sur le canapé. Goutte d’excitation ou de sperme ? Je ne sais pas.

Je lui attrapai la queue et lentement, recommençai à le masturber, son sexe a grossi jusqu’au maximum en quelques secondes. Quelle douce sensation quand cela se produit dans mes mains ! Sylvain avait repris de la vigueur, il déposait des bisous sur mes seins, s’attardant avec délicatesse à jouer avec mes tétons, me ré-excitant comme une chienne enragée. Il est descendu sur tout mon ventre, prenait mes bourrelets entre ses doigts et les mordillait sensuellement.

Il s’est levé, il m’a mis les fesses au bord du canapé, s’est agenouillé devant mon intimité et y a plongé la tête, langue la première pour fouiller dans mon vagin, et cela m’a rendu dingue. C’est à ce moment-là que j’ai entendu la porte de séparation de la terrasse s’ouvrir, Sylvain n’a rien perçu, il était absorbé dans sa tâche. Yuan est descendue et nous a vus, cela m’a surprise de la voir nue, si belle et sensuelle.

Elle nous regardait de loin, prenait un peu son temps, je voyais qu’elle se rinçait l’œil alors je lui ai lancé un clin d’œil complice. Elle pouvait rester, surtout que cela m’excitait assez qu’elle me regarde pendant qu’une langue me fouillait le minou. Une chaleur supplémentaire m’envahit lorsque je m’imaginai qu’elle pourrait participer, voire éventuellement prendre la place de Sylvain.

Quand elle revint de la cuisine, elle s’approcha beaucoup plus près, je pus admirer sa peau magnifique, son minou rasé assez finement, j’ai même vu quelques perles luire dans son entrejambe, je pouvais presque sentir son odeur, j’AURAIS AIMÉ la sentir. En la regardant dans les yeux, j’ai vu qu’elle avait perdu toute timidité ce soir, elle scruta mon corps, sourit. Cela m’a fait vraiment plaisir.

Sylvain ne s’était toujours aperçu de rien, et il me souleva un peu plus le bassin et se mit à lécher mon anus avec grande conviction. Sa langue arrivait à pénétrer mon anus de quelques centimètres, c’était divinement doux, tendre et terriblement excitant une fois de plus. Il a approché un doigt et l’a pénétré en me caressant l’intérieur.

Yuan a continué à me regarder, surprise de cette pratique, et est partie rejoindre son chevalier-servant et salvateur. Quand elle a monté les quelques marches de l’échelle, j’ai pu apercevoir son minou d’en-dessous, ses jambes étaient sensuelles, j’aimerais caresser ce corps. Elle a senti mon regard se porter sur ses fesses et je me promis de lui faire honneur le jour où elle serait prête si elle me le proposait.

Sylvain continuait son action, et maintenant j’avais deux doigts farfouillant dans mon anus, une langue qui passait de mon vagin vers mon anus, via mon périnée, et c’en était trop, il fallait qu’il me prenne :

— Prends-moi, tout de suite, et ne me fait pas attendre.

Il avait compris, il m’a posée et contre toute attente, il a placé son gland sur mon anus, et il a réussi à tellement me relaxer, qu’il s’est dilaté de suite. Sylvain a pris ça pour un appel à la pénétration et il est entré sans demander d’autre ordre. Je n’ai pas protesté, j’aime occasionnellement la sodomie, mais il faut qu’elle soit parfaitement préparée. Ce qui était parfaitement le cas ce soir. Il m’a prise jusqu’au fond et j’ai lâché un râle de bonheur, c’était doux, parfait tout simplement.

Il a accéléré le mouvement, puis est sorti, est entré dans ma chatte pour quelques va-et-vient, puis est reparti dans mon anus un peu plus dilaté, et au bout de quelques minutes, il a commencé à pousser quelques cris et il a eu son orgasme pendant qu’il me sodomisait. Il s’est retiré, a enlevé sa capote et m’a demandé de lui nettoyer le sexe, ce que je me suis empressée de faire, avec ce goût de sperme que j’adore lécher.

Il s’est ensuite allongé sur moi en sens inverse, et est reparti jouer avec mon minou, sa langue sur mon clitoris et trois doigts à l’intérieur. Il a réussi une prouesse en jouant ainsi deux minutes sans s’arrêter et l’orgasme est apparu soudainement, intensément, pendant qu’il continuait à me faire plaisir. J’ai crié de bonheur pour la deuxième fois de la soirée, c’était encore mieux que la première fois. Je me sentais trop bien à ce moment-là.

Après quelques instants de repos, Sylvain est parti se laver dans la salle de bain, et j’ai monté les quelques marches, ouvrant discrètement la porte de la terrasse. Là, j’ai vu directement Yuan assise sur Jean. Bien motivée, elle était terriblement chaude, elle s’empalait sur son membre et Jean lui mordillait un téton. J’ai entendu l’orgasme de Yuan, ce qui a été comme une mélodie pour moi, j’ai eu envie de me rappeler de ces sons toute ma vie (lorsque j’aurai un coup de baisse de moral, par exemple). L’orgasme avait l’air intense, on sentait le sexe et l’amour dans cette étreinte. Quand Yuan s’est retirée, j’ai clairement vu que Jean n’avait pas de préservatif, une goutte de sperme coulait déjà du vagin de mon amie, je n’ai pas pu m’empêcher de m’exclamer :

— Eh beh. J’ai pris conscience qu’il ne fallait pas et je suis rentrée rapidement dans l’appartement, non sans avoir été très heureuse d’avoir vu ce magnifique spectacle.

Mon minou ne s’est pas calmé pendant tout ce temps… et jusqu’à maintenant, j’ai encore de grandes envies et excitations.

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— Tu vois Yuan, j’ai passé une soirée fort agréable, moi aussi.— Effectivement, et je ne savais pas que tu aimais le sexe anal ainsi.— De temps en temps, mais là il m’en a bien donné envie.— Et… je vois que tu as une attirance pour moi.— Je ne peux pas le nier, mais attention, je ne suis pas amoureuse, je suis attiré par ton corps, sexuellement, pour des câlins— J’ai bien compris.

J’ai dis cette dernière phrase en lui caressant le bras, et j’ai bien remarqué sa chair de poule. D’ailleurs son histoire m’a émoustillée, j’ai à nouveau le slip trempé, slip que j’ai emprunté à mon amie, du temps où elle faisait quelques tailles en moins… vestige du passé, on appelle cela chez les filles.

— Tu veux que je te raconte mon histoire maintenant ou on va dormir ?— Tu rigoles ? Oui bien sûr que je veux entendre ce qui s’est passé pour toi, je n’attends que cela

Et c’est ainsi que je lui raconte toute l’histoire, de A à Z, comme j’ai pu vous le faire précédemment. Après 30 minutes, j’ai terminé.

Pendant que je raconte l’histoire la tête posée sur le canapé, je le sens un peu bouger alors qu’on est immobile, je relève doucement la tête et je vois que Coryne a le bras opposé sous son ventre. Je regarde attentivement et je remarque qu’elle se caresse…

— Mon histoire a l’air de te plaire— Pardon ?— Tu te caresses là, non ?— Euh… désolée, je pensais être discrète, mais je t’ai dis, je suis chaude aujourd’hui.

Je me relève un peu et vais lui embrasser l’épaule et le cou.

— Brave Coryne.— Mais tu sais que tu m’électrises avec tes bisous, là ?— Tu n’auras rien de moi, pas ce soir en tous cas.— Eh bé… je sens qu’une nouvelle Yuan est née aujourd’hui.— Oui et je pense que c’est lié avec ce que j’ai vécu ce midi au travail.— Cela me fait plaisir, peut-être que l’on va encore plus partager de choses ensemble, si on s’entend au niveau du sexe, on est au même diapason.— Ce n’est pas parce que j’ai fait ça aujourd’hui que je serai comme ça demain— Non, mais j’ai bon espoir, et je ne te lâcherai pas

Pendant qu’on se racontait nos histoires, je reçus quelques SMS de Jean, et en même temps je sentais son sperme s’écouler de mon vagin pour atterrir dans le fond du slip, parti avec ma mouille de l’excitation de ces histoires…

J’ai aimé ce que j’ai vécu, ce que je ressens maintenant, je me sens tout autre, et j’ai hâte d’être à demain, et de vivre de nouvelles aventures. Je ne veux pas faire n’importe quoi, mais le deuil de ma séparation est terminé, ma timidité, je vais essayer de la combattre, j’ai vu que je pouvais le faire ce soir.

En tous cas, je reprends goût à la vie d’une manière que je ne connaissais pas et j’ai hâte de vous raconter d’autres aventures qui se sont réellement passées.