La vie est une mort lente

J'allais lui dire que je l'aimais mais je tombais brusquement sur le sol. Clara était inquiète et se jeta sur moi. J’étais paralysé, j'étais imobile. C'était les mauvais effets des médocs. J’en avais trop pris et j'en subissais les conséquences. Avais-je besoins de me droguer pour avoir le courage de me livrer à Clara ? J’aurais tant voulu l’épouser. J'’aurais tant voulut qu'elle soit la mère de mes enfants. C'était trop tard. J’étais parti, parti dans un long et profond sommeil. Mes yeux se fermaient, et la dernière chose qu’ils avaient vue, était la femme que j’aimais en larme.