la vue

gradiva

le regard est visuel, l'image est naturelle. Les yeux sont la vue et la matière est supercielle. Pour toucher l'essence, la palpitation, la sensation, les yeux doivent posséder les vertues des autres sens.
La peau brûle, les yeux ont du mal à voir le jours, les réflexes deviennent animal et c'est dans cette conscience que les sens s'aiguisent. L'hypersensibilité est un don, mais ceux qui la posséde sont souvent vu comme des nuisibles. Ne regardez le soleil dans les yeux, le cul d'une femme suffirait a remplir toute les courbes géométrique pour former la mollécule imaginaire qui s'accorde avec notre cerveau. Reproduisez-vous sans concscience, la mort n'en connait pas la vue, elle est une femme. Et si elle se retourne c'est une ronde qui vous tiendra par la main et vous fera plier sous le poid de votre seule vision, l'éclair sauvage d'un homme qui voit comme sa mère étant plus sa première femme. Les troubles persiste et la vue reste insensible, les rayons perse mais c'es de l'intensité qu'il faut crier. au loin dans le feux noir où nul oxygène n'est respiré les gas fouettes l'argent et l'or aux cicatrices sans veines, nébuleuse, envahissante vision pour laquelle les mondes s'ouvriront en deux.

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