L'amitié

didierdlj

Amitié

Mes amis sont très rares. En revanche, quand je donne mon amitié, c'est toujours très haut et très fort.

L'amitié, ça se partage... s'ouvrir aux autres, c'est aussi tolérer qu'ils puissent aimer plusieurs personnes en même temps !

Mais oui, c'est tout à fait possible. Je voudrais qu'on me comprenne ?

Alors, moi aussi, je dois accepter qu'un(e) ami(e) puisse m'aimer, tout en
partageant des secrets avec quelqu'un d'autre.


Mes amis sont mes journaux intimes vivants.

Mes ami(e)s, même lorsque je m'isole, je ne les perd pas de vue.

Ne vaut mieux pas avoir d'amis, mais on dit ça, on ne peut pas s'en empêcher.

Je veux recommencer encore une fois. C'est mieux qu'abandonner la partie.

Car être sans ami, c'est mourir à petit feu.


L'amitié, la connaissance de l'autre, se construit dans la patience du temps.

Un vrai ami, je le conçois comme une personne qui m'aime vraiment et qui se fait du souci pour moi.

Il mérite ma confiance, nous partageons les mêmes idées, les mêmes opinions et il ne me laisse pas tomber quand je vais mal (loyauté).

Un véritable ami ne vous abandonne jamais, quoi qu'il arrive.

Il ne m'aurait jamais mis en danger et m'aurait évité des ennuis, comme je l'aurais fait pour lui.

Il est important de savoir que l'on peut compter sur quelqu'un dans les moments difficiles.

Rien ne pourrait m'inciter à renoncer aux qualités que j'exige chez un ami.

Je crois qu'on ne perd jamais un véritable ami, à moins de trahir sa confiance en vous.

J'attends beaucoup d'un ami, car de mon côté, je m'efforce de correspondre à la définition et plus encore.


Pour réussir sa vie, il suffit de choisir une étoile et de la poursuivre. Une étoile est née et elle se trouve dans notre amitié.
Il ne suffit pas de vouloir une amitié, pour la faire exister.


Je veux qu'il sache que rencontrer des gens qui vous aiment, vous comprennent et vous acceptent pour ce que vous êtes, ne fais pas parti du quotidien des adultes.
Béné, Loud, Laëti, Delph' ; ces amis qui ont fait de moi, ce que je suis, seront avec moi, partout ou j'irai. Et bien que chaque jour, ma mémoire sélective, réécrive notre histoire, mon amour pour eux est de plus en plus fort, parce qu'en vérité, c'est la plus belle époque de la vie.

Il y a eu des erreurs, des cœurs brisés, des leçons douloureuses.
Mais tout ça, a laissé place à de merveilleux souvenirs. Comment est-ce possible ? On oublie si vite, les détails négatifs pour ne garder que les bons souvenirs et les embellir. Sûrement, parce que nous avons besoins de croire que le temps passé ensemble est précieux, que nous étions là, les uns pour les autres, à un moment déterminant de notre existence.

Une période que nous oublierons jamais. Je ne peux pas
garantir la véracité des faits, mais c'est le souvenir que j'en garde !!!
Les sentiments et les émotions se manifestent bien souvent de façon imprévisible et inconsciente.

Il engendre un comportement loufoque !

Mon analyse des angoisses profondes de l'adolescence n'es pas convaincantes, ... !

Je n'envisage rien d'inconscient ou de subiminable avec... ; je vous assure. Le débat est clos.
Je ne suis qu'un étudiant traumatisé, qui essaye d'effacer les mauvais souvenirs de ma scolarité.

La vie fait son œuvre. Tu me connais ; Moi, je serai malheureux si tout allait bien. J'ai pas changé, je m'adapte.

Qu'est-ce que je fais ici ? je veux dire : quel est le type Saint-Esprit qui viendrai vivre en banlieue.

Mon malaise n'est pas lié. Je vis une relation frustrante. J'ai peur de la réalité.

La réalité nous terrifie, chacun de nous. Qu'en vous dîtes, que j'ai changé, c'est vrai que j'ai changé, mais à quel prix. En me battant corps et âme.

Si tu crois que, les choses qui, dans ce monde, ont de la valeur nous tombe du ciel sans effort, tu te trompes.

J'ai presque autant de sagesse qu'une bonne fée, ça me réussi, mais il me manque un disciple...

Qui vivra, saura ! Bien que, parfois, je me demande, mais qu'est-ce que je fais ? Les rêves ne sont pas parfait. Il exige de nous, beaucoup de sacrifices, et c'est vrai. Bien sûr que j'ai raison. Je suis fatigué en général. J'ai vécu beaucoup de choses. Les années ont passées, et finalement nous voilà, comme il se devait. Le plus normalement du monde, pour les destins entremêlés de deux âmes sœurs. Mais j'ai passé ma vie à me détester.
Et puis, l'impression de déjà vécu, c'est dur, c'est comme quand tu prends un acide et que tu as un flash-back, sans les couleurs et tout le reste. Enfin, j'en sais rien, je sais pas ce que ça fait de prendre un acide...
Comme pour toutes les choses importantes de ma vie, je ne sais pas comment faire ? Si je limitais les dégâts, se serait bien.
J'aimerai réussir au moins ça.


Je me libère de mes angoisses, je confie mes craintes.

Il ne faut rien regretter

Chaque erreur est constructive.

La condition d'une vie réussie est la volonté, on en profite au maximum.

Lorsque quelqu'un dit quelque chose qu'on ne comprend pas, on se retrouve face à une alternative des plus simples :


Soit demander d'expliquer ce qu'elle voulait dire, soit passer sa vie à faire semblant d'avoir compris ce qu'elle a dit = j'ai choisi la première solution.


J'aime bien côtoyer des gens qui me connaisse pas
vraiment et qui croit en la personne que j'suis, aujourd'hui. Ils ont le regard neuf, et aucun priori.
Quand tu as un moteur... dans ta vie ou bien quelque chose à bien t'accrocher, quelque chose qui n'est pas quelqu'un, mais plutôt un objectif ou un rêve, et bien quand tu là ça, c'est tout qui t'entoure,
tu peux t'en sortir.


Il me reste tellement de choses à apprendre sur moi-même.
Dire qu'il est trop tard pour remédier à une situation que j'ai moi-même créée...
Je ne sais pas si je peux compenser des années d'indifférence, mais je vais essayer de concrétiser mon rêve. Je suis assez grand pour décider de la manière dont je souhaite vivre ma vie.
Mais à certains moments, Je suis prêt à piétiner tout le monde pour atteindre mon but.

Je porte l'empreinte de la démesure, comme si le tableau de ma vie était peint dans des couleurs plus vives, plus criardes que celles des autres.

Je suis infatigable lorsque je veux faire quelque chose, impitoyable dans mes efforts pour l'obtenir.
Je peux presque en mourir. C'est une sensation... comme du vent dans les ailes qui vous donnent envie d'aller mieux.

J'ai démarré, ensuite il n'a tenu qu'à moi de dépasser ce stade !

Il ne faut jamais sous-estimer l'adversaire. Surtout quand on a aucune arme contre lui.

Je marche déjà sur mon propre chemin, mais j'ai juste besoin d'élargir mes horizons.
Je vais devoir lutter, mais je ne serais pas seul dans ma bataille : la... sera là.

J'irai partout où je serai (je souhaite ne pas me perdre), je m'aiderai dans mes jours et dans mes nuits, j'y déferai dans une forteresse pour me protéger.

Je n'arrive toujours pas à réaliser que ce n'est pas un rêve.
Il faut réagir et avoir confiance ne soi, et ne pas s'habituer à un monde vide, sans relief et sans couleur, qui finit par tuer.

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