Dans son couloir, mon ami autiste sans pouvoir. D'un geste, il me promet plus que des mots. Les paroles qui avancent, les siennes qui reculent. Le froid on se resserre, le froid il préfère. parce qu'il craint le bonjour, il s'en va au crépuscule. parce qu'il craint le regard, il s'endort affamé.
c'est beau !
· Il y a plus de 13 ans ·retsig