Le confort
freevan
Le confort
Crois-tu que j’ai tort, si je choisis le confort ?
D’être sur ce doux sommier, là où dorment les remords
Où s’entassent les richesses qui en font sa mollesse
Là, si je m’enfonce, un doux effet s’annonce
Mais les rêves disparaissent
A mesure qu’il s’affaisse
En sursaut j’ai choisi
De rehausser mes nuits
Crois-tu que j’ai tort si je choisis le confort ?
Celle dont le sommier à épousé le corps
Celle dont la tristesse a remplacé l’émoi
Des premières maladresses mais la tendresse est là
Mais la tendresse seule
Ne suffit plus aux cœurs
En les brisant j’ai choisi
De nous rendre l’envie
Pour cette nuit agitée, je dors face contre terre
C’est dur à accepter mais l’homme est éphémère
Que la chance nous souri, que nos folies nous portent
Cédons à nos envies, ouvrons nos propres portes
Que la chance nous souri, nos folies se délivrent
Cédons à nos envies, au confort d’être libres