LE CYNISME BAROQUE DE LA SOCIETE
nicos
Le cynisme baroque de la socièté, parodie parfaite du gentil-homme, en devenir
l'idée mal odorante de la perfection imposée
L'accomplissement de soi se confond avec désir, ou paraître:
Les apostrosphes de l'apparence déguisés en avoir civilisés
Etre de chair, de mots et d'émotions, la femme et l'homme s'y rejoignent et s'y déchirent goulûment
L'argent bien odorant ennivre le sang cardiaque
La cadillac se mache et se meût, comme le pétrole
Le sang noir qui se déverse, comme une mère qui s'assèche
L'antinomique et l'amoniaque se respirent mais ne se digère
Légère est l'idée, parfaite serait la logique:
Le tétralogisme, le sillogisme, le dogmatisme
Mais la raison se comprend à rebrousse poil
La perfection est un phantasme, un phasme léger:
L'archétype aliénant de menaces inconnues
Comme une peste se déversant dans des rivières nues
La peur , chose, être ou idée qui controle les sociètaires
Puisque nous sommes ses obligés, ces êtres imposés
Serions-nous libres, si au moins la drogue n'était qu'artifice
Sommes nous esclaves du sucre, du blé, de la dîme mal redistribuée, dans nos sociètés où l'humain n'est pas au centre de l'économie, mais outil de celle-ci...
Logique parfaite et déraisonnable, en phase chronique, en bulle explosante, dans ces limites definissables, par quelcquonque dîplomes ou autres réalismes chimériques.
Mais l'homme qui eut faim se satisfait du sucre et du blé.
Ces raisons sont louables puisque la liberté a ses bases, ses raisonnables et ses biens pensants, si pesant
Un pet foireux, en public a plus d'effet qu'une foule qui s'agite ou qu'une foule d'idées nouvelles
Le carcérale rime avec certitudes et sarcasmes
Le blasphème est revenu
La chasse aux érétiques est évidentes
Patiemment, les règles régissent
Le réglisse s'agite, mais rien...
Srtricto-sensus, rien ne bouge
Mais tout se suce, alors suçons d'amour
Les cous de trafalgars
les poètes des rues
les footbaleurs clinquant, les rugbymans valorisés,
Les traders affables
Les femmes pseudo-libérées
les enfant, eux, ont leurs sucettes
Mais les parents sont à peine plus grands....