Oui toi le corps qui déambule sans but si ce n'est pour gagner ta croûte !
Selon toi combien dérivent ! ? Hein combien se trouvent l'affinité droite ? Le juste corps ! Je veux dire droit dans leurs bottes ?
Allez je crois que...
Les complaisants pour faire SOFT, c'est moderne, sont à l'heure de minuit !
Celle de toutes les lunes qui à milles lieux ne brillent pas pareil. Il y a des gens qui s'accrochent à des brindilles, des mousses de mots, des qui parlent au vent corse.
Et d'autres qui flambent des trembles ! Sont-ils là ?
A travers les verbiages qui ponctuent, monopolisent les astres où nous pourrions penser,
Je ne peux résister si je m'y intéresse, je suis touché, je suis comme une flèche abattue quelle détresse !
Quelle belle religion que nous avons, celle des meilleurs lendemains sous jacent le BIG BOUM de ceux qui ne savent pas!
Je vois vos mirettes enjôlées par les promesses capables de sauter au bord de la falaise, vive les synthèses!
C'est bon nous avons un instant ?
L'autre?
L'autre t'es tu soucié de l'autre ?
Celui qui vient de nul autre que tu n'aie connu !
Le celui qui, MERDE encore un autre autre !
Je parle au corps qui déambule,
A ce soleil perdu !
A cet infini incapable,
Mais aussi, aussi qui perd la tête
A celui qui reproche
Celui qui se fait...vous savez...
Mes amis saltimbanques où êtes vous dans ces manches de pouvoir où l'on tire de la magie ?
Je sens l'odeur du chien et des chiens qui l'accompagnent
Je suis de frites et de gas-oil quand la route est lointaine
Jusqu'aux indiens qui osent se lever tel fier
N'est il pas normal de parler aux abeilles ?
Aux baleines, de parler de St Laurent ?
Aux frondeurs d'Alsace de roche qui vivent
A des Devos qui signent par l'absurde qui ne songent ou n'aspirent qu'a rien d'autre que...
Les temps sombres de réunions hostiles à la visu du peuple
Des mouchoirs de poche qui s'entremêlent sans se soucier
Les escarres des grands seront toujours plus raisonnables que ceux que !
Hommage aux familles des vitrines
Celles poncées de l'arme légale celle du pavé !
Hommage aux larmes des inconditionnels
Certain de changer le cours
Circule y'a rien a voir !
Cours, cours jusque le parlement
Citron de son jus infâme d'homme pressé
Le temps qui file ne doit pas filer dans leurs doigts mais dans nos droits
Tels des Philanthropes s'octroient le droit et annihilent
Les liens faits de fils solides de pourpre de bleu et de joie !
Ceux la ignorent alors que ça travaille
Ça travaille
De billets en humeur en sera ainsi
Des batailles de dire,
Vive le truc,
Vive le machin,
Vive la vie OUI !?
Je serai juste vagabond, mettre le grain dans l'engrenage si juste, si juste
Vous me laissez le faire !
Peu importe je me ferai,
Juste laissez moi faire si le besoin !
Car quand les rumeurs circulent de toutes les voix
Qui ne disent que mots dont je ne crois !
Oui je me lève
Je me lève
Avec des larmes sur le front
Avec le bougre, RATATAM
Celui des ego diffus dans les flux
Avec des fausses notes certes mais harmonieuses
Avec celui qui pue tant qu'il puisse encore
Avec ces souterrains encore inconnus car personne ne veut creuser
Y a pas de pelle, ça ne répond plus, pas de contact microphonique
Avec le jus du melon celui qu'on tâte pour voir s'il est mûr
Avec l'encorné et celui qui ne l'est pas avec le pied marin si toutefois il en existe encore !
Je nous suinte bon rêve comme un marsouin orphelin, je dégouline de notre commun !
Nous ferons du bruit comme un oiseau en cage, le grincement de portière à la place du mort.
Sans bruit sans reproche je me rechargerai
D'autres nous diront « économise toi »
Nous leur répondrons que les bruits sourds de leurs charges ne danseront jamais mieux qu'a mille grammes quoique pèse la vie !
Nous tiendrons la dragée haute sans foi à créer cette musique comme d'autres autrefois
Nous nous réunirons avec tact pour une stratégie sans faille!
TIC TAC TIC TAC
Nous !
Je ne suis qu'un pansement le temps de vivre
Je ne suis qu'un ectoplasme, nous sommes des héros
Juste là sous ces travers existe-t-il encore cette couleur ?