Le message

Le message

Vint le moment où les hommes admirent qu'ils ne pourraient jamais résoudre tous leurs problèmes. Ce jour là ils décidèrent de conquérir leurs rêves. Ils ne s'en délestèrent pas mais apprirent à vivre avec eux. Ils repartirent à la conquête du ciel. Ils retrouvèrent les plans de leur vieilles fusées, les améliorèrent et marchèrent à nouveaux sur la Lune. Dans leur enthousiasme ils partirent pour Mars

Le vaisseau Ares composait de six tubes orientés dans les trois axes, de cette façon il fallait au maximum traversé deux cylindres pour aller d'une extrémité à l'autre.

Les trois astronautes contemplaient avec émotion Olympus Mont. Ils ne réalisaient pas que dans une cinquantaines d'heures Valodia et Marina L'exploreraient, Gordon restant à bord d'Ares.

Un des éléments se décrocha et se posa doucement sur Mars. Marina foula la première le sol caillouteux puis ouvrit un immense sas d'où s'échappa Valodia dans un magnifique cabriolet tout terrain. Il dévala les pentes du volcan lorsque le Land Rover se retourna sur le flanc gauche. Valodia fut éjecté et roula un peu. Il vérifia l'encombrant équipement de son scaphandre et ausculta l'endroit où le véhicule avait basculé. C'était une large bosse recouverte de poussière. Valodia la gratta et eut la plus forte émotion de sa vie. Il regardait ce que personne n'aurait espéré trouver ici, une dalle parfaitement lisse et rectangulaire de la taille d'un homme sculpté de milles signes. Valodia la ramena sur Terre.

Après avoir subit de nombreux examen elle révéla qu'elle était simplement en fer. Il fut rapidement évident que les entailles dessinait un message. Tout le monde possédait son opinion, mais tous se trompait. Voila ce qu'elle disait:

Comment une telle chose à bien pu arrivé, tout avait si bien commencé.

Il fallut attendre longtemps pour que la vie s'installe dans l'unique océan. Au début il ne s'agitait que des minuscules bactéries, mais peu à peu on remarqua une véritable faune aquatique. Les poissons les plus faibles, las d'être dévoré se réfugièrent sur les deux continents. Ils s'adaptèrent tellement à ce refuge qu'ils ne virent aucune raison de retourné dans l'eau. De nouveaux animaux apparurent, et avec eux le début des problèmes.

Un équilibre régnait entre ces bêtes, au moins pendant les premiers million d'années, car il se dégagea deux espèces qui ne tardèrent pas à dominer les deux continents.

Elles étaient plus intelligente et les seules à se tenir debout. Elles érigèrent des maisons, très vite les premiers villages apparurent. Il est curieux de constater qu'une civilisation s'est développée sur les deux continents chacune ignorant l'autre.

PHOBOS au nord abritait des êtres petits et poilus, résistant parfaitement au froid qui accompagnait en permanence. Ils vivait en parfaite

harmonie avec la nature, se nourrissant de froids qu'ils cueillaient et de légumes qu'ils cultivaient . Personne ne gouvernait ces terres hostile aux épidémie et malgré un rude climat, vivre sur PHOBOS s'avéraient agréable.

DEMOS contrastait considérablement avec PHOBOS. Sa douceur permettait à la vie de s'épanouir avant un hiver rigoureux.

Ses habitants, grands et longilignes exploitaient toutes les ressources . Les immenses champs qui coloraient la terre ne permettaient pas aux paysans de vivre. Les impôts lui enlevant la moitié de son labeur et la guerre l'autre partie.

Pendant huit mille ans DEMOS vécu entre la peur et le mensonge.

Peur des disparition que subissaient les mendiants et qu'on ne revoyaient plus, peur de retrouver un jour à la place du pendu de la grande place et peur des bête sauvages qui, avec les famines, s'abattaient sur les citées.

Le mensonge venait des prêtre qui feignaient d'instruire le paysan et qui en vérité le soumettaient au roi. Ils le dressaient pour qu'il donne tout pour lui. Les hommes d'église n'étaient pas élu par Dieu mais par le souverain.

Cinq cent ans avant que je naisse on découvrit comment, en rajoutant une simple planche on améliorait la stabilité des bateaux. Tous les navire en furent équipés et on explora la planète.

Les bourgeois durent recevoir un énorme chocs lorsqu'ils s'aperçurent qu'ils n'étaient pas les seul. Très vite ils voulurent en faire des esclaves, mais PHOBOS résista et une guerre commença entre les deux îles. L'aube noir s'abattait sur la planète.

Ce conflit unifia tout les gouverneurs de DEMOS qui se partagèrent les tâches. Ils avaient à leur portée un peuple à asservir, ils ne se gêneraient pas. Ils envoyèrent de plus en plus de soldats qui périssaient autant par le froid que sous les coup des Petits Ours de PHOBOS.

La technologie de PHOBOS s'améliora très vite. Ils surent à leur tours construire des forteresses et les protégés par des canons.

Il y a quatre cent ans les Petit Ours tentèrent un débarquement qui échoua, et révéla leur projet: eux aussi voulait anéantir leur voisin.

La révolution secoua Demos, on croyait à la fin de la guerre, mais il ne pouvait y avoir de paix sans vaincu, il fallait continuer.

Dans ma jeunesse Phobos inventa l'automobile puis l'avion et bombarda les villes. Alors

DMOS chercha et découvrit une arme plus puissantes que toutes les autre, capable de tout faire disparaître

Depuis deux jours j'entend de gigantesque explosion et je vois les montagne qui s'écroule. les océan se vide dans l'espace ,la terre s'ouvre, la planète est en feu.

Il ne va rien rester de nous.