Le monde

rikodak

Le monde, vaste cul-de-sac qui m’étouffe par son étrange pesanteur. Je ne respire que par des bouffées de rêve, pleines de magies lorsque je réecris la vie. J’amour la tendresse, les sentiments vrais, puis la grandeur des émotions, Pas cette étroitesse, cette petitesse, qui ne sanctifie plus que des cons, laissant mourir de leur petite mort des poètes, là où les envies s’assèchent, là ou le monde n’est qu’un arbre sans fruit, un corps sans âme errant sous la pluie.

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