Le passage

pinocchio

saisons changeantes.

La chaleur se montre magnanime,
Pourtant le froid se fait oublier.

Que de similitudes !
Les obstruants de la voûte,
Laissent la place pour l'azur.

La flore renaît de ses cendres,
Rien devient tout,
Les vestiges s'en vont.

Que dis-je ? 
C'est ici encore, 
Et c'est toujours là bas.

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