Le reflet de la lune sur le palais de lumière

blake

Je découvre ce regard fort et doux, sans raison,Toi, nue, et pourtant enfermée d’une fine prison,Celle d’un tissu de soie brisant ta volonté,De vivre là où les mots sont libertés.Ce soir là, je regardais la lune,Ton visage, au bord de la fenêtre des cieux,Puis, endormie, au chaud sous des plumes.Et là, je posai un baiser sur ton corps silencieux.Ton sourire s’éveille à pleine flamme,De ta joie de vivre en cette cité du soleil,Où les mots y sont une arme,Alors que, tu souhaites une paix éternelle.Un jour, tes mots m’ont bouleversé,De ta voix, un mur de verre s’est brisé :Parler de liberté est à la portée de tous et facile,Mais se battre pour elle est rare et difficile.D’une volonté de fer, d’un pas argenté et une plume à la main,Je gravite ces monts et t’offre ainsi mes sept vies, Ressens

Je découvre ce regard fort et doux, sans raison,

Toi, nue, et pourtant enfermée d’une fine prison,

Celle d’un tissu de soie brisant ta volonté,

De vivre là où les mots sont libertés.

Ce soir là, je regardais la lune,

Ton visage, au bord de la fenêtre des cieux,

Puis, endormie, au chaud sous des plumes.

Et là, je posai un baiser sur ton corps silencieux.

Ton sourire s’éveille à pleine flamme,

De ta joie de vivre en cette cité du soleil,

Où les mots y sont une arme,

Alors que, tu souhaites une paix éternelle.

Un jour, tes mots m’ont bouleversé,

De ta voix, un mur de verre s’est brisé :

Parler de liberté est à la portée de tous et facile,

Mais se battre pour elle est rare et difficile.

D’une volonté de fer, d’un pas argenté et une plume à la main,

Je gravite ces monts et t’offre ainsi mes sept vies,

Ressens...

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