Le suicide

Baptiste Brulé

Pensée et regard personnel

Il n'y a vraiment rien à faire, je ne trouve pas le sommeil. J'ai beau me tourné, retourné dans tout les sens mais aucune explication ne viens au faite de pourquoi faites vous ça ? Nan je rigole, à vrai dire il y en a des tonnes.

Vous l'avez créé, pourtant il impensable pour beaucoup d'entre vous, ça n'a pas été le tien et bien ça sera le mien de sujet.

Le suicide. Et pourtant il est bien réel et bien plus présent que vous ne le pensez. Qu'il soit social ou moral vous en etes tous responsables. Vous devriez avoir honte que ce mot existe. Pourquoi ? Vous vous demandez pourquoi ? Je vais vous éclaircir sur cette question. Vous l'avez créé de toute pièce. Qui que vous soyez vous y contribuez, chaque secondes, chaque minutes de votre existence, petite existence de merde, oui car une fois de plus vous pensez qu'a cette dernière. Vous ne voyez pas plus loin que le bout de votre nez alors comment voir une personne en détresse qui appel à l'aide ?
Vous qui vous cachez derrière vos écrans, derrières vos vies virtuelles, vous vous fabriqués une image, une personnalité ou plutôt vous copiez celle du voisin. Comme de braves petits moutons vous suivez le troupeau. Un petit j'aime sur un statut rempli d'insultes et de moqueries visant une personne parce qu'elle à des kilos en trop ou bien qu'elle est laide, car elle ne rentre pas dans les « normes » de la société, de votre société que vous avez construite, façonner a votre manière, à votre pensé d'enculé, vous qui juger à tout va. Mais pour qui vous prenez vous ? Cette personne ne s'accepte pas elle-même, et vous tout ce que vous arrivés a faire c'est l'enfoncé ? Elle appel à l'aide mais vous n'entendez pas, vous n'avez pas le temps pour vous arrêté une seconde et lui tendre votre main. De toute façon vous n'auriez pas le cœur à la tendre, vous la regarderiez et vous vous moqueriez sûrement comme à votre habitude. Vous poussez cette personne à le faire, et le pire dans tout ça est que vous ne vous en rendez même pas comptes. Vous me faites pitié.

Comme vous qui avez gravis les échelons en écrasant les autres, en courant après le temps. Vous y etes arrive, vous vous sentez invincibles, rien ne peux vous arrêtés. Cette personne elle aussi elle cour, elle cour pour s'enfuir loin de toute cette fichu merde que vous avez une fois de plus créé, mais en réalité elle ne peux plus avancé, vous l'en empêché. Vous la rabaissé plus bas que terre, cette terre que vous avez faite désastreuse, hideuse. Travail dur, ne compte pas les heures. Au final vous ne lui verserez qu'un salaire de misère. Ce n'est pas votre problème, vous rentrez dormir dans vos deux cents mètres carré pendant qu'elle n'arrive pas à ce logé. Vous la poussé à le faire petit à petit, elle n'a plus le courage et se dit que c'est bien plus simple. Vous la poussé à toujours en faire plus pour que votre vie à vous soit comblé, vous l'oppressé, la menacé, la harcelé, la détruisé et vous finissez par la tué.

Vous finirez par tous les tuer ou vous entretuer, comme vous l'entendez. Mais pas moi non, vous ne me tuerez pas, vous ne tuerez pas les moutons sauvages qui s'égarent du troupeau, un troupeau à la façade bien triste.

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