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Le vent de ton absence
atlaska
Cette nuit j'ai dormis la fenêtre ouverte, au milieu de mes draps froids me rappelant éternellement l'absence de tes bras. Tes bras chauds, mes lèvre humides de ta langue sur moi, me manquent. Je respirais, je soufflais sur ton cou lisse qui portait la marque de mes baisers, tes mains qui portaient inlassablement mon corps adoré. Pourquoi es-tu partis, pourquoi étais-tu absent ce matin là, pourquoi laisse-tu ce vent s'engouffrer entre les draps, me rappelant éternellement l'absence de tes bras ? Reviens.