Le viel homme

alphaqump

Alors qu'un soir d'hiver, je soupais, solitaire,
À la porte frappa fort trois ou quatre fois,
Un homme étant en proie à la faim et au froid ;
Ses habits et son air reflétaient la misère.


Mes deux bras l'invitèrent en ma vaste chaumière,
Nous dinâmes, il parla, et il me raconta
La liberté, les bois, la nature, et la joie
Qu'est de briser les fers, qui font la vie amère.

Être dans l'harmonie, sous le soleil qui luit,
Tout comme dans la nuit, sans lumière ni bruit,
Sans souci extérieur, est un plaisir majeur.

Ainsi il m'expliqua, que bien qu'il soit en toi,
Toujours tu percevras, en dehors de ton toit,
En trouvant d'autres cœurs, le plus beau des bonheurs.

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