Les bête ont des sentiments

ouiza

Je ne me souviens d'aucune des ruelles que j'arpenter avec ma mère durant les matin d'hivers, mais je me souviens de ces bêtes décharné et de leurs yeux affamé, ils pouvaient être à des métres de moi mais j'avait toujours l'impression que leurs croc aller s'enfonçait dans ma chére. Ces bêtes là elle n'y sont plus s'est peut-être qu'elle n'était là que pour protéger la victime de l'injustice. C'était un homme qui devait avoir la trentaine, aussi mégre que ses protecteurs, toujours à marcher marcher, il avait l'air gentil bien que fou. Quelque années au paravant on l'a cru coupable d'un vole, il n'a pas supporter sont ésprit c'est perdu, bienqu'on a prouver son inocence, son ésprit n'est jamais revenu. Je me souviens de ma visite pour l'une des cité de la ville, j'était bien dans ma doudoune mais lui pour se rechaufer il se blotisser contre ses bête. L'hivers a eu réson de lui il est parti et ses chien l'ont suivi
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