Les joies du télétravail

Litter Adultes

Une occasion de se retrouver à domicile, et c'est une relation professionnelle, cordiale et distante, qui se transforme en une expérience sensorielle étonnante.

Neuf heures du matin, j'arrive à l'accueil de l'agence et j'annonce que j'ai rendez-vous avec Vanessa avec qui je dois travailler durant la matinée. On me répond alors qu'elle est en télétravail aujourd'hui. 


Un peu étonné, je prends mon téléphone et l'appelle :

“Salut, on ne devait pas travailler ensemble ce matin ?”

“Salut, zut, j'ai complètement zappé, je suis en télétravail aujourd'hui… écoutes… heu… je peux venir au bureau, mais il faut que je me prépare… sinon, on peut bosser chez moi si tu veux, j'habite à dix minutes de l'agence”


“Oui, ok, si tu veux, envoies-moi l'adresse, j'arrive”

“Super, prends ton temps, je me douche et je te prépare un café”


Durant la route, je ne peux m'empêcher de penser à Vanessa. Nouvellement arrivée dans l'entreprise, peut-être 35 ans, c'est une femme plutôt jolie mais qui dégage surtout quelque chose de particulier. Châtin, un peu bouclée, cheveux mi-longs, son regard est très expressif mais c'est surtout son attitude qui interpelle. Est-ce son poste de manager ou simplement sa façon d'être, elle génère une distance automatique qui empêche toute digression aux règles du savoir-vivre : aucun contact, pas de blague ou alors très correcte, aucune allusion au registre de l'intime et bien sûr, aucune tentative d'humour un peu déplacé, même légèrement… 


Vanessa possède pourtant un charme certain et un physique super attirant. De taille moyenne, mince et portant une belle poitrine, ronde et ferme, elle bénéficie d'un joli cul de petite taille aux fesses arrondies… Est-ce le choix de ses vêtements qui la met en valeur ? Toujours est-il qu'elle correspond à mon type de femme en terme de physique, même si je n'ose pas trop l'observer.

 

Elle possède de grands yeux très expressifs et me sachant moi-même plutôt être un livre ouvert, j'évite de trop la détailler, de peur qu'elle ne lise dans mes pensées parfois osées quand un chemisier découvre la peau que j'imagine douce de ses seins, ou la peau de son cou au teint hâlé et à l'odeur sans doute parfumée. 


Vanessa est très avenante et agréable, très sympathique dès le premier contact mais gare à celui qui dépasserait la frontière, cette frontière indescriptible qui me tient loin d'elle, tant par le contact physique que par le regard. Nous nous disons bonjour de loin et je m'approche jamais trop près d'elle. 


En fait, j'ai l'impression qu'il n'y a pas de demi-mesure avec Vanessa : ou tu es un intime ou tu es un intrus !


C'est sur ces pensées que j'arrive à l'adresse indiquée et c'est une Vanessa inattendue que je découvre : petite robe d'été sur un maillot de bains, tout sourire et désolée de m'avoir posé un lapin.


“Viens me dit-elle, je t'ai préparé un café. Désolée pour ma tenue, il fait tellement chaud que j'ai fait quelques longueurs dans la piscine et je ne me suis pas encore douchée… Pardon. “

“Je te laisse t'installer dans le bureau, je vais me changer et je reviens, le café t'attend”


Installé au bureau, je réalise alors qu'elle était nue sous sa robe légère, ses seins pointaient sous le tissu et le mouvement de ses fesses au moment de partir montrait de toute évidence qu'elle ne portait rien dessous. Un fourmillement dans mon bas ventre à cette idée me rappelle comme elle est bien faite et terriblement sexy dans cette tenue. 


J'espère soudain qu'elle n'a pas capté mon regard au moment où je l'observais.. Nous le saurons vite j'imagine, dans sa prochaine tenue, dans son attitude, dans le ton de sa voix. 


En pleine consultation de mon ordinateur, j'entends les pas de Vanessa derrière moi

“Alors, ça va, j'ai pas été trop longue ?”


Soudain, elle est debout près de moi, une odeur de fraîcheur m'inonde, une senteur de savon parfumé mêlé à un parfum musqué, un peu oriental.. Cette effluve me submerge d'un coup, je prends une bouffée de ces odeurs si douces, chaudes et enivrantes.


“Non, non…. “ j'allais poursuivre quand mon regard se porte sur elle. Elle porte une robe fleurie dégagée aux épaules, fermée par 3 boutons au corsage, un maillot de bain se devine dessous… Étroite des hanches, elle s'évase ensuite pour descendre à mi-cuisses et virevolte à chacun de ses pas. 


Ma phrase s'est arrêtée net en la découvrant, et je me sens ridicule de m'être interrompu, montrant ainsi mon émoi en la voyant debout à côté de moi. 


“J'ai, heu, juste ouvert les documents sur lesquels on devait travailler…”


Du coin de l'œil, je la vois penchée sur mon ordi, sa robe s'écarte un peu ouvrant la vue sur son décolleté… Je le sens, mais je ne tourne surtout pas la tête, à regret d'ailleurs. Elle se redresse.


“Désolée pour ce matin, me dit-elle…”. Sa voix est amusée plus que gênée, légère, insouciante presque. 

“Pas de soucis, on est aussi bien ici” je lui réponds d'un ton plat, insipide, navrant.. 


“Oh oui, et puis je peux me baigner quand j'en ai envie, c'est génial”


“Oui, j'imagine c'est cool.. d'ailleurs je vois que tu as mis ton maillot en prévision, tu as bien raison”


C'est le silence qui a suivi qui a tout changé. C'est à ce moment que j'ai compris la relativité du temps… 5 secondes de silence, un mal être de ne savoir quoi répondre, et comme toujours dans ce cas là, je vais tenter une plaisanterie qui ne sera pas drôle


“Une partie seulement me répond-t-elle alors…” 5 secondes encore où je réalise ce que Vanessa vient de dire, ce qu'elle vient d'insinuer, ce qu'elle vient d'oser, ce que cela peut sous-entendre… Est-ce de l'humour, le ton de sa voix était-il vraiment différent ou c'est moi qui l'imagine ? Comment et quoi répondre à cela ? Il faut répondre mais j'en suis bien incapable… Tout à coup, l'idée me vient… sur un ton qui se veut sûr de soi :


“Tant que tu n'es pas assise sur le bureau, ça va …” ma voix est hésitante, mal placée, le petit rire qui termine la phrase ridicule.


Encore ces 5 secondes, non il n'en a pas fallu 5 pour qu'elle s'assied sur le bureau, à côté de moi, un peu en arrière, ses jambes se retrouvent derrière mon fauteuil… 


Son silence est un supplice, je n'oserai jamais tourner la tête, surtout maintenant qu'elle est assise… et elle ne dit rien, elle ne répond pas, ne réagit pas à ma blague… J'attends un éclat de rire de sa part pour me montrer qu'elle faisait une blague à son tour, mais rien. 


Sa présence proche de moi est assourdissante, elle prend l'espace, elle monopolise mon attention, elle est devant moi, à côté, au-dessus, en dessous, elle m'entoure et m'étreint. Mes mains se sont figées sur le clavier, je ne peux plus bouger, et mon immobilité me trahit complètement… Depuis combien de temps suis-je ainsi figé ? 


Impossible de faire à nouveau de l'humour, impossible de bouger, je suis bloqué, piégé par la situation. Mon cerveau est en ébullition et se demande comment en sortir. Aucune pirouette ne peut m'aider, il faut dire les choses telles qu'elles sont, telles qu'elles viennent.


“Troublant”, c'est le seul mot qui m'est venu et que ma bouche a fini par lâcher. L'intonation de ma voix est méconnaissable. Moi d'habitude si affirmé, si sûr de moi avec une répartie facile, me voilà presque silencieux, décontenancé, timide et pétrifié. 


Encore ce silence assourdissant qui s'installe, aucun mouvement, aucun son, l'éternité s'est installée et remplit l'espace. 


Un long moment est passé, enfin quelques secondes, et je tente de comprendre ce qui se joue, quelle expression a son visage, à quoi pense-t-elle ? 


Un bruissement, plutôt, un bruit de corps qui bouge légèrement me parvient, léger, doux, lent, soyeux… Du coin de l'œil, j'aperçois sa peau près de mon bras, sa peau avance doucement sur le bureau, tout doucement, je me rends compte qu'il s'agit de son genou replié qui s'avance sur le bureau… 


Après s'être assise, la voilà qui écarte la jambe dans ma direction, en tout cas, c'est ce que je comprends, ce que j'imagine. Ce silence, toujours ce silence qui continue de me paralyser… 


C'est insupportable. Je suis incapable d'un mot, d'un son, d'un mouvement. Je parviens juste à respirer, mon cerveau est en fusion, ou plutôt, une tempête y circule empêchant la moindre idée de se concrétiser. Je reste là, sans rien faire, sans rien dire.. Pour qui va-t'elle me prendre ? Que dois-je faire ? Si je continue à ne rien faire, va-t-elle se lever et partir ? 


La réponse viendra d'un dernier mouvement de sa jambe lorsque sa peau finit par se poser contre la mienne tout en douceur. Ce premier contact établit, une seconde plus tard, sa peau glisse contre la mienne pour me montrer que ce n'est pas une erreur, pas un hasard…


Oserai-je affronter son regard en me tournant vers elle ? 


Ce ne sera pas nécessaire, mon bras glisse lentement vers l'intérieur de sa cuisse, et machinalement, je pivote mon siège vers elle… Sa cuisse est d'une douceur extrême au fur et à mesure que je m'y glisse, ma main se pose sur son genou, mon corps entier se tourne vers elle. 


Sa cuisse s'écarte un peu plus pour me laisser passer, j'observe alors son corps allongé en arrière, sur les coudes, son visage n'est pas visible, sa tête est penchée sur le bureau. 


Ma main ayant glissé, mes lèvres se posent sur le haut de son genou que j'embrasse doucement… Sa cuisse s'écarte plus encore, m'invitant à poursuivre.. Mes baisers remontent le long de sa cuisse et j'aperçois son sexe offert à quelques centimètres de moi. 


Une main se pose alors doucement sur ma tête et m'attire plus profondément entre ses cuisses qui s'ouvrent à mon passage.. La main me conduit doucement mais fermement vers son sexe que j'embrasse sur les lèvres… De haut en bas, mes baisers se posent et sa main me presse plus fortement.. Elle en veut plus… 


Ma langue se met alors en action, et se glisse entre ses lèvres pulpeuses pour s'y insinuer et sentir la douceur de sa chair chaude. Remontant vers son clitoris, ma langue écarte la peau avec de petits mouvements de droite et de gauche.. Un grognement sort de sa gorge au moment d'atteindre son clitoris que je sens ferme sous ma langue. 


Je l'encercle de ma langue en l'aspirant doucement, sa main exerce une pression plus forte, elle adore… Je redescends entre ses lèvres humides et sens l'entrée du vagin dans lequel je m'insinue rapidement, puis par de petits cercles, j'en caresse les abords, puis y glisse à nouveau ma langue… La pression monte sur ma tête lorsque je la pénètre doucement puis me pousse à remonter vers son clitoris. Elle aime ces mouvements de haut en bas qui se terminent par une petite pénétration… 


Les grognements de gorge s'amplifient et quelques “oui” me parviennent dans les remontées… son bassin glisse vers le bas, elle relève un peu les hanches, son sexe est tout à moi. 


Je sens son autre main attraper celle que j'avais posée près d'elle pour la coller sur son sein découvert. Un sein très ferme au téton très proéminent… j'adore sentir ce téton sur ma paume et j'aurais aimé le lêcher. Son emprise sur ma tête est trop forte, elle veut que je continue les caresses sur son sexe ouvert et trempé… Son bassin réalise de petits mouvements de bas en haut, tout son corps est en mouvement à présent. Ma main écrase un peu son sein, puis le relâche pour attraper son téton entre mes doigts et le tirer un peu vers moi… Elle pose alors sa main sur la mienne et accentue la caresse sur son sein, elle désire de la passion, un peu de force dans les mouvements. 


Je sens alors ses jambes se resserer autour de ma tête pour l'attirer plus fort sur son sexe. Ses mouvements sont brusques comme une envie de se faire pénétrer, elle m'attire et me relâche en poussant de petits râles à chaque pression. Ma bouche se pose à côté de son sexe dans le pli de sa jambe et mordille légérement cette partie charnue, déclenchant un “hum” significatif. Je passe alors de droite à gauche, en profite de ma main libre pour glisser un doigt en elle, puis le ressort rapidement pour en mettre deux. La réaction est immédiate, elle se cambre et écrase mon autre main sur son sein. Mes doigts viennent se placer sur sa paroi interne, granuleuse au moment où ma langue reprend son clito… Un “oh oui” me fait comprendre qu'elle jouit de plaisir. J'accélère le mouvement par de petits allers-retours de mes doigts en elle et synchronise ma langue, remontant de ses lèvres vers son clitoris. Son bassin fait des mouvements plus forts et ses cris augmentent…


Puis, plus rien, le silence se fait… j'arrête alors mes mouvements la sentant se redresser vers moi… mes doigts se retirent, sa main fait pression sur ma tête pour me faire me relever. 


Son regard se plonge dans le mien, ses yeux sont en feu, ils me dévorent littéralement, je ne la reconnais plus… elle est plaisir, elle est désir. 


Je me relève face à elle, ses mains attrapent ma ceinture pour l'ouvrir. 


“Sors là” me dit-elle en me caressant la queue à travers mon pantalon… Pendant que je m'exécute, elle retire sa robe, délivrant sa poitrine très haute et très ferme, les tétons totalement sortis. 


Pendant que je baisse mon pantalon, elle se relève sur le bureau, ouvre les boutons de ma chemise et me la retire… Mon sexe est tendu au possible lorsque que je l'exhibe enfin… Sa bouche s'est approchée de la mienne tandis que ses deux mains se posent sur mon sexe tendu et le caresse de bout en bout. Ses mains sont exercées, elle sait comment caresser… Ce n'est pas de la masturbation, c'est de la caresse appuyée aux bons endroits. 


Mais c'est sa bouche qui œuvre le plus. A peine arrivée à hauteur de mon visage, sa langue se glisse dans ma bouche dans un soupir appuyé et en ressort immédiatement. Je comprends qu'elle ne m'embrasse pas, elle me lèche. Sa langue puissante sort de ma bouche et se pose sur mes lèvres en les léchant de part en part. Elle avale la salive puis recommence à me lécher, elle déguste le goût de son sexe sur ma bouche… Ses “hum” m'excitent au plus haut point quand je comprends ce qu'elle fait. Sa langue parcours mes lèvres, mon menton, mes joues comme pour aspirer la moindre gouttelette de son sexe en poussant de petits gémissements. Ses mains se crispent sur mon sexe en même temps que ses gémissements augmentent, elle attire alors mon bassin vers elle, m'empoigne le sexe, et le positionne immédiatement à l'entrée de son vagin, l'une de ses mains se place sur mes fesses, l'autre tient toujours mon membre tendu. 


Elle se pénètre alors dans un mouvement d'une lenteur extrême, j'ai l'impression qu'elle veut sentir chaque centimètre qui passe. Ses deux mains posées sur mes fesses appuyant doucement pour me faire entrer plus profond, je tente alors un coup de rein qui lui arrache un cri mais ses mains se posent sur mes hanches. 


“C'est moi qui fait” dit-elle totalement déterminée. 


Effectivement, elle contrôle le mouvement très lent en m'attirant puis me repoussant, ce ne sont pas des coups qu'elle veut, elle souhaite sentir mon sexe en elle du début à la fin. Je sens les muscles de son vagin se contracter, elle se fait un plaisir fou de profiter de chaque sensation. Je suis spectateur et j'adore ce que je vois. 


Après quelques mouvements, elle conserve mon sexe au plus profond d'elle et je sens son bassin réaliser de petits mouvements de droite et de gauche, il me fait passer partout…


“Hum” son gémissement est plus fort cette fois-ci alors qu'aucun mouvement de nos corps ne se fait… Elle a atteint quelque chose que je comprends mal… 


Ses mains repoussent mon bassin et retirent mon sexe de son corps… Puis ses mains se posent sur mon torse et elle m'écarte d'elle… Je recule ne comprenant pas trop, puis la voyant se mettre debout, je sens que la suite est proche. 


Ses mains parcourent mon torse vers le bas et se posent sur mes hanches, ses genoux se plient, son visage descend le long de mon corps. Elle est maintenant à genoux devant moi, sa main saisit mon sexe dur et humide, l'autre main se pose sur une fesse. 


Elle ne me prend pas dans sa bouche, elle glisse son visage dessus, de droite et de gauche puis le redresse bien haut, je sens alors sa langue qui se pose à la base de ma queue et remonte en la léchant, je comprends rapidement qu'elle fait comme pour ma bouche, elle veut sentir le goût de sa chatte sur moi et en lécher toutes les traces… c'est une langue affairée de toute part que je sens caresser mon sexe tendu à l'extrême, elle monte, elle descend, elle glisse ma queue sur sa langue et aspire tout ce qu'elle peut, puis d'un coup sec, elle m'engloutit intégralement et profondément dans sa gorge ce qui m'arrache un râle profond et un grognement de sa part… ses mains posées sur mes fesses m'attirent dans sa bouche à un rythme important, elle m'aspire dans sa bouche que je sens se creuser pour mieux l'attirer. Ses mouvements deviennent brusques, sa gorge profonde… Deux trois coups et elle s'arrête. 


Elle se relève doucement, je vois ses yeux guerriers se plonger dans les miens et y lire le plaisir qu'elle vient de me donner. Je sens pourtant que ce n'est pas fini, elle a un autre projet en tête… 


Sa langue se plonge dans ma bouche comme pour me faire profiter de tous les goûts qu'elle vient d'avaler… Elle se tourne alors sur le bureau, me présente son cul aux fesses bien rondes, pose ses mains sur la table et me dit “vas-y…. et préviens-moi avant de jouir”


Son corps se penche en avant, offerte sur ce bureau, je n'y tiens plus, je saisis ma queue, cherche son vagin, mon regard se pose sur mon sexe qui entre en elle de manière progressive, sans brusquer… Ses reins se cambrent, elle aime se faire prendre par derrière. Je pousse au plus profond jusqu'à écraser ses fesses. Mes mains se posent sur ses hanches et je commence des mouvements de va et vient, en montant en rythme, de plus en plus vite… 


“Plus fort” me dit-elle, j'entreprends alors de lui mettre des coups forts en entrant d'un coup sec et en tapant le plus profondément possible, puis je ressors et recommence. 


“Oui, comme ça, parfait” dit-elle, “continues”


Je sens l'envie de jouir à chaque fois qu'elle parle, mes coups sont puissants maintenant, moins saccadés, mais forts et bruyants. Le claquement de nos corps est une source de plaisir.. Je n'y tiens plus, j'accélère le mouvement, je sens que ça vient…


Sans avoir à lui dire, elle comprend que je suis au bout, elle me retire alors très vite et se retrouve en une seconde à genoux devant moi, ses mains ont atrappé mon sexe qu'elle a glissé dans sa bouche, ses mouvements de tête sont rapides, ses lèvres se resserrent au passage du gland augmentant mon plaisir… Le bruit de succion m'excite incroyablement, je sens mon corps se tendre, elle sent que je vais jouir… ses mains sur mes fesses attirent mon sexe au plus profond de sa bouche tandis que je jouis en elle… J'entends ses bruits de bouche qui avale tout en un grognement de plaisir… Elle prend son temps pour sucer tout ce qu'il reste sur mon sexe qui se détend doucement… 


Vanessa se redresse en soupirant et en souriant. 


“Je reviens” dit-elle, “reprends toi un café”


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