Les jumeaux maléfiques: Le dernier chapitre d'une trilogie de trois épisodes (3/3)

machiavemick

"Bonjour, je tiens ici à mettre une parenthèse sans parenthèses pour expliquer le concept de ce texte. Le but est que vous vous enleviez de la tête que je suis un imbécile fini. Quand j'avais 15 ans, mon frère jumeau, moi et Nicolas-Fortin-Blanchette, avions accès à une caméra donc, durant nos temps libres, et Dieu sait que nous en avions plus que maintenant, nous avons inventé l'univers des Jumeaux Maléfiques. Donc, 9 ans plus tard, je ressors cette histoire dans le but simple de me rappeler de bons souvenirs entre amis. Certains éléments de ces trois textes sortent directement de l'absurdité  inconsciente et endormie de ma conscience mais d'autres sortent quelques fois d'une vieille vidéo que nous avons tournée qui est maintenant disponible sur une cassette VHS bien planquée dans ma table de chevet. Certains faits non-véridiques de ces histoires sont tirés de certaines improvisations et erreurs que nous avions commises sur cette dite vidéo. J'aimerais seulement remercier Nicko pour son rôle de Nicko et pour avoir inventé une bonne partie de cette histoire, Julien Bodart qui lui aussi a contribué à l'histoire mais aussi a interprété Caméraman. Merci à Jonathan Bodart pour avoir joué Les jumeaux Maléfiques ainsi qu'un soldat. Merci à Mathieu Bodart pour son soutient et pour avoir joué un technicien Anonyme. Sans vous, cette aventure n'aurait pas été possible".
C'était une journée Lugubre d'une année violée par l’irrationalité dominatrice de deux êtres malsains malamanchés et malodorants. Le genre de journée qui pousse des êtres anormales tel que Nicko et l'idiot à se dire au fond d'eux-même pour contrer les frissons parcourant leur nuque: "Me semble que je terminerais une trilogie aujourd'hui!". C'était une journée qui commençait non pas par la fin mais bien sure, inévitablement par le levé du soleil qui se réveilla à l'heure habituelle comme à l'habitude. Même si tout le monde sait que le soleil ne se lève pas à la même heure précise à tous les jours, on pouvait quand même qualifier d'habituel le levé de CE soleil, car les deux héros n'avaient guerre remarqué le levé de l'étoile tellement qu'ils en avaient rien à faire finalement... Mais bon, comme ils avaient leurs raisons de manquer leur prière au soleil cette fois-ci. Une mission les attendait. Leur fidèle acolyte Caméraman était à peine remis des évènements de leur dernière rencontre avec les Jumeaux de l'enfer. Il se motivait en se disant que malgré la perte de la casquette de l'idiot, ils possédaient dorénavant l'épée empoisonnée du destin de l'antre de la mort, épée aux pouvoirs infinis. Ils allaient bientôt vaincre les Jumeaux Maléfiques (mouhahahaha).Mais avant de prévoir cette importante, imputable et impénétrable bataille, les deux derniers héros devaient tout d'abord, par don d'eux-même, aller porter des matelas dans orphelinat si pauvre qu'elle ressemblaient davantage à un cabanon fait à la main et destiné pour un fond de cour d'une maison louée à Ste-Julienne. L'entraînement s'imposait pour être sûr de pouvoir bien prévoir, car c'était pratiquement une figure de style pour ces être méchants d'attaquer des orphelins sans défense. Un oxymore à son paroxysme selon les professionnels de ce domaine. Bref, après un entraînement vigoureux, vivifiant et vital à la vie, les héros plus qu'héroïques n'étaient approximativement pas sur le point de se douter qu'il y avait peut-être quelques probabilités qu'ils allaient possiblement jouer leur destin, ce jour là, en mettant le pied à l'extérieur de leur repaire secret, indivulgué, indévoilé et désystématisé. Nicko était déjà prêt à passer les deux créatures hideuses et idéalistes sous le fil de sa lame qui n'avait, à bien y repenser, aucun fil. Il devaient faire attention aux Jumeaux Maléfiques (mouhahahaha)La température défavorisée ne favorisait certainement pas la réalisation d'actes héroïques en cette journée ensoleillé d'hiver, froide, pluvieuse, un blizzard se préparait. Nicko et l'idiot, accompagné de Caméraman devaient sûrement se vêtir convenablement de façon à limiter les possibilités d'échec. Après tout, la mission s'annonçait simple, courte, discrète, bref, rien de difficile. Mais qui sait? Comme disait l'homme qui porte toujours un "Jack-Strap": il faut tout de même tenter de prévoir l'imprévisible. Alors que les deux héros se concentraient à s'habiller, Caméraman utilisa ses pouvoirs de cameraman afin de faire apparaître les pièces de vêtements qu'il avait besoin (WTF?). Tout ceci, juste au cas où ils avaient besoin d'affronter Les Jumeaux Maléfiques (mouhahahaha)La démarche des trois protagonistes se faisait lente. On aurait même dit qu'ils marchaient au ralenti. Surtout Nicko. Directement sortis du film Armaggedon, ils s'en allaient au ralenti, directement vers leur destin, concentrés, se pausant une seule question: "Pourquoi est-ce Bruce Willis qui doit mourir à la fin de ce film? Ben Afleck aurait été capable de déclencher la bombe!". Quelle question remplie de sens. Une réflexion qui passe le temps et qui, surtout, permet de garder son esprit zen face aux pires situations. Arrivés à leur destination, ils n'avaient guerre le choix d'accomplir leur mission, sinon, pourquoi auraient-ils fait tout ce chemin si ce n'était que pour revenir les mains pleines par la suite? Après avoir déposé ces accessoires de sommeil, un bruit se fit voir sur le toit de l'orphelinat. L'attention attirée, la tension à tirer, l'idiot agrippa sur le champ la main de Nicko pour se téléporter et pour vérifier le toit de la bâtisse. Tout à coup, le mystère se résolu de lui-même quand, arrivés sur le toit, les héros constatèrent, qu'ils n'étaient pas seuls sur la couverture. Le jumeau à la chemise rouge, comme ses yeux et comme le sang rouge se tenait droit, les bras croisés, devant eux, seul sans son homologue jumeau à la chemise noir comme ses yeux et comme la mort noir. L'escarmouche s'engagea sans plus attendre et se termina tout aussi rapidement car Nicko, sur un coup de tête, lança une onde psychique et psychanalytique qui propulsa l'absence du jumeau présent et le lança directement sur le sol. Nicko ne put s'empêcher de lui demander pourquoi s'attarder sur un détail comme celui-ci. Le Jumeau impliqué lui répondit: " Vous croyez que tout tourne toujours autour de vous? Mon frère aide moi!" Puis il disparu.  Un homme, avec un sarrau blanc s'approcha du corps quelques secondes avant qu'il disparaisse et dit: "HAHA! Familiprix!" Puis il parti. Tout était clair maintenant pour la seule personne de la bonne équipe qui pouvait effectuer une déduction logique. Le temps était compté. L'idiot prit encore la main de Nicko pour se téléporter, d'un claquement de talons, directement au repaire secret. Arrivé à leur repaire, l'épée n'était plus. Sans doute, c'était l'oeuvre des Jumeaux Maléfiques (mouhahahaha)Cherchant dans toutes les pièces du repaire pour trouver des indices, L'idiot et Nicko avaient l'étrange impression d'avoir fait un gros pas en arrière. Désormais plus de casquette ou d'épée, ils savaient que plus rien n'allait être facile. En ouvrant la dernière porte fermée du repaire, tout près du technicien anonyme et inconnu de tous. Nicko poussa doucement la porte et deux silhouettes se dessinèrent aussi rapidement que la porte s'ouvrit. C'était la première fois qu'ils apercevaient les deux jumeaux dans un cadre aussi rapproché. Comme un monstre à deux têtes, mais pourtant avec une seule conscience. Sous un élan d'émotion, Nicko se jeta sur le Jumeau à la chemise rouge comme du sang. Sans faire les cents coups, e jumeau le repoussa télépathiquement hors de la pièce. Les deux combats maintenant séparés, les deux héros semblaient en difficultés. Chacun des deux jumeaux avaient une arme. L'un la casquette sur la tête, l'autre l'épée à la main, plus rien ne pouvait les arrêter. Nicko se faisait lancer partout, se battant contre le rouge. Un combat qui n'était presque rien physiquement mais qui représentait la force inépuisable de la volonté des deux combattants. Il donna même la tape au technicien anonyme qui tenta de tâter le terrain mais ne réussit rien, il retapa dans la main de Nicko pour lui révéler qu'il n'y pouvait rien. De l'autre côté, enfermés dans la pièce, l'idiot et le noir se disputaient, se lançaient dans les murs, se frappaient, l'idiot, incapable de faire ce qu'il voulait vraiment. L'objectif était clair pour les deux, subtiliser les armes pour prendre l'avantage. La casquette d'abord, ensuite, le plan initiale pouvait prendre forme. Nicko, pratiquement agonisant usa de ses dernières forces afin de forcer le forcené à entrer dans la même pièce. Il tira l'idiot de toute ses forces pour l'amener vers lui,  avec une vitesse qui défia les lois des différentes gravités. Le temps était venue pour tenter l'intentable. Les deux savaient qu'il ne restait qu'une solution. Ils se prirent par les mains et tentèrent la fameuse, mythique et insolite poignée de main de la fusion. Après cette danse tragique et sensorielle, ils allaient avoir assez de pouvoir pour combattre le jumeau avec l'épée et enfin défaire Les Jumeaux Maléfiques (Mouhahahaha). Un nuage d'une teinte entre rose et saumon pris d'assaut la pièce aveuglant les quatre combattants. En fait, plutôt, une fois que cette boucane disparut, après quelques secondes, les deux jumeaux furent stupéfaits de constater qu'ils étaient stupéfait de voir qu'ils n'étaient plus que trois dans la pièce. Les jumeaux ne voyaient qu'un homme de grandeur approximative, niet et intelligent à la fois, mais, surtout, plus que puissant. Sans même le temps de le réaliser, le jumeau noir fut propulser comme une fusée dans la pièce fermée. Le jumeau rouge avec l'épée, prit l'arme et tenta de transpercer l'espèce de fusion des deux héros. L'arme s'arrêta sur le flanc aussi solidement qu'une dans une tonne de brique. "Même pas mal" s'écria la fusion qui laissa échapper la voix des deux héros en même temps. La fusion n'eut qu'à seulement levé doucement le bras que le jumeau fût complètement paralysé. L'épée se fracassa par terre tandis que les pieds du jumeau leva de terre pour envoyé le pauvre corps semi conscient et semi conscientisé du jumeau sur tous les murs. L'autre jumeau réussit, par contre, à se relever, à sortir de sa torpeur et de la pièce qui l'emprisonnait. Il fit disparaître son frère qui n'était plus vraiment capable de combattre de toute façon, à moins qu'il aurait voulu essayer de prendre son adversaire à Super Smash Bros Brawl, mais je ne crois pas que ça aurait été envisageable. Une fois son frère en sécurité, il tenta de se battre contre la fusion mais, comme vous l'aviez déjà envisagé, le combat fut bref, trois ou quatre coups de la part de la fusion, le jumeau était déjà K.O. sur le plancher. Puis, la fusion, sans pitié, sans pied ou même sans Pi, allongea les mains et cria un cri qui criait de par son son, un cri de peur et d'épouvante. Puis soudain, plus rien... Par terre, en dessous de la casquette de l'idiot qui était resté, tout au long du combat, sur la tête du jumeau, se trouvait un petit Dégu. Comme un petit Némésis, c'était clair, la fusion avait rendu inoffensif l'un des jumeaux. La guerre était enfin remporté contre Les jumeaux Maléfiques. (Mouhahahaha)Pendant que les deux héros célébraient la fin d'une ère de terreur, de peur et de douleur et que, pour une fois depuis des décennies, tout était réglé, de l'autre côté d'un monde un Jumeau était dévasté. Tenant un dégu entre ses mains ils ne pouvaient que dire: " Un jour mon frère, un jour, je te vangerai! Je trouverai le moyen de te ramener, et ensemble, nous dominerons le monde mon frère, le MONDE!"...à suivre...Mick-
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