L'existence précède la vie
Adel Hamamouche
Je disais que le monde est absurde, j'allais trop vite. Se monde en lui-même n'est pas raisonnable c'est tout se qu'on peut dire ; c'est absurde veut dire ‘'c'est impossible'' mais aussi ‘'c'est contradictoire''. L'homme est et n'est pas. Il croit pour croire; pour faire comme ses semblables; c'est à dire se donner une raison qui n'en est pas. Exister n'est pas vivre, les mots ont un sens significatif, réel et de part leur logique détermine la manière qu'a de penser l'individu. Le langage est biologique : on parle pour communiquer, parce qu'on a besoin d'utiliser la langue pour faire passer un message, entrer en communication avec les autres. Mais la langue est plus encore que cela: elle porte la coutume de son pays et de sa culture. Certains mots restent d'ailleurs intraduisibles, comme par exemple le suédois «Gökotta» qui signifie «se réveiller tôt pour sortir écouter le premier chant des oiseaux». Ces «intraduisibles» le sont parce qu'ils sont attachés aux traditions du pays auxquels ils se rattachent. Je dirai même qu'une langue porte en elle le poids de notre civilisation, elle fait partie intégrante de notre patrimoine. Les mots influencent notre manière de penser. Vivre, exister, penser, se révolter...sont des mots, des concepts et/ou des rapports. vivre et exister : deux mots, deux définitions et donc deux chose parfaitement distincte.
D'abord pour arriver à comprendre les deux concepts " vivre, exister" on doit d'abord essayer d'esquisser une compréhension du but de la création, du pourquoi de l'existence ; du monde?
Nous sommes, mais pourquoi? Je ne veux m'étaler sur ses questions philosophique, existentiel et plutôt théologique, car notre essai ne porte pas sur cela, sans toutefois nier que pour comprendre le sujets parfaitement et dans l'ensemble : narrer et définir abstraitement les concepts et les thèmes en relation avec le sujet (la forme) permettra la conceptualisation, le développement et enfin la compréhension du thème et/ou du problème (le fond). Pour cette fois je tiens à informer le lecteur que mon intervention portera sur l'aspect purement réel-concret de la chose. C'est-à-dire, j'essayerai d'entreprendre une résolution de la problématique de notre sujet par forme déductif, d'expliquer se qui est "vivre" mais qui porter exclusivement sur les rapports directs des relations individuels. Si toutes les forces de part la conscience pose comme être tout animal pensant, cela impliquerai-il inéluctablement la vivacité de ce dernier (comprendre vivacité par l'émancipation de l'être a la vie, son épanouissement au sens philosophie et/ou existentiel) ?
Au sens étymologique, « existence » possède une signification plus précise. Existere (en latin archaïque exsistere, soit ex + sistere), signifie littéralement « être hors de soi », donc être auprès des choses. En ce dernier sens, « existence » ne pourrait s'appliquer qu'à l'homme proprement dit, et nullement aux simples choses : seul l'homme existe. C'est en ce sens que l'existentialisme et Jean-Paul Sartre usent de ce terme. Il en est de même chez Martin Heidegger dans son livre Être et Temps . L'existence chez Heidegger ne concerne que l'homme ; les choses et les animaux sont simplement là. Dans l'existence, on trouve l'idée de vie, avec ses fragilités et ses incertitudes, mais aussi celle d'un mouvement, d'un « avoir-à-être » ou d'un « faire-place-à-être » (entendu comme exposition à l'être) qui ne concerne que le Dasein ( être présent) .Tout se qui est, n'est que par se que quelque chose d'autre fait qu'il soit, et ainsi de suite jusqu'a limite du contenant. C'est à dire que l'infini est fini ; et se qui porte au loin derrière l'infini fini est le commencement infini de l'infini ; et c'est en cela que se trouve dieu. Il est hors espace-temporel autrement dit hors toute capacité rationnelle de la raison de le situer et encore moins de le matérialiser. Kant dans " Critique de la raison pure " là si bien expliquée et démontrée. Je me bornerai juste à dire que nous existons dans un espace-temps, dieu est dans un espace- hors temps : se qui implique logiquement notre incapacité de penser, de matérialiser et de rationaliser se qui est en dehors de notre espace-temporelle (dieu) puisque nous ne situons dans un espace autre. La théorie du bing bang, la relativité d'Einstein, deux théorie révolutionnaire qui ont chamboulé l'appréciation et la vision qu'on se fessait du monde jusqu'a alors, et qui nous en aidé à déduire que L'univers est en expansion, donc que la vie et l'univers-temps a eu un début, un instant « t=0 ‘' ; une création et donc un créateur hors espace-temps puisque lui-même qui est le créateur a était avant la création. Einstein disait ‘' La science ne peut être créée que par ceux qui sont complètement imprégnés par l'aspiration vers la vérité et la compréhension. La source de ce sentiment, toutefois, provient de la sphère religieuse. D'elle provient la foi dans la possibilité que les lois valables pour le monde de l'existence soient rationnelles, c'est-à-dire compréhensible à la raison. Je ne peux pas concevoir un véritable scientifique sans cette foi profonde. La situation peut être exprimée par une image: la science sans religion est boiteuse, la religion sans science est aveugle''
L'existence est un chemin à parcourir, un processus ; une expérience. La vie est en conception la faisabilité du chemin de notre propre faculté à entreprendre un but : le mouvement réel de la conscience confectionnée et permit par la condition d'existence social de classe à permettre la création dune vision existentiel. Autrement dit, l'existence est le passif, la vie l'actif. L'individu y est dans une société avec toute sa complexité : tradition, relation social, identité, rapport aux autres... et donc l'individu essaye de cohabiter l'innée et l'acquis pour qu'il coexiste dans la complémentarité afin d'éviter les maux de la personnalité : insociabilité, timidité maladive, dogmatisme qui débouche sur le fermement et la solitude et donc sur peut être l'intégrisme quel qu'il soit. Ceci étant un problème plus psychanalytique et qui relève d'un sujet autre de se qui m'intéresse. Sur un plan plus général et large et partant de se que j'entrepose comme axiome " l'existence détermine la conscience " l'individu se heurte a la société, a se que j'appel par conception l'espace publique ; qui par définition est un rapport individu-individu et/ou individu-gouvernement. Je me bornerai à essayer de traiter le sujet d'un point de vue du rapport du premier. S'établir consciencieusement c'est être mentalement et intellectuellement correct, vrais et juste ; non dans angle moral mais philosophique. La mondialisation de se que elle porte de plus pervers , véhiculé et alimenté par les puissants , les impérialistes , de part différentes institution quelle soit économique , politique ou monétaire - FMI , BM , OMC... - contribue a détruire l'espace publique , a anéantir tout état et donc tout rapport social et identitaire se qui contribue a l'émancipation de l'individu en tant qu'individu absolue , non dans un rapport quel qu'il soit ( principe de relativité ) ; et de la spoliation du capital, de la propriété et des fondements des libertés sociaux et universellement juste. L'être ne pense plus comme un être faisant partie d'un tout : d'une société, d'une nation, d'une identité avec ses mœurs et ses traditions. Ne réfléchis plus ainsi, il n'est plus dans la perspective de recherche du vrai, du juste. Le monde se fêle ; les rapports sociaux quasi inexistant, l'individu n'est pas dans cette perspective de la recherche de la transformation d'une" classe en soi" en classe "pour soi" c'est à dire qu'elle devient une classe consciente de ses intérêts de classe. Cela est a cause de l'absence de conscience individuel et social , car tout commence par la conscience et rien ne vaut que part elle ; l'individus est aliéné ; le mode de production capitaliste dominant est un ensemble constitué par les forces productives ( la force de travaille des hommes , instruments de la production , les objets de travail...ect ) et les rapports sociaux de production ( relation social ) , dans cette constituante du mode de production et dans notre contexte historique actuel les rapports sociaux ne sont plus d'actualités , l'individus n'est plus tell dans un rapport ; mais dans un model déterminé par le mode de production capitaliste qui détermine les mécanismes d'existences et de relations pour que soient réunies les conditions nécessaires a avoir plus de profit au capital sur des contexte historique changeables.
Vivre suppose une insubordination total a se que j'appel la versatilité intellectuel. Mettre une volonté de ne pas dépendre d'une force, entreprendre, emmètre une faculté d'auto- critique d'une information de part une méthodologie de porté logique. La lucidité et le discernement doivent être les deux procèdes primaux par lequel l'individu doit à tout moment s'en servir dans n'importe quel situation, et surtout prendre en considération les facteurs extérieures qui détermine et font la problématique. J'aimerai terminé mon essai et m'arrêter un moment sur un sujet qui me semble être le plus important et le plus primordial et qui est le point de départ de toute élévation et réussite social ; l'explication de l'identité national existentiellement , moralement ou simplement de part le contexte actuel permettra de régler la société et de se réconcilier avec elle même , car aujourd'hui l'un des problèmes majeur de notre société c'est sa perte d'identité , son individualisme absolue qui a détrôné l'espace publique au profit du "je ", son incapacité a se situer dans le monde , l'histoire et dans l'espace-temps ; une nation en perte de son histoire et de ses racines est vouer a l'embrassement et a la disparition...L'Algérie d'aujourd'hui via sa jeunesse ne sais plus qui elle est , sur quoi s'appuyer et de par quoi se déterminer . je m'étalerai sur le sujets prochainement dans un essai consacrée a cela , pour l'instant je me bornerai simplement a définir se que j'ai conceptualiser , et matérialiser sur l'identité pour permettre de poser un axiome en cela et de démarrer le processus et la démarche qui permettra de lancer le débat; sur se que j'appel le "conservatisme intelligent " : Etre conservateur par définition c'est être un identitaire , autrement dit porté les valeurs et les traditions du pays avec lui , par eux et pour eux. Le conservatisme intelligent c'est contextualiser le concept, du conservatisme et donc de l'identité, c'est à dire paradoxalement avoir une approche réformatrice du conservatisme. Etre dans le vrai, dans l'utile populaire, avoir une conscience clair des rapports économique et sociales actuel, pour régler la société, appliquer une moral et être fidèle aux mœurs populaire et identitaire en accord avec la raison.